Harcourt, service de verres exceptionnel tant par la qualité de son dessin que par sa longévité hors du commun, reste aujourd’hui encore emblématique de la








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date de publication07.02.2018
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l’Harcourt toujours

Les 170 ans d’une icône
Harcourt, service de verres exceptionnel tant par la qualité de son dessin que par sa longévité hors du commun, reste aujourd’hui encore emblématique de la manufacture française Baccarat. Avec son pied hexagonal, sa jambe à triple bouton et sa taille à côtes plates larges, c’est un best-seller : plus de dix mille verres sont vendus chaque année. Sa forme distinctive incarne la recherche constante de la perfection, la volonté d’exalter la pureté du cristal et ses incomparables reflets.
Harcourt est le plus ancien modèle parmi les services de table créés par Baccarat et encore fabriqués de nos jours. Il fut souvent imité mais jamais égalé. Nombreuses sont les têtes couronnées et grands de ce monde qui ont succombé à son allure unique, intemporelle et si caractéristique d’un style référent. Son succès international auprès des grands de ce monde, comme du grand public inconditionnel, se poursuit toujours.
C’est en 1841, sous Louis-Philippe, qu’apparaît pour la première fois le dessin de ce service, imprimé sur la planche n° 30 du Tarif des cristaux taillés de la société Launay, Hautin et Cie, dont le dépôt parisien, rue de Paradis, commercialisait alors les produits de Baccarat. Le service y apparaît sous l’intitulé « Service de table de forme Gondole à triple bouton, taillé à côtes plates larges ». Sa ligne épurée correspond tout à fait au style des années 1835–1845 où les décors se simplifient pour mettre en valeur la diversité des formes. Le service comprenait alors une trentaine de références (verres de six tailles différentes, carafes de différentes contenances, brocs, coupes, ravier, compotier, etc.). La tradition voulait alors que l’on possède un service de table complet. Au début du XXe siècle lui furent ajoutés la coupe à champagne, le verre à vin du Rhin, la chope et le gobelet. La création de nou-velles références répond à l’évolution des usages de table. C’est ainsi qu’apparaissent le service à caviar, le saladier ou le rafraîchissoir.
En 1920, Baccarat lui donne ses lettres de noblesse en le baptisant du nom d’une des plus vieilles familles aristocratiques, établie en Normandie dès le IXe siècle. Le service s’appelle désormais Harcourt. C’est pour l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes (Paris, 1925) que Baccarat commence à baptiser tous ses services de table : ils portent ainsi un nom choisi en fonction de leur forme ou leur décor (Les Jets d’Eau, Pour le Yacht, etc…). D’autres services porteront des noms de ville ou de personnages célèbres (Flers, Ecouen…).
En 1975, son cent-cinquantième anniversaire symbolique, célébrant la mise au point technique de la côte plate large taillée à la roue, est marqué par une édition limitée de carafes magnum, suivie d’une collection de hanaps grand format au cours des années suivantes (rose en 1976, bleu cobalt en 1977, émeraude en 1979, mousse en 1981, améthyste en 1982 et orange en 1983).

Variations

autour d’une icône
Trois variantes ont été créées : l’ « Empire », avec un décor à l’or apposé sur chaque côte plate et sur le pied (1956), l’ « Ems » à filets d’or peints sur les bords de la coupe et du pied (1982) et l’ « Enée », avec filets d’argent (1982).
En 2002, Baccarat invite de jeunes créateurs à considérer Harcourt comme un nouveau champ de création. Pour la collection « Saga Harcourt », les Tsé-Tsé, Vincent Dupont-Rougier, Arno Billault, Inga Sempé, Florence Deygas et Olivier Kuntzel laissent libre court à leur imagination et le verre devient « Boîte à poudre », « Vaporisateur », « Bougeoir » ou roman policier (« Impact », « Indices » et « Investigations »).

C’est ensuite au tour de Philippe Starck de détourner l’icône Harcourt. En 2005, avec la collection « Darkside », il transpose Harcourt en cristal noir, créant le coffret « Un Parfait » et la chope « Black Angel ». Il joue avec la matière et réalise « Hell », qui semble taillé dans la masse, et « Aïe », aux inclusions de cristal brut. En 2011, avec sa fille Ara, il compose les coffrets « Jeu de dames en noir », où des flûtes Harcourt claires et noires font office de pions.
Toujours en 2011, les étudiants du Master en Design et Industrie du Luxe de l’Ecole Cantonale d’Art de Lausanne (ECAL), sous la direction de deux designers londoniens, Ed Barber et Jay Osgerby, sont à leur tour invités à donner leur interprétation d’Harcourt. Les quinze créations sont ludiques ou pragmatiques : jeu d’échecs (« Chess », Xin Wang), sablier (« Sand », Yu Tien), accessoires permettant de presser, infuser, piler et filtrer (« Tops », Guillaume Noiseux), ensemble de bilboquets et jeux d’adresse (« Play », Decha Archjananun), bracelets basés sur des découpes horizontales du verre Harcourt (« Slice », Daniel Martinez)…

Commandes prestigieuses
L’empereur Napoléon III est le premier souverain français à l’avoir choisi. Il est très proche du verre d’apparat du roi Louis-Philippe, son prédécesseur.

