Le pagus de Sens ou du Sénonais (pagus Senonensis), qui fait partie de l’histoire gallo-romaine, avait l’étendue de l’archidia­coné de Sens. L’appellation de








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Maurice PIGNARD-PÉGUET

HISTOIRE

DES COMMUNES

DE
L’ YONNE

LIVRE IV
ARRONDISSEMENT DE SENS

1913

SENS (SENONES)
Les Origines. — Le pagus de Sens ou du Sénonais (pagus Senonensis), qui fait partie de l’histoire gallo-romaine, avait l’étendue de l’archidia­coné de Sens. L’appellation de Sens dérive de Sennis, corruption de Seno­nes, Senons, peu­plade gallique dont l’histoire a été retentissante. Sens que de nombreux his­toriens confondent avec Agendicum a été la capitale de cette peuplade des Sénons avant d’être une cité romaine, et à partir du IIIe siècle, le siège d’un évêché, qui avait pour suffragants les évêchés de Chartres, Auxerre, Meaux, Paris, Orléans, Nevers et Troyes, dont les sept initiales constituent le mot Campont. Ce mot forme la devise des armoiries de l’église de Sens. Celles de la ville sont d’azur, à la tour d’argent, semé de six fleurs de lys, 3, 2 et1, avec cette devise Urbs antiqua Senonum.

Sens, cité romaine, constituait une étendue administrative qui corres­pondait à environ trois de nos départements. Elle n’était ni plus ni moins importante que celle de Lutèce ou Paris par exemple; mais elle avait un relief historique qui provenait de son antique réputation d’avoir pris Rome six cents ans auparavant. A l’époque où nous arrivons, vers 250 de l’ère chrétienne, sa vie sociale n’est autre que celle de l’éclosion du christianisme et celle des prédications de saint Savinien et de saint Potentien qui furent martyrisés sous l’empereur Valérien vers l’an 254. Ils substituèrent à Sens une chapelle au temple païen. M. de Marca place la fondation de la cathé­drale de Sens, ou de la chapelle qui en tenait lieu, au temps de l’empereur Gratien, vers 380, et la première enceinte de la ville dans les années qui sui­virent; mais tous les historiens s’accordent pour reconnaître que la ville chrétienne n’a pas été élevée sur l’emplacement de la ville romaine qu’on a appelée Agendicum, Agied, Agedicon, Aged, Agetincum, sinon Gentico ».
Les Archevêques de Sens. — Les premiers archevêques étaient les ma­gistrats, sinon les seuls, du moins les plus écoutés du pays jusqu’à l’arrivée des vicomtes ou des comtes qui parurent sous Charlemagne. Le chapitre de la cathédrale, à la nomination de l’archevêque, se composait des cinq dignités de l’archidiaconé de Sens, de la Trésorerie, du Doyenné, de la Préchanterie, de la Célérerie; des archidiaconés du Gâtinais, de Melun, de Pro­vins et d’Etampes, constituant les quatre Personnats; des trente et un cano­nicats, des quatorze semi-prébendés, etc. Cet archevêché, qui comptait 766 cures, 26 abbayes, onze chapitres en tout avec celui de la métropole, avait dans Sens seize paroisses pour lesquelles treize curés sur seize étaient quali­fiés de prêtres cardinaux afin d’assister l’archevêque à l’office. Et l’église de Sens jouissait du privilège particulier de Garde gardienne dont on trouve la trace dans un diplôme royal de 827. Il consistait à ne soumettre qu’aux hau­tes juridictions officielles (bailliages ou autres) les affaires du diocèse, même les affaires personnelles des chanoines ou du chapitre en corps. L’archevêché en avait un autre qui l’élevait au-dessus de tous les archevêchés de France et qui lui avait été accordé en 769 par le concile de Latran, quand il conféra à Villicaire, prélat du Sénonais, le titre d’archevêque des Gaules. Cette suprême dignité le plaçait protocolairement après le député de l’archevêché de Ravenne, avant tous les autres archevêques d’Italie et des Gaules. En 876, à la prière de Charles-le-Chauve, le Pape Jean VIII accorda aux archevêques de Sens le titre de primat des Gaules. Ils restent primats des Gaules et de Germanie depuis Grégoire VII avec cette restriction que la « Primatie » des Gaules sur les quatre provinces lyonnaises Lyon, Rouen, Tours et Sens, a été attachée par le même pontife à l’archevêché de Lyon.

On connaît dans l’histoire quelques noms considérables parmi les arche­vêques de Sens dont voici la liste complète :

Saint Savinien siégeait vers 240.

Saint Potentien.

