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LES FORTIFICATIONS DE LA RADE DE TOULON




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1PREMIERES PIERRES D’UNE PLACE FORTE (1200-1610) 4

Corsaires et pirates 4

Toulon au Moyen Age 5

La Grosse Tour 1514 - 1524 5

Le parement à bossage 6

Corsaires barbaresques : les frères Barberousse 6

L’alliance impie 1542 6

Miniature du Süleymanname représentant Toulon 7

Détail de la miniature 7

Extension de la ville sous Henri IV : l’enceinte Herculles 1580 8

Le tracé bastionné 8

2LES FORTIFICATIONS DE RICHELIEU A VAUBAN (1627-1707) 8

Construction du Fort BALAGUIER (1634 – 1636) 8

Modifications de la Grosse Tour et de la Tour Balaguier 1672-1673 9

Construction de fort de l’Eguillette (1674-1685) 9

VAUBAN à Toulon (1679) 10

L’Arsenal Vauban 10

Le séminaire royal 11

Le bagne de Toulon 11

le Fort des Vignettes ou Fort Saint Louis (1692) 12

3L’agrandissement de l’enceinte urbaine LA PORTE ROYALE 13

LA PORTE ROYALE 1683 13

Le siège de 1707 13

Les fortifications de 1707 à 1793 15

Le fort des Vieux-Pomets 1746 1755 15

Le Fort Lamalgue 1764 15

Le Fort de Sainte Catherine - 1792 16

Embellissement de l’arsenal 16

TOUR CARREE DE L'HORLOGE 16

LA GROSSE CLOCHE 17

ABATTAGE EN CARENE 17

3.1.11778 Le projet de l’ingénieur Antoine GROIGNARD 17

5.Le siège de 1793 18

4Les remparts du XIXème siècle 19

LES PORTES DE TOULON au XIXe 19

ARSENAL DU MOURILLON 1832 20

La défense des côtes du XIXème siècle 20

Le général Raymond Séré De Rivières 1815 - 1895 21

Le Fort du Grand Saint Antoine (1842-1845) 21

La Tour de La Croix-Faron (1840-1845) 21

La Tour Beaumont (1842 – 1845) 22

La Tour de l'Hubac (1845 – 1846) 22

Le FORT CROIX-FARON (1872 -1875) 22

Le Fort Faron (1840-1845) 22

FORT NAPOLEON 1811 22

La Tour de la Croix des Signaux (1848 – 1853) 23

La batterie de la Carraque (1846 – 1856) 23

Le fort Saint ELME 1857 23

Le Fort MALBOUSQUET 1840 23

Fort du Cap Brun 1853 23

Le Fort de Six Fours (1875-1880) 24

FORT DU GROS CERVEAU (OLLIOULES) 1890 24

Le Fort du PIPAUDON - OLLIOULES (1893 – 1895) 24

FORT DU MONT CAUMES (1887 – 1890) 24

FORT COUDON 1879 - 1882 24

Le fort de La Colle Noire 1878-1881 25

La Batterie de Peyras (1878-1879) 25

BATTERIE HAUTE DU LAZARET 1880-1882 25

LA GRANDE JETEE DE TOULON 1877 et 1881 25

5Les défenses du XXe : d’une guerre à l’autre 25

La batterie du Cap Cépet 1928 25

LA SECONDE GUERRE MONDIALE 26

6Les combats du fort de Malbousquet 26

Connaissance et protection du patrimoine 27

LES FORTIFICATIONS DE LA RADE DE TOULON

Des premières tours à canons de louis XII aux batteries côtières bétonnées de la ligne Maginot, le paysage varois dévoile quatre siècles de défense militaire.

1PREMIERES PIERRES D’UNE PLACE FORTE (1200-1610)

Corsaires et pirates


La guerre de course était pratiquée depuis l’antiquité sur toutes les mers du globe et par toutes les nations.

Le corsaire agissait sur autorisation délivrée par les autorités de son pays. Cette autorisation, (appelée "lettre de marque", "lettre de commission" ou "lettre de course") était un document officiel d'habilitation par lequel le corsaire est reconnu par un pays comme force militaire auxiliaire. Le corsaire s'engage de n'attaquer exclusivement que les navires battant pavillons ennemis, et particulièrement le trafic marchand, laissant éventuellement à la flotte de guerre le soin de s'attaquer aux objectifs militaires. Cette forme de guerre navale était appelée guerre de course.

Les corsaires agissaient au service de leur pays, et ne doivent donc pas être confondus avec les pirates. La confusion entre les deux termes, résulte du fait que les corsaires faisaient la guerre aux nations ennemies en s'attaquant à leur commerce, et que jusqu'à la fin du Moyen Age, les termes de "corsaire" et "pirate", étaient employés indifféremment.

Les corsaires respectaient les vies et les biens personnels. Seul le navire et le fret faisaient l'objet de la prise, les équipages quant à eux étaient libérés contre rançon.

S'il était capturé, le corsaire exhibait ses lettres de marques, ce qui lui assurait le sort d'un prisonnier de guerre et lui évitait la corde.

Les galères des corsaires barbaresques étaient munies d’un seul grand mât surmonté d’une voilure démesurée, au lieu de deux comme les galères chrétiennes. Légères, rapides, elles étaient particulièrement adaptées à la « course ». Allégées au maximum, elles ne comportaient aucune armature de décoration qui aurait pu les alourdir. Il n’y avait qu’un seul canon sur le « gaillard d’avant ». Dotés de rangées de rames, ces bâtiments de guerre étaient rapides, faciles de manœuvre et très bien entretenus.

Les corsaires étaient des professionnels parfaitement entraînés au combat et commandés par de vaillants capitaines. Ils étaient excellents au maniement de l’arc et du mousquet. Leur manque de scrupule en faisait des hommes avides de pillages.

Les rameurs étaient pour la plupart des captifs chrétiens qui finissaient leur triste vie sur ces navires.

Les corsaires barbaresques ne s’attaquaient qu’aux vaisseaux lourdement chargés, peu armés et dont la manœuvre devenait de ce fait très lente. Les navires militaires n’étaient presque jamais affrontés.

Ils opéraient des incursions terrestres où ils mettaient le littoral à feu et à sang et capturaient des habitants pour en faire des esclaves.

Toutes les expéditions punitives exercées contre « Alger » par les chrétiens échouèrent principalement à cause de mauvaises conditions météorologiques et c’est ainsi que les corsaires barbaresques obtinrent une renommée d’invincibilité qui fit frémir les varois pendant très longtemps.

Ils opéraient des incursions terrestres où ils mettaient le littoral à feu et à sang et capturaient des habitants pour en faire des esclaves.

Toutes les expéditions punitives exercées contre « Alger » par les chrétiens échouèrent principalement à cause de mauvaises conditions météorologiques et c’est ainsi que les corsaires barbaresques obtinrent une renommée d’invincibilité qui fit frémir les varois pendant très longtemps.
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