Terme du début du XX. Ethno = études des peuples. Musicologie = référence ♫cale è étude de la ♫ des peuples








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Ethnomusicologie
Introduction 
 
Organologie.
Ethnomusicologie : terme du début du XX. Ethno = études des peuples. Musicologie = référence ♫cale è étude de la ♫ des peuples.
Provient des empires coloniaux, exploitations africaine par les peuples européens. Donc confrontation entre les cultures ≠. Acceptation des ≠ est longue.
XIX : peuples ont des cultures, ne sont pas des sauvages et apportent des choses en + 
Fin XIX (Debussy) on intègre des ♫ de java dans les compositions à prise de conscience qu’il n’existe pas de  suprême, la ♫ est envisagé différemment.
L’ethnomusicologie étudie les formes, les esthétiques des instruments, mais aussi le sens ♫cale, car les ♫ du monde ont une origine sémiotique (athée, religieuse, traditionnelle, rituelle)
Lecture : l’origine des instruments de musique André Schaeffner, Instruments de musique du monde Lucie Rault.


I.     Division des instruments
 
 
Un collection d’instruments au XIX est intégré au musé de l’homme qu’on ne sait analyser. On les classe quand même. On utilise une classification indienne. Les indiens ont leurs propres ouvrages de musicologie repris par les occidentaux.



  • Instrument tendu = instrument à cordes è cordophone

  • Instrument recouvert = instrument à membranes è membranophones

  • Instruments creux = instrument à vent è aérophone

  • Instrument solide = ??????????? donc percussion è idiophones


1511 Musica Getuscht Virdung
Ø  Praetorius édite de la ♫ de la renaissance Syntagma 1614 récapitule les instruments de ♫ européen et extra européen.
Ø  le traité de l’harmonie Universel Père Marin Mersenne 1636
Ø  traité de Trichet 1640 reste en manuscrit jusqu’en 1980
Sachs et Harnbostel (vérifier l’ortho) mettent en place la classification utilisée aujourd’hui. On a rajouté récemment (1960) les électrophones les instruments électriques.

II.     Les cordophones 
1. les harpes 
 

La + vielle et + ancienne = la harpe monocorde. C’est l’arc à bouche. Résonne avec la bouche. C’est une corde tendue sur un arc amplifié soit avec une calebasse, soit avec la bouche. On utilise le principe des harmoniques. (Vidéo)
Le berimba = est utilisé au brésil dans des rituel de capoeira. Partie de l’arc à la bouche. Il s’est retrouvé au brésil à cause des déportations d’esclave. Récemment ces instruments se sont diffusés partout.
-3 000 ans av J.C 1ère harpes à 2 cordes à on rajoute des cordes à l’arc musical è lyre antique.
La ♫ est quelque chose de sacré à l’origine
Catégorie chez les grecs est ≠ :
Ø  apollinienne : cordes, beau sacré intelligent, l’ordre
Ø  dionysiaque : vent désordre, populaire, païen,… (division qui vient du mythe d’apollon et Dionysos. 
En Egypte : 1ère harpe qui à évolué en occident
1970/80 les africain commence à s’installer en France à Paris. On redécouvre des instruments comme la Kora = instrument d’Afrique de l’ouest correspond à la ♫ des griots. Cet instrument possède dans une culture un sens précis. Au Mali la Kora est un instrument rituel qui raconte des histoires par le Griot. (Genre de troubadour africain). C’est une ♫ à tradition oral. Il existe des Famille de Griot (Sissoko (ou Ciscoko ortho à vérifier, Kouyaté) lorsque les ♫ciens sont venu en Europe ils ont laissé tomber les histoires pour ne faire que de la ♫ instrumentale. Devenue une ♫ de divertissement.
C’est une grande harpe à 21 cordes + un système de bruitage on ne recherche pas un son pur.
Evolution chronologique : le Griot utilise la base pentatonique, puis le blues, puis le système tonal.
La harpe celtique est jouée traditionnellement en Irlande au XVIII (un peut le même principe philosophique que le Griot). Le + célèbre est O’Carolam aveugle qui écrivait et éditait. La harpe est le symbole de l’Irlande.
1960 : renaissance des régionalistes en Europe (+++en France). Un Breton Mr Cochevelou un militant Breton invente en Auvergne (WTF ?) une harpe Bretonne petite et très puissante pour le répertoire Breton. Il forme son Fils Alain qui à 18 ans prend le nom d’Alain Stivell.$

