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Graphique 4Graphique 5Dans les deux graphiques précédents, la barre représente le scénario de référence de l’Institut de la statistique du Québec. Ce scénario trace l’évolution de la population régionale si la tendance se maintient. Il retient un indice de fécondité de 1,5 enfant par femme et un solde migratoire déficitaire qui suit la tendance des dernières années, c’est-à-dire qu’il augmente lentement vers le point zéro sans l’atteindre en 2026 (-367).Le pointillé représente deux scénarios plus optimistes qui font varier un des deux indicateurs de mesure. D’abord, dans le graphique 6 le pointillé tient compte d’un taux de fécondité de 1,65 enfant par femme. Ce scénario « plus optimiste » prévoit que la population régionale sera supérieure de 11 715 individus en 2026 (262 276) comparativement au scénario « de référence » (250 561). Ensuite, dans le graphique 7 le pointillé tient compte d’un solde migratoire neutre. Ce scénario « plus optimiste » prévoit même une croissance de la population par rapport à 2006 (286 923 comparativement à 274 095 aujourd’hui). Selon l’Institut de la statistique du Québec, ce sont des soldes migratoires interrégionaux déficitaires qui sont le plus souvent au coeur d’une évolution démographique défavorable. Ce scénario de migration zéro le démontre bien. À ![]() l’aide des graphiques 6 et 7, nous voulions présenter aux lecteurs les possibilités qui s’offrent à la région pour faire mentir les prévisions démographiques. Déjà, les données provisoires de 2005-2006 vont en ce sens. En effet, le taux de fécondité en 2006 est de 1,64 enfant par femme au Saguenay–Lac-Saint-Jean, ce qui se rapproche davantage du scénario « plus optimiste » que du scénario « de référence » de l’ISQ. De plus, le solde migratoire interrégional va en s’améliorant depuis 2001-2002 comme nous l’avons exposé avec le tableau 4 à la page 9. En 2005-2006, ce solde était supérieur de 366 individus par rapport au scénario de référence des prévisions démographiques de l’ISQ. Est-ce là des tendances qui feront mentir ces prévisions ?
Voici comment la Conférence régionale des élus interpelle les acteurs du développement à propos des prévisions démographiques dans son Plan quinquennal de développement 2007-2010 : (…) il est plausible que des solutions à notre mesure et à notre portée puissent être mises de l’avant afin d’en contrer certains effets pervers. Cela va exiger un effort collectif de réflexion et une action concertée de tous les acteurs peu importe leur champ de compétence. Certes inverser la tendance à la décroissance démographique demeure un chantier gigantesque et un pari audacieux. Bien qu’aucune garantie de succès ne puisse être assurée, il nous faut prendre conscience que l’inaction et l’attentisme confineraient la région à un déclin social et économique inéluctable et dévastateur. Une seule option est envisageable, se retrousser les manches et confronter ce problème. 10 Une population qui prend conscience de ses problèmes et qui se mobilise pour passer à l’action peut espérer. La région pourra-t-elle renverser la tendance démographique ? Certaines solutions sont à la portée des acteurs du développement. La région, avec ses quatre cégeps et son université, peut devenir une terre d’accueil pour bon nombre d’étudiants désirant poursuivre des études postsecondaires dans un milieu dynamique. Plusieurs migrants ayant quitté la région depuis 1991 sont maintenant de jeunes parents, la région peut donc prendre un virage famille pour favoriser le retour de ces jeunes et en attirer d’autres. En ce sens, des employeurs d’importance, institutionnels et privés, pourraient développer des politiques innovatrices en matière de conciliation famille-travail. De toute façon, faut-il rappeler que plusieurs entreprises de la région devront relever le défi de recruter au cours des prochaines années une main-d’œuvre qualifiée pour pallier ces nombreux départs à la retraite. 