Léonce.

Séverin 347.

Audalde.

Eracle.

Lunaire.

Simplice.

Saint Ursicin 387.

Théodore 397.

Siclin.

Saint Ambroise.

Saint Agrice 487.

Saint Héracle 512.

Saint Paul 525.

Saint Léon 538.

Constitut 573.

Saint Arthême 609.

Saint Loup 623.

Médère 625.

Hildégaire 631.

Saint Honobert 640.

Armantaire 653.

Saint Honulphe.

Saint Emmon 675.

Lambert 678.

Saint Xulfram apôtre des Frisons 693.

Saint Géric 697.

Saint Elbon 740.

Mérulphe 744.

Ardobert élu en 744.

Loup II 765.

Willicaire 777.

Godescalche.

Saint Gombert.

Pierre 787.

Willebauld 792.

Bernard 797.

Ragembert 798.

Magnus 818.

Jérémie 828.

Saint Aldric 836.

Wenilon 865.

Egilon 870.

Angésise, primat des Gaules et de Germanie 883.

Euvrard 887.

Gaulthier I , 923.

Gaulthier Il, 927.

Le V. Atalde 932.

Guillaume I, 938.

Gerlan 954.

Hildeman 959.

Archambauld 968.

Saint Anatase 977.

Sévin 999.

Léotheric 1032.

Gelduin, déposé en 1049.

Mainard 1o62.

kicher 1096.

Daïmbert 1122.

Henri Sanglier 1142.

Hugues de Toucy 1168.

Guillaume de Champagne, cardi­nal, arch. de Reims 1177.

Guy de Noyers 1193.

Michel de Corbeil 1199.

Pierre de Corbeil 1222.

Gaulthier III-Cornut 1241.

Gilles Cornut 1254.

Henri II-Cornut 1257.

Guillaume III de Brosse abdiqua 1267.

Pierre de Charny 1274.

Pierre d’Anisy 1274.

Gilles Cornut II,1292.

Etienne Bocard de Penoul 1309.

Philippe le Portier de Marigny 1316.

Guillaume IV, de Melun 1329.

Pierre Roger, cardinal, depuis pape sous le nom de Clément VI 1330.

Guillaume V de Brosse 1338.

Philippe de Melun 1344.

Guillaume VI de Melun 1376.

Adémard Robert 1385.

Gonthier de Bagneaux 1386.

Gui II de Roye transféré à Reims 1390.

Guillaume VII de Dormans 1405.

Jean de Montaigu 1415.

Henri III de Savoisy 1422.

Jean de Nanton 1432.

Louis de Melun abdiqua en 1474.

Etienne Tristan de Salazar 1519.

Etienne Il de Poncher transféré de l’évêché de Paris 1525.

Antoine Duprat, cardinal, légat et chancelier 1535.

Louis Il de Bourbon, cardinal 1557.

Jean III Bertrandi, cardinal 1560.

Louis III de Lorraine, cardinal de Guise abdiqua en 1563.

Nicolas de Pellevé, cardinal 1594.

Renaud de Beaune, grand aumô­nier 1618.

Jacques Davy du Perron, cardinal, grand aumônier 1618.

Jean Davy du Perron 1621.

Octave de Saint-Larry des Bellegrade 1646.

Louis-Henri de Gondrin 1674.

Jean de Monpezat de Carlson 1685.

Hardouin Fortin de la Hoguette, Conseil. d’Etat 1715.

Denis-François Bouthillier de Cha­vigny 1730.

Jean-Joseph Languet, conseiller d’état, Supér. de la Maison Coll. et Soc. Royal de Navarre 1753.

Paul d’Albert de Luynes 1753, cardinal en 1756.

Etienne-Charles Loménie de Brien­ne, cardinal 1788, mort en 1794.

De Cicé, évêque de l’Yonne et d’Auxerre 1794-1801.

De Noé, évêque de l’Yonne et de Troyes 1802.

De La Tour-du-Pin, archevêque-évêque de Troyes et de l’Yonne 1802-1807.

De Boulogne, évêque de Troyes et de l’Yonne 1807-1821.

De la Fare, archevêque de Sens 1821-1829.

Mgr de Cosnac 1830.

Mgr Jolly 1844.

Le cardinal Bernadou 1867.

Mgr Ardin 1891.

Mgr Chesnelong 1912.