Au fil du temps, les commandes prestigieuses affluent : la Présidence de la République française l’utilise lors des dîners donnés en dehors de l’Elysée, comme dans la Galerie des Glaces du Château de Versailles, et il est présent sur les tables des plus grandes ambassades de France à l’étranger comme aux Etats-Unis ou
en Angleterre.
Nombre d’armoiries ont orné ses côtes plates légendaires. Des rois et présidents à travers le monde l’ont commandé à leurs armes ou monogrammes. Parmi eux les papes Benoît XV (1914) et Jean-Paul II (1979), les Présidences des Répu-bliques du Brésil (1952), du Liban (1955) ou du Mexique, les Émirats Arabes Unis (1959), ainsi que les rois du Cambodge (1961) ou du Maroc (2010). Pour célébrer le 2500e anniversaire de l’Empire perse, il figurait sur les tables d’apparat des fêtes de Persépolis organisées par le Shah d’Iran.
Boni de Castellane, l’arbitre des élégances de la Belle Époque, aurait dit d’Harcourt qu’ « il apporte, par sa sobriété, une note de noblesse sur la table ». Une table « en Harcourt », qu’il s’agisse d’un dîner intime ou d’un festin de roi, est tou-jours le symbole d’un moment d’exception.

Service d’hier, d’aujourd’hui et de demain, service de « toujours », Harcourt symbolise la beauté de la matière dans une expression pure.

L’HARCOURT… TOUJOURS

Les 170 ans d’une icône
Sa forme, toujours fidèle à sa définition initiale datant de 1841, « verres de table de forme Gondole à triple bouton, taillé à côtes plates larges », est réalisée encore aujourd’hui à l’identique. Tout tient dans sa silhouette, son poids, sa transparence, dans la beauté de sa paraison qui fait penser à une corolle sur pied, à un calice. Il y a du gemme dans ce verre là, du tellurique et de l’aérien aussi, du rêve et du réel. Le verre Harcourt fascine ainsi comme une œuvre d’art.
Il joue avec la lumière, magnifie la robe d’un grand nectar, donne du faste à la plus modeste des tables, rend festif le plus simple des diners.

Pareil joyau ne pouvait qu’attirer les plus belles tables du monde. Celles de Louis-Philippe et de Napoléon III tout d’abord, lorsque le verre vit le jour, puis aujourd’hui celles de l’Elysée et de nombreuses ambassades françaises. Même engouement à l’étranger où le verre est monogrammé du sceau, ou de l’emblème, de ceux qui l’acquièrent.

Baptisé en 1920 du nom d’une des plus vieilles familles aristocratiques normandes, le verre Harcourt appartient donc à notre histoire, à notre mémoire collective, mais aussi à notre présent. On rêve tous d’en posséder au moins un au cours de sa vie, comme le drap en soie d’un trousseau, non seulement parce qu’il figure sur les plus belles tables du monde, mais surtout parce qu’il enferme l’idée de l’excellence, du luxe et surtout du rêve. Et incarne, tel un grand parfum, une manière de s’approprier une infinie parcelle de cette fascinante nébuleuse qu’est Baccarat.

L’esprit d’un grand bal
Pour fêter les 170 ans du verre Harcourt, Baccarat organise du 9 septembre 2011 au 28 janvier 2012, sous l’égide du conservateur du patrimoine et commissaire de l’exposition Michaela Lerch, un événement spectaculaire qui s’articule autour de la thématique d’un Bal du Siècle.

« L’idée est de suggérer une atmosphère de bal, explique le photographe Philippe Jarrigeon, scénographe de l’exposition en collaboration avec le bureau d’architecture Abinal & Ropars, une sorte de fête sans fin sur laquelle plane la poésie du temps qui passe, avec des pistes de danse et des tables de banquets désertées, des invités évoqués par des silhouettes… Un peu comme si Monsieur et Madame Harcourt nous avaient accueillis pour une nuit féérique. Pour cela, nous avons travaillé sur des ambiances théâtrales et surréalistes faisant appel à tous les sens, sur des notions de temps suspendu, sur des thèmes évoquant la musique et la danse. Et plus concrètement sur des effets spéciaux, des rapports d’échelle, des jeux de lumière. Tout est donc ici question de réinterprétation et de détournement pour montrer que le verre Harcourt est bien une création d’aujourd’hui. »

Et quel lieu plus magique que la demeure de Charles et Marie-Laure de Noailles, célèbre pour ses bals, pour évoquer une telle atmosphère !