2. Les luths 
 

An arabe : le « Oud » « Ud » et par extension « Proud »
Ce sont des cordophones à cordes pincé dont les cordes sont tendues sur une caisse de résonnance.
Le Luth médiéval : vient du Sud de la méditerranée.
« Ud »= existe des instruments non frété pour ne pas ajuster la hauteur des notes et d’autres avec frète pour arrêter les notes.
Les luths les + ancien ne sont pas frété : la division du son est + fine et on peu jouer en ¼ de ton avec des effets glissando.
Au début les luths étaient à une seul cordes ou 2 max. 
Le Gembri : Luth à caise rectangulaire avec des cordes tendu ≠ nom suivant les régions (N’Goni, Hajouj). Joué par la confrérie des Gnawas, anciens esclaves au service des puissants africain. C’est une secte religieuse de la branche du Soufisme qu’on retrouve dans toute l’Islam. Les Gnawas sont très représenté au Maroc. La ♫ qu’ils jouent permet de rentrer en transe en dansant. 
Dans le Soufisme, la ♫ à une place très importante, elle permet d’atteindre le divin, le sacré.
Vidéo : un ♫cien + contexte de danse Gnawa. Il utilise le mode pentatonique. Dans le nord de l’Europe il existe des luths à 5 cordes doublé. Ce sont des luths non frété des « Oud »
Vidéo : régions du Sahara les touarègues populations nomade Bali Otmani joue (transition entre les Gnawa et le monde Occidentale). Il utilise un mode pentatonique, des effets répétitifs, une technique responsoriale, poétique.
Il existe un ♫ ≠ mais avec le même instrument Oud. Il est utilisé dans la ♫ dite classique ou savante en Irak Turquie Syrie. Même instrument mais avec une évolution du jeu.
Munir Bachir est un joueur de Oud en Irak. Il à propager son art hors de l’Irak car il  à présenté ses concert de manière nouvelle.
La forme instrumentale est en 2 partie : une intro lente est non mesuré et une partie rapides et virtuose. C’est une musique entièrement improvisé et non écrite mais avec des règles. Il faut jouer dans un mode, faire évoluer la ♫. Ces conventions permettent des formes classiques communes à la culture de la ♫ indienne perse, arabe.
Les modes : arabe : « makam » ou « maqam »   : c’est une succession de notes qui définissent une gamme.
En inde, les modes sont ++++ nombreux et ≠ s’ils sont ascendant ou descendant. Chaque mode à une signification sentimentale (≠ états d’âme)
Hamir Bachir connait beaucoup de modes et de variations. Il adresse aux publics européenne et américain une ♫ + adapté et + compréhensible. Il développe le taksim = l’introduction lente pour exposer le mode + un impro sur ce mode. Normalement s’en suit une partie rapide et virtuose (le friss) mais il abandonne cette partie pour les européens et américains.
La ♫ arabo andalouse : est une ♫ de transition. Forme ♫cale présente au Maroc en Tunisie, en Libyeè car proche de l’Espagne. Présence arabe en Espagne forte. 1492 les rois catholiques expulsent d’Espagne les juifs et les arabes. Cette ♫ et ces maîtres se réfugient alors au Nord de l’Afrique. La ♫ se transmet là-bas oralement. Dans cette ♫ les instruments à cordes sont +++ important.
Raymond Leyris (oncle d’Enrico Macias)
Les luths médiévaux : 1960 on fait une reconstitution de la ♫ médiévale. Thomas Binkley.
Les luths frété : on fix la hauteur des notes.
L’instrument le + virtuose = ♫ de Saz : un luth à très long manche fin petite caisse de résonnance, cordes métalliques, des frète déplaçable. C’est un instrument turc on tape aussi sur la caisse en même temps qu’on joue.
Le Bouzouk ou Bouzouki : même chose que le Saz mais en Grèce. Imaginé par un grecque en Amérique qui a fixé les frètes en métal puis est retourné en grec et en Irlande pour propager son art (WTF ?)
En chine « Pipa » de frète sculpté dans le bois à instrument trad en chine, technique de doigt, cordes frappé Pipa en chinois = façon de frapper les cordes
La guitare : c’est un luth. Vient du grec kithara è tt les instruments de ♫ à cordes. Forme frété.
Polysémie : ≠ nom pour le même instrument
Polymorphisme : ≠ instrument pour un même nom.
La guitare flamenco : du sud de l’Andalousie. Instrument qui est partie avec les espagnoles au Mexique. A ce contacte ile est adopté par les blues men du sud de l’Amérique. Ce style de guitare de développe avec John Lee Hooker
Le Sitar Indien : (nord et sud) fait parti des luths. C’est un manche qui comporte des frètes métallique. En Inde il existe 2 formes ♫cale :
Inde du Nord : Inde musulmane : ♫ hindoustani
Inde du sud : Inde Hindouiste : ♫ carnatique
La séparation des 2 indes est historique.
Utilisation des modes : ♫ ø harmonie dans 1 échelle tonale.*
L’échelle modale indienne = és qui définissent des émotions, des sentiments. Même système d’exposition que le modèle arabe :
·        arabe : taksim, indienne : Alap è façon d’exposer l’échelle du mode, la couleur modale, très lent et non mesuré
·        2ème partie très rapide rythmé, qui permet au ♫cien d’exprimer sa virtuosité
La ♫ indienne utilise des gammes avec des ¼ de ton.
Ravi Shankar est un grand maître de la Sitar et il l’a diffusé en occident.