3. Éducation, formation et société du savoir11 L'éducation et la formation sont deux éléments primordiaux du développement économique et social d'une région. Les régions qui offrent un bassin de travailleurs hautement scolarisés et adéquatement formés sont attrayantes et incitent les entreprises à s'y installer.12 ![]() Le Saguenay–Lac-Saint-Jean possède l’un des réseaux interordres le mieux déployé au Québec alors que nous pouvons accéder en région à tous les niveaux de formation. Avec son université, ses quatre collèges, ses quatre commissions scolaires et leurs centres de formation professionnelle, des centres de recherche d'importance sur l'aluminium, la forêt, l'agroalimentaire et des centres de formation et d'expérimentation spécialisés axés sur l'innovation et le développement technologique, des laboratoires d'essais, des laboratoires de recherche, des services d'étalonnage, de conception rapide de produits et de procédés, la région possède la masse critique du savoir pour prendre le virage de la nouvelle économie. Notons également les efforts intenses qui ont été déployés et les succès exceptionnels enregistrés au cours des dernières années en regard de la réussite et de la persévérance scolaires et cela, supporté admirablement par les travaux et la concertation régionale issus des actions du Conseil régional de prévention de l’abandon scolaire (CRÉPAS). La région a ainsi fait sa marque à l’échelle nationale. Enfin, soulignons l’existence du Consortium régional de recherche en éducation (CRRE) qui se consacre depuis 1998 au développement d’une culture de recherche dans l’ensemble des milieux éducatifs. Le CRRE a pour but général de contribuer, par le biais de la recherche, à l’amélioration de l’éducation en région à tous les ordres d’enseignement. 13 CÉGEP DE ST-FÉLICIEN Historique En 1968, une étude fut acheminée aux autorités ministérielles demandant l’implantation d’un troisième cégep au Saguenay—Lac-St-Jean. Celle-ci misait sur le droit à l’accessibilité géographique aux études postsecondaires ainsi que sur l’importance de supporter le développement socio-économique, industriel, social et culturel du milieu. C’est dans ce contexte que le Cégep de St-Félicien a vu le jour à l’automne 1971. À l’automne 1981, il établissait un centre d’études à Chibougamau dans le but de mieux répondre aux besoins de la Région Nord-du-Québec. Fréquentation scolaire À l’automne 2007, le Cégep de St-Félicien comptait 984 étudiants inscrits à temps plein. L’offre de formation du Cégep de St-Félicien comporte 4 programmes de formation préuniversitaire et 7 programmes de formation technique. Budget Le budget annuel du Cégep de Saint-Félicien pour l’année 2006-2007 était de 18 700 000$. Particularités Le Cégep de St-Félicien offre le programme Techniques du milieu naturel unique au Québec. Programmes au niveau régional : Techniques de santé animale Techniques de tourisme Technologie de la transformation des produits forestiers Créneaux de développement À venir Organismes associés Le Centre d’Innovation et de Développement du Lac-Saint-Jean Ouest (CIDEL) CÉGEP DE CHICOUTIMI Historique Le Cégep de Chicoutimi a vu le jour en juillet 1967, dans le contexte de la réforme en profondeur du système d’éducation qui a marqué la révolution tranquille. Il est le premier cégep du Québec à avoir obtenu ses lettres patentes. Il est né de la fusion de plusieurs institutions privées et publiques telles que : le Séminaire de Chicoutimi, l’Institut de Technologie, le Collège du Bon Pasteur, l’Institut familial du Bon-Conseil, l’École des Infirmières, l’École de Commerce et de l’École Normale Cardinal-Bégin. Fréquentation scolaire Pour l’année 2006-2007, le nombre total d’étudiants inscrits était de 2 900 dont 2 600 étaient à l’enseignement régulier. Le Cégep de Chicoutimi offre l’ensemble de la formation préuniversitaire et seize programmes de formation technique menant au marché du travail. Il est à noter que le Cégep de Chicoutimi opère un centre de formation à Forestville qui compte une trentaine d’étudiants. Budget Le budget annuel du Cégep de Chicoutimi pour l’année 2006-2007 était de 35 152 700 $ Particularités Programme exclusif au niveau national :
Programmes au niveau régional :
