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Paris tendresse” (2000) Commentaire d’un recueil de photos Ces quatre-vingt-neuf photos de Brassaï présentent divers aspects de la vie de Paris, dans les années 1930 à 1950. Patrick Modiano, entre autres choses, y évoqua «le mal du pays et ses visites dans deux cafés, l'un quai d'Austerlitz, l'autre quai des Grands-Augustins pour entendre les mariniers parler flamand». _________________________________________________________________________________ “La petite Bijou” (2001) Roman de 154 pages À Paris, dans les années soixante, Thérèse, une jeune femme de dix-neuf ans, la narratrice, vit seule à Paris. Un soir, dans une station de métro, «comme si un projecteur l'avait fait surgir de la nuit», elle est attirée par la vision d'un vieux manteau jaune et, remontant du manteau au visage, croit reconnaître en cette passante quinquagénaire assise sur un banc sa mère qu'on lui a dit être morte des années auparavant au Maroc. La jeune fille, bouleversée, suit cette mystérieuse passante (un sosie?) qui descend à la station Porte-de-Vincennes et téléphone d'une cabine publique. Puis elle se dirige vers un immeuble en brique rouge, l'une de ces vieilles H.L.M. de la périphérie parisienne. Elle parle avec la concierge, apprend des bribes sur elle comme jadis auprès des amies de celle-ci qui l'avait recueillie. Mais elle ne va pas plus loin ; ce serait s'exposer encore à l'abandon. Sans jamais se présenter à cette inconnue, elle la suit à plusieurs reprises au pied de cet immeuble. Reviennent alors à sa mémoire les tableaux d'une enfance sans affection ni tendresse, qu’elle a vécu de pensionnat en pensionnat, sa mère, négligente et distribuant avec la plus grande parcimonie les miettes de son affection, l'ayant abandonnée avant de partir en voyage, ce qui a fait dériver la vie de sa fille qui, sevrée de tendresse et d'attention, dut se contenter de la présence d'un chien, que la mère est allée volontairement perdre dans les allées du bois de Boulogne. Cependant, à son côté, elle a fait, à l'âge de sept ans, une rapide figuration dans un film, “Le carrefour des archers”, sous le nom de «la Petite Bijou» qui lui est resté. Elle a aussi conservé de sa mère un portrait peint par un certain Tola Soungouroff, l'adresse d'un hôtel qui figure sur son acte de naissance, des notes transmises par une cartomancienne. Elle rencontre aussi Jean Borie, qui serait le frère de sa mère, un homme singulier, mystérieux, dont le métier consiste à écouter la nuit des émissions du bout du monde, dans les langues les plus improbables (il en parle une vingtaine dont le merveilleux «persan des prairies») et à les traduire pour une agence de presse. Elle vit de menus métiers : vendeuse, réceptionniste, baby-sitter dans une étrange famille de Neuilly où elle garde occasionnellement une petite fille triste. L’appartement immense et désert lui donne un sentiment de déjà-vu. Elle aussi a connu dans sa première enfance un grand appartement près du bois de Boulogne. Les parents traitent avec la même froideur et le même désintérêt la petite fille qui, petit à petit, devient une sorte de double contemporain de la petite Bijou d'hier. Se met alors en place un jeu de retour en arrière et de confrontations entre la réalité vécue et les souvenirs ravivés, jetant sur le présent une lumière crue voire insoutenable. Mêmes douleurs, même mystère autour des parents, mêmes suspicions de choses plus ou moins louches. Des phrases lui reviennent en mémoire : «Ta mère aussi, on l'appelait la Boche». Qu'est devenue cette mère, née Suzanne Candères pour l'état civil, mais dont la carte de visite portait le nom de comtesse Sonia O'Dauyé? A-t-elle vraiment disparu au Maroc après avoir précipitamment quitté Paris? Et quel rapport existe-t-il entre un visage de 1942 et une inconnue croisée dans le métro? Commentaire Le roam a trouvé sa source dans un souvenir d’enfance de Patrick Modiano : «Cela fait vingt ans, et beaucoup plus longtemps d'ailleurs, que cette histoire me hante. Au début des années cinquante, j'avais sept