3. Les Cithares (≠ de la Sitare)
 
 

Instruments à cordes tendu sur des caisses ø manches, soit posé sur des pieds soit sur une table
Au moyen age était appelé Psaltérion (vient de psautier pour lire les psaumes) il était joué en frappant les cordes soit avec les doigte soit avec des baguettes.



  • Avec les doigts : le Kanun ou Kânoun. Utilisé dans la culture islamique et tout les pays en contacte. Les cordes sont pincées et doublé ou triplé. L’instrument possède environ une gamme et un peu plus. Plus tard, le clavecin avec le même principe de corde pincé

  • Avec les baguettes : la Santur utilisé en ♫ indienne ou persane. Equivalant du cymbalum, on le retrouve dans les pays tzigane en Hongrie, Roumanie. Donnera le piano. Un variante en Autriche le Hackbrett.


Au japon on l’appel le Koto (Dan Tranh au Viêt Nam, Cheng en Coré).
Toujours la grande cithare en Asie. Elle est jouée avec les doigts par des femmes. Avec des cordes en soie car cela permet +++ de mobilité en appuyant sur la cordes on peut changer la hauteur de la note jusqu'à 1 ton. La ♫ à une couleur pentatonique et à influencé les ♫ occidentales (Ravel, Debussy)
La Cithare Hybride = Zitern en Autriche. Elle est exportée aux USA dans les montagnes Appalaches sous le nom de Montaine Dulcimer (vérifier le nom). Une partie frétée et une non. Le jeu avec les baguettes est appelé Hammered Dulcimer
La Cithare Tubulaire vient Madagascar. Valiha.
Le Sitar indien. C’est un instrument qui c’est délocalisé. Il utilise un mode mélodique le raga (macam en ♫ arabe) et un mode rythmique le tala. L’alap est l’exposition équivalant du taxim en arabe.
Vidéo de Ravi Shankar . Il est accompagné par la tempura qui fait un bourdon.
Le système d’apprentissage indien : un Guru (maître) et le Shishya (diciple). Il vit avec le maître pendant des mois, voir des années pour s’imprégner de la ♫ du maître. Il peu ne pas toucher à la sitar avant 4 ou 5 ans. Puis il joue de la tempura et accompagne son maître. La sitar à 6 cordes de jeu (de la famille des luths) è peut avoir jusqu'à 3 octave (voir 4 avec un de + dans le grave) les cordes son des cordes sympathique accordé en fonction de la gamme utilisé (qui on des harmonique naturellement accordé avec la gamme utilisé)
La sitar est le symbole dans les année 60’ de l’exotisme. Utilisé par les Beatles dans le mouvement hippies, le rock progressif, la ♫ pop,…