Créneaux de développement À venir. Organismes associés Le Centre de géomatique du Québec (CGQ) La mission du Centre de géomatique est d’accroître la performance des organisations publiques et privées en y favorisant l’utilisation et le développement de la géomatique par un soutien actif faisant appel à des activités de recherche appliquée, d’aide technique et de diffusion d’information. Le centre d’aide régional sur les aliments du Saguenay―Lac-St-Jean―Côte-Nord (CARA) Le CARA a pour mission de créer et de soutenir une synergie nouvelle entre les structures de formation du domaine de l’agroalimentaire et les entreprises œuvrant dans ce secteur. Il entend ainsi contribuer au développement de l’industrie agroalimentaire en fournissant le support qu’elle souhaite en termes de formation, recherche et développement, contrôle de qualité et gestion. CÉGEP DE JONQUIÈRE Historique Le Cégep de Jonquière est né de la fusion du Collège classique de Jonquière fondé en 1955 par la communauté des Oblats et de l’École technique d’Arvida fondée en 1948. Cette école avait comme mission de former des jeunes dans des domaines techniques et d’offrir des cours de perfectionnement aux adultes. Le 29 juin 1967, le Gouvernement du Québec a adopté la loi des collèges d’enseignement général et professionnel menant à la création du Cégep de Jonquière, un des premiers cégeps à voir le jour dans la province. En 1992, le Cégep de Jonquière procède à l’ouverture officielle du Centre d’études collégiales sur les rives du Saint-Laurent dont le siège social fut localisé à la Malbaie. De plus, un Centre de coordination de l’enseignement aux adultes fut installé à Baie-Saint-Paul. Fréquentation scolaire Le nombre d’étudiants inscrits au Cégep de Jonquière en 2006-2007 était de 3 013 étudiants, soit 2 275 dans un des 20 programmes de formation technique et 738 dans un des 5 programmes de formation préuniversitaire. À cela, il faut ajouter les 197 étudiants inscrits au Centre d’études collégiales de Charlevoix. Budget Le budget pour l’année 2006-2007 était de 50, 242,720.$ Particularités Programmes exclusifs au niveau national
Programmes au niveau régional
Créneaux de développement À venir Organismes associés Le Centre national d’animation et de design (Centre NAD) Créé en 1992 en continuité avec le programme d’Art et technologie des médias, le Centre NAD, situé à Montréal, a pour mission de faire du développement dans les domaines de la post-production et des jeux vidéo. Il assure également la formation de professionnels de haut calibre de l’industrie du cinéma au niveau international. Le Centre NAD fait partie des Services aux entreprises et aux organisations du Cégep de Jonquière. Le Centre linguistique Avec des bureaux à Ottawa, Hull et à Saint-Jean-sur-Richelieu, le Centre linguistique de Jonquière offre divers programmes de formation en français langue seconde ainsi que des programmes d’immersion anglaise à l’intention de la clientèle francophone. Le Centre Linguistique fait partie des Services aux entreprises et aux organisations du Cégep de Jonquière. Centre de recherche, de développement et d’innovation en communication (CRDIC) Le CRDIC constitue un lieu de convergence des savoirs dans les domaines des communications. Il se dédie au développement et au soutien des entreprises dans les secteurs de la production et de la postproduction télévisuelles, de la radio, du journalisme, de la publicité et du multimédia. Le Centre de production automatisée (CPA) Créé en 1984 comme centre de transfert technologique en automatisation et robotisation, le CPA met au service des petites, moyennes et grandes entreprises régionales son expertise dans le domaine de l’automatisation. Le CPA opère en synergie avec certains départements techniques du collège dont les départements du génie électrique et du génie mécanique. Membre du réseau québécois des centres de transfert technologique de la Fédération des cégeps du Québec, le CPA fait partie des Services aux entreprises et aux organisations du Cégep de Jonquière. Le Service de coopération et de développement international (SCDI) Mis sur pied en 1986, le Service de coopération et de développement international, a comme mandat de développer et de rendre accessible l’expertise du Cégep en vue de soutenir l’évolution et l’innovation au sein d’organismes publics et privés d’autres pays. Les interventions du SCDI sont surtout concentrées en Mauritanie, au Sénégal, au