SOMMAIRE
INTRODUCTION 2
PROBLEMATIQUE 3
Question de départ : 3
Questionnement 3
Hypothèses 3
Plan 4
PARTIE THEORIQUE : définitions des concepts utilisés au sein de ce mémoire professionnel 5
I] Présentation des différents contextes jouant un rôle sur les apprentissages 5
A) Présentation du contexte scolaire sur la commune de Saint-Denis 5
B) Présentation du contexte institutionnel du dispositif d’aide qu’est le RASED 5
C) Contexte institutionnel du maître E 6
II] Qu’est-ce q’une image mentale ?. 8
III] Qu’est-ce que l’abstraction ? 10
IV] Qu’est-ce que la géométrie en mathématiques ? 11
V] Qu’est-ce que la symétrie axiale ? 14
PARTIE PRATIQUE 15
I] LE GROUPE SCOLAIRE 15
A) Le projet d’école : 15
B) Le RASED : 15
C) Les concertations : 16
II] LES ELEVES : 17
III] LE TRAVAIL DU REGROUPEMENT D’ADAPTATION : 18
A) Le projet de groupe : 18
B) Les séances : 19
IV] BILAN DU PROJET : 27
LA CONCLUSION : 29
INTRODUCTION
Mon parcours professionnel suscitant réflexion et pratiques en rapport à la pédagogie s’est effectuée en deux étapes. La première concerne l’enseignement de la danse dans une dizaine d’école de Villepinte pendant le temps scolaire en collaboration avec les professeurs et cela dans les trois cycles (dont deux classes de C.L.I.S. l’une à l’école Charles Peguy et l’autre à l’école Victor Hugo II). La deuxième étape est l’enseignement au sein de l’Education Nationale. Lors de ces deux étapes, j’ai constaté que de nombreux élèves se trouvent en situation de difficulté scolaire. Leurs causes sont multiples et leurs conséquences sont souvent traduites par des résultats scolaires inférieurs aux moyennes nationales. Enfant mutique, faible niveau de vigilance, hyperactivité, raisonnements logiques coûteux semblent être les parties de l’iceberg les plus visibles. Dans le cadre du champ de la difficulté scolaire, je constate sur le plan local que les demandes d’aides pédagogiques auprès des élèves s’orientent principalement autour de la maîtrise de la langue et des mathématiques. En ce qui concerne la maîtrise de la langue, l’apprentissage de la lecture tient bien sûr une place importante surtout au niveau des principes alphabétiques (espace entre les mots, signes de ponctuation, lecture de gauche à droite…) et du code alphabétique (les correspondances graphèmes-phonèmes). En ce qui concerne la compréhension des consignes qu’elle soit dans le cadre d’énoncé de problème en mathématiques ou dans d’autres champs disciplinaires, celle-ci pose également souvent des difficultés aux élèves. En effet, il sera bien difficile pour un élève de résoudre un problème si l’énoncé lui-même n’a pas déjà été compris au premier abord. Il est vrai que ce constat de terrain est renforcé par de nombreux recueils de discours tenus par les enseignants titulaires des classes de référence lors des temps de concertation. Je me suis étonnée mors des dernières concertations de l’antenne De Geyter, que les demandes d’aide en mathématiques concernent uniquement la numération et plus particulièrement la construction du nombre, alors que la comparaison des résultats des évaluations nationales CE 2 entre l’école Sorano et les résultats nationaux révèle un écart de quasiment 20 points en géométrie : Espace et Géométrie à Sorano 50,5%, et Espace et Géométrie aux évaluations nationales 70,11%. Forte de ce constat, j’ai décidé d’orienter la mise en place d’une aide au sein d’un regroupement d’adaptation d’apprentissage autour de la géométrie et de manière plus spécifique sur la symétrie axiale ; le groupe concerné est composé d’élèves de cycle 3 ayant eu aux alentours de 25% aux évaluations CE 2 en mathématiques, qui ont déjà étudié avec moi les nombres, les méthodes opératoires additives, soustractives sans et avec retenue et réfléchi au choix de l’opération à effectuer lors d’un problème.
J’ai conduit cette expérience, en seize séances lors desquelles j’ai été amenée à formuler des interrogations que je rassemble dans la problématique de ce mémoire professionnel. Elle est constitué de trois points : la question de départ, le questionnement et les hypothèses.
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