4. Les Vielles 
 

C’est un archet qui vient frotter la cordes soit poser sur la cordes, soit qui passe par derrière et la tire. Instrument présent depuis longtemps. Dans la ♫ arabe nom : Rebab ou Rabbhabe. En occident au moyen age : Rebec.
La lyra crétoise est faite d’une seule pièce de bois. En Iran : Kementche (la même chose)
Les violes à nom pour le quatuor (Violes violon violoncelle,…) ils étaient frétés au début. Jordi Savall est un grand joueur de Viole. 
Vielles à roue : instrument emblématique des mendiants. Une corde frottée par un archet sur une roue, qui passe sous les cordes. La roue est actionnée par une manivelle. Les cordes sont arrêtées par un clavier. Les autres cordes sont des cordes de bourdons. La vielle à roue connait un renouveau en 1970/80
La vielle à archet est comme une vielle à roue mais la roue est un archet. Joué en suède au XVIII = Nickelharpa et influence beaucoup de baroqueux.


III.     Les aérophones 

 
Ce sont des instruments à vent, qui produisent un son grâce à la vibration créé par un souffle d’air :
ü  Humain 
ü  Mécanique (orgues accordéon soufflet,…)
ü  Air ambiant (les palles d’un ventilateur)

1. A aire ambiant 


Le Rhombe : un objet trouvé dans des tombes préhistoriques. Lorsqu’on tourne la ficelle ça produit un son. C’est un objet rituel au brésil qui évoque la voix des esprits.
 
2. Les flutes 
 

Lorsque l’air projeté est arrêté par un biseau (une arrête).≠ si c’est l’humain qui envoie directement l’aire sur l’arrête ou si l’air est conduit vers l’arrête.



  • La flûte globulaire :


L’ocarina : existe dans les cultures près colombiennes. Flûtes en terre à forme globulaires (globe), mais aussi ≠ formes (anthropomorphe (forme humaine), zoomorphe). Peut aussi être faite en os animale ou humain, en formes phalliques (symbolise le rapport à la vie). Les aérophones on une grande symbolique car on utilise le souffle dans quelque chose d’inanimé voir de mort è donne la vie par le souffle à la forme à une grand importance.



  • La flûte tubulaire


Forme de tube avec ou sans trou. La flûte harmonique suédoise qui fonctionne en fonction des harmonique et si on bouche ou non le trou terminal.
La flute de pan (le syrinx) existe en Amérique centrale, Mexique (apporté par C. Colomb ???) la Zampona.



  • Flûte à embouchure latéral


Flûte traversière. En Inde : en bambou avec 6 trous flûte bansouri. Même gamme que le Sitar indien, complexe, virtuose.