Début des festivités au rez-de-chaussée, en bas de l’escalier monumental. Sur la chaise en cristal surdimensionnée de Philippe Starck, un personnage en bois sculptés selon les formes du mythique verre Harcourt nous accueillent.

Arrivée en haut des marches, mariage du symbolisme et de la musique ! Notre œil et notre oreille sont immédiatement attirés par la grande armoire-vitrine murale. Sur des métronomes géants (hommage à l’obélisque en cristal noir dessiné par Georges Chevalier qui a inspiré Ettore Sottsass pour sa collection en 2002) occupant la moitié du meuble, sont posés des verres Harcourt, comme des œuvres d’art en équilibre.
Poursuite du rêve dans la salle au candélabre du Tsar baptisée « Folie des grandeurs ». Dans cet espace séparant le musée de la Salle de Bal, on a la sensation de se retrouver dans un élégant club de musique, grâce à la lumière, tout d’abord, modifiée sous l’effet d’une gélatine vert absinthe (l’opposé chromatique du rouge rubis, couleur emblématique de Baccarat, mais aussi la couleur d’un alcool festif, de l’ivresse, d’une boîte de nuit) posée sur les vitres. Et comme il n’y a jamais de fête sans musique, celle-ci est jouée par un quart de queue Pleyel aux pieds chaussés. Pour nous plonger encore plus dans l’atmosphère sur-réaliste du lieu, la photo d’une nature morte de verres Harcourt est fixée au mur et trois personnages Harcourt déambulent à côté du candélabre et d’un piano à queue Pleyel.
Dans la Salle de Bal, la fête continue sur un écran retransmettant la silhouette d’un personnage féminin buvant indéfiniment à une « fontaine Harcourt », évoquant ainsi l’infini des choses, l’éternel recommencement, une fête sans fin…
Dans la salle « Alchimie » aux murs habillés des toiles peintes de Gérard Garouste, immersion dans une nouvelle obscurité. Ambiance de nuit parisienne, entre défilé de Haute Couture d’aujourd’hui et réminiscence des grands clubs mythiques de la capitale. Baignées d’une lumière sublime et dramatique, les deux vitrines de l’espace opposent et rassemblent dans un geste théâtral unique, les pièces surdimensionnées de la collection (verres, carafes, brocs… de taille XXL) et une mise en scène pyramidale composée d’une infinité de verres Harcourt classiques, orchestrée dans la seconde vitrine.
Dans la grande salle du musée baptisée « Au-delà de la transparence », le fond des quatre vitrines est composé de mini cubes en noir et blanc, servant de supports aux pièces exposées et regroupées par thèmes.
Dans la première vitrine, Le dancing room, s’affiche la famille Harcourt au grand complet, verres, carafes, brocs, gobelets, chopes, flutes, coupes, flacons à whisky, confituriers jusqu’aux pots à moutarde…
La seconde vitrine, Le cocktail bar, expose, elle, les origines, les précurseurs (service Charles X, verre d’apparat Louis Philippe…), les commandes prestigieuses, celles du pape Jean-Paul II pour le Vatican ou encore celles des royaumes du Cambodge et de la Thaïlande, de l’Inde et de l’Iran, entre autres…

La troisième vitrine, La salle des jeux, nous dévoile les merveilles du cristal noir, les jeux de matières illustrés par le service Palais Royal réalisé en 2011 évoquant les clairs-obscurs, et les jeux tout court avec des réalisations fascinantes et ludiques qui mettent l’accent sur le détournement de la fonction, avec par exemple le Jeu de dames en noir créé cette année par Philippe et Ara Starck, ou encore avec les réalisations de l’ECAL (Ecole Cantonale d’Art de Lausanne), Play dessiné par Décha Archjanarun, ou Chess, un jeu d’échec dessiné par Xin Wang.

Dans la quatrième vitrine baptisée Le carré VIP, valsent les variations autour de la Saga Harcourt, signées Tsé & Tsé, Kuntzel + Deygas, Inga Sempé, Arno Billault, mais également celles de l’ECAL comme Jars et Tops, bocal traditionnel à conserve revisité et « accessoires permettant de presser, infuser, piler et filtrer » dessinés par Guillaume Noiseux, Flat, plateau en laque s’adaptant sur des verres Harcourt retournés créé par Romain Lagrange.