Les Comtes de Sens. — A la mort de Charlemagne, Louis-le-Débon­naire détacha. le Sénonais de la Bourgogne pour le réunir au domaine royal; en 817, il le donna à son fils naturel, Mainer; puis, en 837, il l’incorpora à l’Ile de France pour son fils préféré, Charles-le-Chauve. En 887, quand Eudes devint roi de France, l’archevêque de Sens était Euvrard. Il était ou il s’était chargé de la magistrature en général de la cité et du pagus de Sens. Le roi lui adjoignit un chef militaire, qui, sous le titre de comte, fut chargé de défendre la vallée de l’Yonne contre les Normands et les autres barbares. D’après la chronique de saint Pierre-le-Vif, ce comte s’appelait Warner. Il eut d’abord à subir l’attaque de Richard-le-Justicier, duc de Bourgogne, par haine d’Eudes, parce que Richard était un parent de Charles-le-Simple, et que l’élection d’Eudes avait dépossédé Charles-le-Simple du trône. En 887, Richard-le-Justicier s’empara par conséquent des comtés de Sens, de Ton­nerre et de la vicomté de Saint-Florentin sur le nouveau roi; puis, le comte de Sens devenait aussi comte de Joigny. Louis 1V d’Outremer, fils de Char­les-le-Simple, étant devenu roi, Hugues-le-Grand, qui l’avait aidé se fit remettre en échange les comtés de Sens, d’Auxerre, de Tonnerre, de Bar-sur-Aube et de Bar-sur-Seine. Hugues mit un vicomte à Sens, Fromond, et un vicomte à Tonnerre, Miles de Noyers. Le vicomte Fromond, défenseur des intérêts du duc, se trouva en opposition avec l’archevêque Gerlan qui les combattait. Le vicomte chassa l’archevêque. A sa mort en 953, son fils Rainard Ier ou le petit vieux devint comte de Sens. Helpon, duc de Lorraine, tué à Villiers-Louis on 965 était le cou­sin de l’archevêque Archembald et du comte Rainard qui le pleurèrent ensemble.
A l’abbaye de Saint-Pierre-le-Vif. — Le moine Clarius a accusé l’arche­vêque d’avoir consommé la ruine de l’abbaye de Saint-Pierre-le-Vif qu’avait commencée l’abbé Notraun (d’origine barbare et germanique comme Ar­chembald), en «vendant les villages, les églises et les ornements des églises de Saint-Pierre, Saint-Remy, Saint-Eracle et Saint-Pierre-de-Ferrières » pour payer son évêché de Nevers. L’archevêque continua ces mêmes ventes qu’il consacra à son usage personnel. Il alla élire domicile dans le château des moines de Saint-Pierre-le-Vif. Que s’y passa-t-il ? Clarius dit : « Quinze moines étaient restés dans l’abbaye. Il y en eut douze de tués dans la même nuit. Les trois autres échappèrent au carnage, mais ils moururent dans la même année des suites des coups qu’ils avaient reçus » . Sous son épiscopat un incendie (968) dévora les basiliques de Saint-Etienne, de Sainte-Marie-Hors-Murs et de Saint-Jean-Baptiste avec le cloître des cha­noines où Archembald logeait ses chiens et ses faucons. Cette existence lais­sait le comte Rainard maître dans la cité; mais une nuit on trouva Archembald mort. Son successeur, Anastase, voulut réclamer les droits du clergé et de l’épiseopat. Le comte, (Graf, en allemand), sorte de proconsul barbare, superposé aux anciennes institutions municipales dans chaque cité, à la fois juge, maire et commandant militaire, lui opposa le fait accompli. Le prélat l’excommunia, puis mourut (977). Rainard 1er, débarrassé de ce redoutable rival, s’ingénia pour éluder pendant cinq mois l’élection d’un nouvel arche­vêque, temps qu’il employa à exercer une violente dictature. Au bout de cinq mois, l’élection de Sévin, un petit-fils du vicomte Fromond, fut élu par les membres du clergé sénonais, réunis à l’abbaye de St-Germain-d’Auxerre.