Tchad, en République Centrafricaine et au Laos. Le SCDI fait également partie des Services aux entreprises et aux organisations du Cégep de Jonquière. Le Groupe d’Étude des COnditions de vie et des BESoins de la population (ÉCOBES) C’est un organisme dédié à la recherche en sciences sociales appliquées rattaché au Cégep de Jonquière. Depuis 1982, il réalise des recherches portant sur des problématiques d'éducation, de développement social et de santé. Le Groupe ÉCOBES contribue à la progression des connaissances et des méthodes scientifiques notamment dans le domaine de la prévention de l'abandon scolaire et des maladies génétiques. COLLÈGE D’ALMA Historique En 1970, le Collège du Lac-St-Jean succède à l'Externat classique d'Alma alors affilié à l’Université Laval; on ne dispensait à l’époque que l'enseignement préuniversitaire. En 1972, le Collège d’Alma prend racine au cœur de la région et devient un collège d’enseignement général et professionnel (cégep) au Lac St-Jean. Fréquentation scolaire En 2006-2007, le Collège d’Alma accueille à l’enseignement régulier 1238 élèves venus de partout au Québec. Le Collège offre à l’intérieur du curriculum de formation dix (10) programmes préuniversitaires dont quatre (4) sont en double DEC étant associés au programme de musique et huit (8) autres programmes techniques dont deux (2) en collaboration avec deux autres institutions collégiales. Budget Le budget annuel du Collège d’Alma pour l’année 2006-2007 était de 15 776 992$ Particularités Le Collège d’Alma est le seul collège avec le Cégep de Drummonville à offrir le programme de Sonorisation et enregistrement à l’enseignement régulier. Programmes exclusifs au niveau régional :
Créneaux de développement À venir Organismes associés En juillet 1996, le Collège d’Alma a mis sur pied un Centre collégial de transfert de technologie en agriculture en continuité avec le programme de Techniques de Gestion et exploitation d’entreprise agricole. Implanté depuis plus de dix ans, AGRINOVA se démarque comme étant le seul centre de transfert de technologie dédié à l’agriculture à l’intérieur du réseau des centres collégiaux de transfert de technologie du Québec (CCTT). Son centre principal est situé à Alma mais AGRINOVA possède aussi deux centres de services, l’un en Montérégie et l’autre en Chaudière-Appalaches. AGRINOVA assure son développement et remplit sa mission particulièrement au niveau de la recherche appliquée, du transfert technologique et de l’innovation. Il accomplit désormais son action à l’intérieur de six créneaux d’excellence, soit
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() COMMISSION SCOLAIRE DES RIVES-DU-SAGUENAY Historique La Commission scolaire des Rives-du-Saguenay existe depuis le 1er juillet 1998 et est née de la fusion des Commissions scolaires Baie-des-Ha! Ha!, Chicoutimi et Valin. Fréquentation scolaire Pour l’année 2006-2007, le nombre total d’élèves inscrits était de 12 491 en formation générale répartis ainsi : 944 au préscolaire, 5 486 au primaire et 5 629 au secondaire. De plus, 786 élèves étaient inscrits à la formation des adultes et 1 116 à la formation professionnelle. La commission scolaire offre 29 programmes menant à l’obtention d’un DEP et 6 programmes menant à l’obtention d’une ASP dans 6 centres de formation générale et professionnelle. Budget Le budget de fonctionnement 2006-2007 était de 133,9 M $. Particularité Un guichet unique en formation professionnelle et technique existe au centre La Baie où l’on retrouve entre autre le programme de formation professionnelle Fonderie (associé à la métallurgie) et le programme technique de génie métallurgique. Aussi, il faut souligner le centre spécialisé en assemblage mécano-soudé des alliages d’aluminium qui confirme la cohésion des maisons d’enseignement et des entreprises vouées aux technologies reliées à la transformation de l’aluminium. La Commission scolaire Rives-du-Saguenay détient l’exclusivité régionale dans les programmes suivants :