  • Flûte à bec


La flute baroque. Il en existe de toute taille en Europe occidentale mais aussi en Slovaquie flute : Fujaïrah. Le ♫cien introduit ses aires par une surpression de l’air pour sortir les harmoniques à se rapproche du bruit.
La galoubet : une flûte provençal. Se joue à une main est accompagné par un tambourin dans l’autre. Ce couple tambourin galoubet à traversé le moyen Age, était joué à la cour.
La serinette : flûte joué par une mécanique. Jouet du XVIII pour éduquer les oiseaux. Genre de boîte à ♫, magnéto du XVIII.
Le Tin Whistle : flûte des migrants irlandais. Tin = Métal, ou penny Whistle car il ne valait qu’un penny.
Flûte Satara : au Rajasthan, une flûte à bec à 6 trous + une flûte bourdon. Se joue en souffle continue.
Flûte Bahn : des aborigènes. S’utilise en la faisant tourner.
La Quena de la cordillère des Andes 
Ney (♫ savant, en roseau 6 trou biseauté souvent pour les ♫ Sufi) et Ghasba (♫ populaire) sont les mêmes instruments mais jouent et accompagnent des répertoires complètement opposé.
Le Kaval, en Bulgarie ou Turquie, en bois.
Nahr : technique de jeu de voix+ flûte en même temps (au rajasthan)
Le chant diphonique : technique vocal qui existe essentiellement en Mongolie chez les Touvas. Performance des bergers : produit plusieurs sons à la fois à la voix (harmoniques)

3. Les anches en bois
 
 

Les anches simples : généralement ont une perce cylindrique comme la clarinette : terme générique organologique
Les anches doubles : deux lamelles qui vibre l’une contre l’autre, généralement on une perce conique
Jean Jenkins pense que l’anche a été apporté par les civilisation arabes. Les anches sont faites de toutes les matières. Beaucoups sont en roseau, mais il en existe en papyrus, en métal, cornes, plastiques,…
Arghul (en egypte, Aulos (grèce) à phorbeia : « muselière ». Porté par les joueurs pour le souffle continu : jeu à deux mains, deux mélodies. Surtout avec des anches simples (existe en double)
Launeddas en Sardaigne : 3 clarinettes joué en même temps en souffle continue, inspiré du aulos.
Le Binh en Inde : même instrument, avec une calebasse qui recouvre les deux anches pour les protéger : instrument des charmeurs de serpents : attiré par le mouvement et le côté brillant de l’instrument.
Klezmer



  • Les hautbois


Le hautbois de la renaissance : pirouette : pièce de bois qui protège la clé du petit doigt.
Haut : puissance de l’instrument, bois : c’est un vent.
en Italie Piffero, Zurna en Turquie, Ghaita au Maghreb.
En Catalogne à évolution du Hautbois. Il est joué traditionnellement dans les rues par des Coblas. Ce sont des formations de ♫cien avec des cuivres et des hautbois, pour faire de la ♫ de danseà sardanas. C’est une ♫ représentative de la Catalogne.
Le hautbois baroque n’a ø harmonique agressive car on à adoucie l’anche pour avoir un son + propre.
Pour la Coblas, on à gardé la puissance et l’agressivité d’origine du hautbois populaire. Les instruments des Coblas du + grave au – grave : Graille, Tenoras, Tibler.
Le tourne bout : Krumhorn (all) Cromorn en français. è
Le Duduk : arménien : perce cylindrique à anche double. Se développe beaucoup à Marseille par la communauté arménienne. Peter Cabriel joue et l’utilise au Cinéma.
Le Saxo : anche simple sur perce conique. Inspiré du Taragot roumain.
La cornemuse : réunie l’anche simple, double, la perce conique et cylindrique, et le souffle continue. Bourdon par l’anche simple, hautbois mélodique à anche double. Existe en Inde
La Zampogna, Gaita, Veille an Pies (Ecossaise).

4. Les anches labiales
 
 

Les trompes à perces cylindrique, et les cors à perce conique.
Le coquillage d’appel, les cornes d’oliphant. Le cornet à bouquin (vient de l’italien el corneto a boca le cor à bouche … vive les traduction français), les trompes de chasses, le cors des alpes.
Le didjeridoo. à Yidaki. D’Australie, joué par les aborigènes. Ils plantent une branche dans le sol et les termites viennent le creusé naturellement. Puis ils adaptent une embouchure en cire. Joué en souffle continue. C’est aussi une percus (on frappe dessus en même temps qu’on joue). « Didjeridoo » est une onomatopée inventée par les occidentaux. Selon les aborigènes on vit le rêve de quelqu’un. Le didjeridoo à son origine comme quoi il aurait contribué à la création du monde.