A cette nouvelle, l’Antéchrist comme appelle Rainard le chroniqueur Clarius, ferma les portes. de la ville au nouvel archevêque qui jeta l’interdit sur toute la province. Une peste étant survenue, le comte en eut peur com­me d’une punition de Dieu et quitta Sens où Sevin put s’installer. Il rebâtit la cathédrale de Saint-Etienne, se montra hostile au choix de Hugues Capet comme roi de France en arborant fièrement le titre de primat des Gaules qu’il transmit à ses successeurs, et mourut en 999.
Les châteaux de Rainard-le-Vieux. — Rainard mourut la même année. Le château que son père lui avait laissé à Château-Renard, non encore bap­tisé, s’appelait le château de la Motte. Il était situé en contre-bas du château haut. Sur son emplacement il existe encore aujourd’hui une belle résidence moderne qui appartient à Mlle de Maleissye. Cette situation qui allait bien vers 930 alors que le pays était absolument désert était changée cinquante ans plus tard. Les luttes féodales s’étaient aggravées. Fromont avait planté à Châteaurenard le drapeau des comtes de Sens; maintenant il fallait le défendre. Dans ce but, Rainard éleva sur la hauteur un château fort capable de résister à tous les assauts qu’il dut appeler le château de l’Ouanne, mais que l’histoire baptisa du moins ainsi à la naissance du village qui l’entoure. On y remarque encore de superbes ruines (Voir l’Histoire du Loiret) et plu­sieurs tourelles d’enceinte dont l’une fournit un cabinet de travail à l’histo­rien Anquetil, ancien prieur de Châteaurenard, pour commencer la rédaction de son Histoire de France. Mais l’omnipotent comte sénonais ne bâtit pas seulement le château haut, comme on l’appela encore, de Châteaure­nard, il en bâtit un autre à Montereau, dit Montereau-faut-Yonne, l’ancien­ne «Urles Condote Senonum », qu’il édifia au confluent de la Seine et de l’Yonne, puis un troisième, celui de « Joviniacum », Joigny, l’ancien « Ban­dritum » des Romains, au dire de nombreux commentateurs. On lui attribue aussi la grosse tour de Sens qui est située à une des extrémités de la ville. On croit en retrouver des traces dans les ruines de la Motte-du-Ciar.
L’archevêque Léothéric. — Fromond II, qui mourut en 1012, avait eu de vifs démêlés avec l’archevêque Léothéric, successeur et aussi parent de Sevin, parce qu’il aurait voulu donner le siège à son fils, Brunon; mais Léo­théric, qui prétendait qu’un archevêché devait être héréditaire aussi bien qu’un comté, avait l’appui du pape Sylvestre II. Fromond laissa une situa­tion délicate à son fils, Rainard II, qui ne ménagea pas l’archevêque à qui il cracha au visage et dont il tua le personnel. Ce dissentiment local n’aurait peut-être pas dépassé les frontières de ses Etats s’il n’eût accordé sa faveur à tous les Juifs persécutés à cette époque en France, en couvrant de sa protec­tion leur trafic usuraire. Cette attitude tourna contre lui le Pape, le roi et toute la chrétienté, déchaîna des violences inouïes, et força l’archevêque Léo­théric à implorer la protection du roi Robert Ier à qui il livra une nuit la ville de Sens, qui ne devait pas «souffrir plus longtemps un pareil scandale pour la foi ».

On connaît la piété du roi. «Déterminé par cette raison, dit le moine Glaber, il envoya une armée pour chasser le dit Rainard de la ville et la garder pour le domaine royal. La ville prise, on fit un carnage horrible de ses habitants, puis on incendia une grande partie de la cité. La joie a que l’on eut de voir punir tant de crimes fut tout de même surpassée par l’épouvante du désastre.

C’était l’époque où les persécutions contre les sectes religieuses anti-ca­tholiques et la race juive, que l’on accusait des plus hauts forfaits, était à la mode. Le roi et la reine eux-mêmes ne se faisaient pas faute d’assister à de telles exécutions. Les Juifs étaient en outre inculpés d’avoir poussé les musulmans à détruire le Saint-Sépulcre.

Rainard II, chassé de Sens par les troupes royales s’était allié à Eudes comte de Meaux et de Chartres, avec lequel il avait élevé un nouveau châ­teau fort à Montereau qui était du domaine de l’église de Sens; puis, avec l’aide d’Eudes, devenu comte de Troyes, il avait repris Sens. Sur ces entre­faites, l’archevêque Léothéric mourut. L’autorité et le comté avaient été par­tagés en deux parts l’une pour l’archevêque, l’autre pour le comte. Le can­didat du comte à la succession de Léothéric était Maynard, trésorier du cha­pitre; celui du roi le clerc Galduin. Trois ans de luttes (1031-1034) furent nécessaires pour juger ce différend. Finalement, à la mort de Rainard II, 1055, le roi Henri Ier débarrassa l’archevêque des comtes en annexant le Sénonais à la couronne, en vertu d’un des traités de Sens qui stipulait qu’à défaut d’héritier mâle le Sénonais serait incorporé à la couronne. Le roi ne laissait aux archevêques que les quatre baronnies de Nailly, de Brienon, de Saint-Julien-du-Sault et de Villeneuve­-l’Archevêque, qu’ils conservèrent jusqu’en l’an 1700.
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