En partenariat avec d’autres commissions scolaires extrarégionales, elle offre également les programmes suivants : Ébénisterie, Finition de meubles, Service conseil à la clientèle. Créneaux de développement La commission scolaire entend participer au développement régional par une offre de formation qui s’adaptera à la réalité du marché et de son territoire. Déjà, des projets d’obtention d’autorisations permanentes sont ciblés pour les programmes de Protection et exploitation de territoires fauniques et Mécanique de moteurs diésels et de contrôles électroniques. De plus, un ASP en Carrosserie ainsi qu’un DEP en Production d’aluminium primaire sont à développer. Organismes associés CFEER+: Le centre de formation en employabilité, environnement et récupération a pour objectif l’intégration de jeunes adultes au marché du travail dans le domaine de la récupération. IFVQ : L’institut de formation en vente du Québec qui donne accès à un guichet unique aux entreprises ayant un besoin de formation ou d’expertise associés à la vente et à la représentation. CFIE : Le centre de formation intégré en entreprise a comme objectif principal de procurer un lieu d’apprentissage dans des entreprises regroupées en institution. COMMISSION SCOLAIRE DE LA JONQUIÈRE Historique La Commission scolaire De La Jonquière existe depuis 1988 et est née de la fusion des commissions scolaires régionale Lapointe, Les Deux Rives, Jonquière et Arvida, son territoire couvrant la MRC du Fjord du Saguenay. Fréquentation scolaire Pour l’année scolaire 2006-2007, le nombre total d’élèves inscrits était de 12 005 élèves répartis ainsi :
Budget Le budget annuel pour l’année 2006-2007 était de 86 907 179 $. Particularité La Commission scolaire De La Jonquière offre 30 programmes de formation professionnelle dont 24 DEPet 6 ASP. La Commission scolaire détient l’exclusivité régionale de la diffusion des programmes suivants :
De plus, la Commission scolaire offre la formation Mécanique de machines fixes en emprunt avec la Commission scolaire de la Capitale. Créneaux de développement Voici les créneaux de développement identifiés par la Commission scolaire De La Jonquière et les programmes qui y sont liés :
Organismes associés
COMMISSION SCOLAIRE LAC-SAINT-JEAN Historique Fondée en juillet 1991 suite à la fusion des Commissions scolaires d’Alma, Delisle, Belle-Rivière et régionale Lac-Saint-Jean, la Commission scolaire du Lac-Saint-Jean, corporation légalement constituée en vertu de la Loi sur l’instruction publique, gère un réseau d’écoles primaires et secondaires, un centre de formation générale des adultes, un centre de formation professionnelle et un centre des services aux entreprises sur un territoire déterminé. Son territoire recouvre essentiellement celui des MRC Lac-Saint-Jean-Est. Fréquentation scolaire Pour l’année 2006-2007, le nombre total d’élèves inscrits était de 6 801 en formation générale jeune répartis ainsi : préscolaire : 459 élèves, primaire : 3 190 élèves et secondaire : 3 152. De plus, 1 772 élèves étaient inscrits en à la formation des adultes et de 959 à la formation professionnelle. La commission scolaire offre 16 programmes menant à l’obtention d’un DEP et 1 programme menant à l’obtention d’une ASP. Budget Le budget annuel de la Commission scolaire du Lac-Saint-Jean pour l’année 2006-2007 était de 79 268 092 $. Particularité La commission scolaire détient l’exclusivité régionale de la diffusion des programmes suivants :
En 2006-2007, elle a dispensé sur son territoire 5 programmes empruntés à des commissions scolaires de l’extérieur de la région : Assistance technique en pharmacie, Camionnage, Ébénisterie, Finition de meubles, Réalisation d’aménagements paysagers. Créneaux de développement La Commission scolaire du Lac-Saint-Jean désire obtenir l’autorisation permanente à dispenser les programmes suivants et ceux-ci présentent un potentiel récurrent de demande de formation :