5. anches libres 
 

Le kène (scheng en chine) = orgue à bouche. Utilisé dans l’orchestre chinois classique. Avec une anche libre. ♫ à bourdon, ø souffle continue mais on inspire et on expire comme pour l’harmonica donne illusion de souffle continu. Il existe depuis + de 1000 ans en chine.
Donne l’idée en 1830 d’adopter l’anche libre pour l’accordéon. Peu être à touche ronde ou à clavier, chromatique ou diatonique (une gamme ou tout les demis tons), bisonnore ou unisonnor (un son ≠ quand on tir ou on pousse, ou le même son que l’on tir ou pousse) existe des bisonnore chromatique comme le bandonéon.
L’accordéon à eu +++ de succès en ♫ pop. Mais la ♫ pop récente  comme dans le tango utilise le chromatique. L’Italie est un grand facteur d’accordéons, et il y a beaucoup de styles de jeu. la tarentelle = suite notes très, très rapide
L’harmonium : même forme que l’orgue mais pédale font soufflet. au début, un instrument religieux (dans les temples, les églises). Au XIX on construit +++ d’église et une église = un harmonium. On en trouve dans les églises de campagne. XIX les jésuites ont implanté des colonies et on amené l’harmonium dans les autre pays. En indes cet instru est détourné et devient un instrument indien le Reed Organ : petit harmonium. Mélodie d’une main et soufflet de l’autre.
Le kawali chez les sufisme. 
L’harmonica : comme l’accordéon unisonnore, bi, chromatique, diatonique. Inventé en Allemagne en 1900’.


IV.     Les membranophones. 
 

Instrument dont les sons sont produits par la vibration d’une membrane tendu sur un cadre. Peut ne pas avoir de résonateur ou d’amplificateur.

1. Les tambour à peau. 
 

Peau = écorce, peau de poisson, d’animaux, aujourd’hui, synthétique,…
Le mode de frappe peu se faire soit directement par la main, soit indirectement par des baguettes.
Les percus étaient avant la renaissance considérées comme des instruments ø rapport avec la vie, proche de la ♫ barbare, du diable, mauvais. è Résultat de l’influence des Maures. C’est un instrument qui renvois à une divergence culturel assimilé à la sauvagerie.
Cette étrangeté séduit au XX les courant ♫ de Stravinski Debussy. Le sacre du printemps le jazz, le rock.
Evoque le mystère des chamanes, sorcier rituel. Il utilise le tambour. En Mongolie, dans les steppes, en inde, en Amérique du nord, central, il évoque le monde des morts, la magie. Il frappe sur la membrane tendu sur un crâne, et souffle dans un tibia ou un fémur humain. Costume avec des morceaux d’humain è mis en scène rituel.

2. La darbouka / Darabourka. 
 

De l’inde au Maroc on en trouve. C’est une poterie avec une peau tendue dessus. 1960 on en trouve en France grâce au migration, dans la pop, le rock, le moderne avec un corps en fer et une peau synthétique. S’est adapté aux ♫ actuelles (de la même famille que les congas).
D’jembé : membranophone d’Afrique de l’ouest Bénin Sénégal Burkina,… instrument de griot (kora) inclus dans les anciens empires Mandinques. 
Gros tambour en forme de sablier avec une peau de chèvre tendu dessu et des sésé (morceau de fer avec des grelots/coquillages dessus) pour faire du bruit. Traditionnellement c’était pour annoncer les arrivé des très, très loin. Interdit dans les champs de coton à l’époque de l’esclavage pour empêcher les esclaves de communiquer entre eux.
Instrument réservé à la caste des griots, se transmet de père en fils ou de maître à élève. Les femmes n’en jouent pas mais aujourd’hui tout le monde en joue.
Le sabar : un joueur e ou plusieurs et où on improvise une danse sur le rythme du d’jembé. è Donne le break-dance ou hip-hop qui intègre les codes gestuel de la danse africaine