Biographies
Diplômé de l’Ecole Cantonale d’Art de Lausanne, Philippe Jarrigeon est photographe et a déjà collaboré avec des grands noms de la décoration, de la mode et de la presse, Maison Martin Margiela, Dries van Noten, Libération, Courrier International, Wallpaper, Jalouse. Il enseigne la photographie à l’Institut Français de la Mode et à l’Ecole Cantonale d’Art de Lausanne et édite la revue galante Dorade, photographie et formes critiques qu’il a crée avec Sylvain Menétrey en 2009. Il a par ailleurs co-signé la direction artistique de la communication visuelle de la dernière édition de la foire Art Paris.
www.philippejarrigeon.com, www.dorademagazine.com

Edouard Ropars et Julien Abinal (architectes DPLG) ont fondé leur agence en 2008 spécialisée dans des projets liés à la culture et aux modes de vie contemporains. Ils ont travaillé avec l’architecte Patrick Berger sur de nombreux projets dont la création d’une maroquinerie Hermès dans les Ardennes, ainsi que la scéno-graphie d’une ligne de haute joaillerie Christian Dior en 2007. En octobre 2010, ils ont réalisé avec Philippe Jarrigeon la scénographie des « 10 ans de création à l’Institut Français de la Mode » au Salon Première Classe et construisent aujourd’hui un équipement culturel dans le XVIIIe arrondissement à Paris.
www.abinalandropars.com

PLEYEL PARIS
Les Pianos PLEYEL s’associent à Baccarat pour célébrer l’icône de la maison de cristal, le verre Harcourt. Apportant un supplément de surréalisme suscité par le scénographe Philippe Jarrigeon, le piano demi-queue PLEYEL équipé d’un système de jeu automatique accompagne le promeneur dans sa balade initiatique.
Grâce à ses savoir-faire uniques et rares transmis depuis 1807, la plus ancienne Manufacture de pianos au monde et l’unique en France joue l’accord parfait du patrimoine et de la création, de l’artisanat et du design, de la tradition et de l’innovation.

Dédiée exclusivement à la haute facture et à la commande spéciale, PLEYEL fabrique et édite, depuis 2000, une collection de pianos et de mobiliers d’exception avec la compli-cité de designers et d’artistes dans un esprit d’ensembliers-décorateurs.
C’est la deuxième fois que les Maisons Pleyel et Baccarat s’associent pour une exposition (la première à Milan en avril 2011 chez Michele De Lucchi). Les deux entreprises ont reçu le label d’Etat « Entreprise du Patrimoine Vivant ».
Showroom des Pianos Pleyel:

Salle Pleyel, 252 bis, rue du Faubourg Saint Honoré, 75008 Paris,

T. + 33 1 45 61 53 00, www.pleyel.fr


L’HARCOURT TOUJOURS… Les 170 ans d’une icône

Exposition patrimoniale à la Galerie-Musée Baccarat (Paris) du 9 septembre 2011 au 28 janvier 2012
Commissaire de l’exposition: Michaela Lerch,

conservateur du Patrimoine, en collaboration avec Sandrine Fritz et Sylvia Tegoni

Service Patrimoine, T. + 33 1 40 22 11 00, patrimoine@baccarat.fr
Direction artistique: Philippe Jarrigeon

Scénographe: Philippe Jarrigeon en collaboration avec le cabinet d’architectes Abinal & Ropars

Production: Guillaume Zicharelli
journal:

Conception graphique: Emmanuel Crivelli

photographie: Philippe Jarrigeon

assisté de: Clément Quentin et Arnaud Le Brazidec

texte: Serges Gleizes, Michaela Lerch et Sandrine Fritz

Retouche: Pixus Retouch impression: Deckers S. Anvers
Film:

réalisation: Philippe Jarrigeon

chef opérateur: Antoine Asseraf et René Habermacker

assisté de: Aranud Le Brazidec

coiffure et maquillage: Hugo Villard

Stylisme: Charlotte Collet
Nous tenons tout particulièrement

à remercier: Roland Saget — Directeur Maison-Décoration et Fabien Vallérian — Chef de produits Maison-Décoration, Adam Bainbridge, Charlotte Collet, Mathieu Buard, Agathe Labaye, Salle Pleyel & François Céria, architecte
Informations pratiques: Galerie-Musée Baccarat,

11, place des Etats-Unis, 75116 Paris, T. + 33 1 40 22 11 00

Ouverture de 10 h à 18 h 30 tous les jours sauf mardi, dimanche et jours fériés

Prix d’entrée : plein tarif 5 €, tarif réduit 3,50 € ; visite-conférence sur réservation
Informations presse :

Caroline de Laurens — Julien Guitard

caroline.delaurens@baccarat.fr — julien.guitard@baccarat.fr,

T. + 33 1 40 22 11 18

Maison Baccarat 11, place des Etats-Unis, 75116 Paris, France

www.baccarat.com

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