Organismes associés CFER : le centre de formation en environnement et recyclage. COMMISSION SCOLAIRE DU PAYS-DES-BLEUETS Historique La Commission scolaire du Pays-des-Bleuets est née le 1er juillet 1998 du regroupement de quatre commissions scolaires : la Commission scolaire de Roberval, la Commission scolaire La Vallière, la Commission scolaire Louis-Hémon et la Commission scolaire de Normandin. Son territoire recouvre essentiellement celui des MRC Maria-Chapdelaine et Domaine-du-Roy. Fréquentation scolaire Pour l’année 2006-2007, le nombre total d’élèves inscrits était de 8 121 en formation générale jeune répartis ainsi : passe-partout : 397 élèves, préscolaire : 585 élèves, primaire : 3 456 élèves et secondaire : 3 683 élèves. De plus, 2 032 élèves étaient inscrits en à la formation des adultes et 1 123 à la formation professionnelle. La commission scolaire offre 33 programmes menant à l’obtention d’un DEP et un programme (Lancement d’une entreprise) menant à l’obtention d’une ASP dans deux (2) centres de formation professionnelle. Budget Le budget annuel pour l’année 2006-2007 était de102 M $. Particularités La Commission scolaire du Pays-des-Bleuets détient l’exclusivité des programmes de formation professionnelle (DEP) suivants :
Créneaux de développement Les créneaux de développement de la Commission scolaire du Pays-des-Bleuets concernent les programmes suivants: Réception en hôtellerie, Conduite d’engin de chantier, Conduite d’engin de chantier nordique. Organismes associés La commission scolaire développe en collaboration avec le Cégep de Saint-Félicien un pôle d’excellence pour la filière bois. UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI Historique Intégrée au réseau de l’Université du Québec comme établissement à vocation générale, l’UQAC jouit d’une autonomie qui lui permet de se considérer comme une université à part entière. Elle assure donc des activités d’enseignement aux premier, deuxième et troisième cycles et réalise des projets de recherche et de création dans les domaines de sa compétence. Comme toute université, l’Université du Québec à Chicoutimi a un double rôle à jouer : le développement de la connaissance et la dissémination du savoir. À cette double mission d’enseignement et de recherche, se greffe également la notion de service à la collectivité qui lui permet de partager avec la population qu’elle dessert (le Saguenay-Lac-Saint-Jean, Charlevoix et la Côte-Nord) et les organismes qui la représentent, les objectifs de développement et d’innovation visés par la communauté régionale. C’est pourquoi l’UQAC a finalement intégré à sa vocation générale sa mission de service à la collectivité. Elle peut alors supporter les projets du milieu avec des ressources compétentes et diversifiées et ainsi favoriser le développement de la région en lui permettant d’atteindre une plus grande autonomie socioéconomique et culturelle. Lors de sa création, en 1969, l’UQAC a également été investie d’une mission particulière, soit la formation des maîtres qui demeure, encore aujourd’hui, une préoccupation essentielle de la société québécoise puisqu’elle apporte régulièrement des modifications à son système d’éducation, Mentionnons enfin que l’Université du Québec à Chicoutimi exerce également une fonction critique sur la société et sur elle-même. Fréquentation scolaire Pour les inscriptions, les universités les traitent par trimestre (session) d’inscription. Pour l’année 2006-2007, voici les données : Premier cycle : 37 baccalauréats, 53 certificats, 35 mineures et 12 programmes courts Études de cycles supérieurs : 16 maîtrises, 9 doctorats et 8 diplômes d’études supérieures spécialisées Budget Le budget 2006-2007 de l'UQAC était de 67 441 391$. Particularités L'UQAC est la seule université au Québec à offrir les programmes suivants :
Créneaux de développement Au fil des ans, l'UQAC a réussi à se distinguer en apportant au développement de la recherche universitaire québécoise une contribution significative dans divers domaines d'avenir :
Organismes associés L’UQAC a de nombreux partenaires de recherche, d’études et de formation. Les commissions scolaires et les cégeps de la région en font partie. Pour consulter la liste des principaux partenaires veuillez vous référer au site Internet de l’UQAC http://www.uqac.ca/partenaires/
3.1 La concertation autour de la prévention de l’abandon scolaire rapporte P ![]() our une deuxième année consécutive, le Conseil régional de prévention de l’abandon scolaire (CRÉPAS) diffusait la plus récente compilation des indicateurs de persévérance scolaire. Bonne nouvelle ! Les jeunes du Saguenay–Lac-Saint-Jean sont encore parmi les plus persévérants au Québec.14 F
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