3. Percussion de l’Inde Iran Perse. 
 

Le Zarb : fut en vois et peau tendu. En Iran, le tumbak en français.
♫ Très ≠, ø expressivité joyeuse, de danse, ♫ introverti, intime, naturellement réfléchie. On joue partout, on claque la peau, on frappe on pince, tape sur le fut. Technique de jeu complexe qui rappel les tablas indien. Instrument emblématique de l’Iran. Duran une période on a interdi sa pratique en Iran è exode en France. Chemiran Keyvan et chemiran Bijan jouent du Zarb. La ♫ indienne respecte des codes rythmiques. Le Zarb accompagne le sitar en Inde. A un jeu très digital.
Les tablas : toujours par deux. Le grand est le Bayan et le petit, le Dayan. Le grand est un percussif et on crée une distorsion de la peau pour obtenir ≠ son. Sur le petit il un cercle me matière ≠ noir et plus on tape au centre plus le son est fort et aigue. Sa diffusion en Europe se fait par la colonisation en Inde de l’Angleterre. Son apprentissage se fait par la voix et l’imitation des cellules rythmiques transmise par la voix du maître. Le disciple apprend en observant. Vocalisation du rythme = technique de « bol »
Zakir Ussein = grand maître de tablas.
Dérivation du tablas = tambour à deux face. Deux face de chaque coté = le Mridangam/Dolak. Dans l’Inde du sud.
En Afrique il existe aussi. On joue à la main ou avec des baguettes. On tient le tambour sous le bras et les son ≠ sont obtenus suivant la tension des cordes qui tendent la peau. On change la tension à la main en serrant les cordes. « talking drums » tama pour son nom local.

4. Les tambours à cadres 


Lorsque la peau est tendue sur un chassie ou un cercle en bois. Comme le tambourin.
Le Bendir du Maroc è en Irlande le Bodhran, en Iran le Tar. Organologiquement c’est le même instrument mais on joue une ♫ très ≠ et plus complexe sur le Tar. On à rajouter des anneaux en métal pour une sonorité plus particulière sur le Daf en Iran seulement.
Ces instruments peuvent être joués  avec des baguettes. Porté autour du cou à double membranes = le Tapan.
Le Tambourin polytimbrique = inventé ^par Carlo Rizzo. Peut faire, grâce à un système de clé, modifier la tension de la membrane, l’ouverture des anneaux de métal, et faire plus de son qu’une batterie classique.
 
 
 
5. Instrument à frottement indirect. 


La Cuica au brésil è tambour à friction. Instrument parodique, imitatif le Brau en Provençal.♫ du carnaval au Brésil.
 
 
V.     Les idiophones 
 

Instrument de matière rigide où la matière même résonne. « idio » = sois même, instrument qui résonne par lui-même. Les cloches, claves,… ≠ suivant le mode de mise en résonnance.

1. Qui s’entrechoque 
 

Les mains. « Les Palmas » en Espagne pour le flamenco.
Les claquettes : Khartal claquette à main où la mise enscène est +++ importante.          è
Les castagnette : petite coquille (avant coquillage) en bois. Au XIX déjà le cliché de la ♫ espagnole. En 1900 caractérise la sonorité démonstrative espagnole. Un rythme qui se fait également avec les pieds « zapatea »
Quaracade = percu + sophistiqué utilisé par les famille de Gnawa au Maroc. Percu puissante de la même famille que les castagnette ou les claquettes. Important pour cette famille pour arriver à la transe dans les rituels.

2. Par pilonnement 


Frappe avec un objet qui n’est pas en mouvement comme la main qui vas taper contre un objet comme une poterie.
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