ans, j'habitais une maison aux environs de Paris, à Jouy-en-Josas. À deux ou trois reprises, une fille un peu plus âgée que moi est venue, elle avait douze ou treize ans. Il y avait comme une aura autour d'elle... Ça venait du fait qu'elle avait joué comme figurante dans un film. Elle avait ce côté des enfants qui ont grandi trop vite et ont des vêtements trop petits, elle était un peu comme la petite Fadette. Elle avait l'air d'être livrée à elle-même, de ne pas avoir de famille. C'était un mélange bizarre de contexte campagnard et de cinéma. Son rôle exact dans le film restait un mystère. Je n'arrivais pas à savoir ce qu'elle avait fait exactement. Comme si elle avait vécu quelque chose de très... de très...» Le roman commençant ainsi : «Une douzaine d'années avait passé depuis que l'on ne m'appelait plus "la Petite Bijou" et je me trouvais à la station de métro Châtelet à l'heure de pointe.», un pont lancé à travers le temps pour relier deux îles de l'archipel Modiano puisque l'histoire de la Petite Bijou apparut dans “De si braves garçons”. Il suffit de quelques pages pour que tout soit installé : la filature, la filiation, le dernier métro, le vertige des doubles, les boulevards de ceinture, l'énigme des vies, où des fragments de mémoire flottent au milieu du brouillard. Ce roman, où une très jeune adulte prend en charge le récit de ses doutes et interrogations, rattrapée par un passé qui revient brutalement prendre possession de son existence, et qui ne parvient pas à se remettre de son enfance ravagée, est une sorte de roman policier, au ton plus que mélancolique. Comme dans tous les romans de Modiano, les errances dans la capitale, les doutes de Thérèse, les zones d'ombre et l'afflux de souvenirs plus ou moins certifiés constituent une part fondamentale du récit. À l'instar de tous les personnages de Modiano, elle est à la recherche de son enfance qui est la clé de tout. Elle a eu une enfance bizarre et, dix ans plus tard, cela provoque chez elle un grand malaise, une crise. Peut-être, en effet, l'enfance est-elle la clé de tout : c'est terrible d'avoir eu une enfance malheureuse, mais c'est parfois dangereux d'avoir eu une enfance trop heureuse. L’auteur lui-même commenta : «C'est après avoir achevé le livre que je me suis rendu compte que les personnages ont des noms d'emprunt, ou alors pas de prénoms, ou une identité flottante. Je l'ai fait presque inconsciemment, en me mettant dans la peau de la Petite Bijou, c'est-à-dire de quelqu'un dont les souvenirs sont incohérents et énigmatiques. C'est le cas de tous les souvenirs d'enfance, mais l'on ne s'en aperçoit pas quand l'enfance a été heureuse. Alors, ils ont une certaine cohésion apparente. Mais, si l'on y réfléchit bien, les souvenirs d'enfance sont toujours étranges et fragmentaires, à plus forte raison pour la Petite Bijou.» - «Les choses pénibles de l'enfance reviennent toujours, dix ans après, vingt ans après, comme une espèce de boomerang... de bombe à retardement... Comme si les fondations étaient pourries au départ et finissaient par s'effondrer. La petite Bijou est dans une situation lugubre, qui débouche sur une sorte de suicide, qui heureusement échoue.... En même temps, à la fin, on peut supposer qu'elle est libérée, libérée de son passé... Quand on est enfant, on reçoit les choses de manière un peu... On les voit démesurément grandes, et en même temps de manière très parcellaire. Quelquefois des détails prennent une très grande importance, alors qu'ils n'en ont aucune. Alors, ça ressurgit dans les cauchemars. Les souvenirs d'enfance sont complètement fragmentaires, il y a des détails hypertrophiés. Tout prend une dimension bizarre, les lieux les plus banals, ne serait-ce qu'un garage, un ascenseur, deviennent brusquement inquiétantes, étranges... Peut-être c'est pareil maintenant pour les enfants, avec d'autres lieux, d'autres objets.» Jamais l'écrivain n'avait proposé d'évocation aussi poignante de la détresse et du désarroi d'êtres livrés à eux-mêmes, sans attaches familiales ou géographiques, contraints de se recomposer des familles d'adoption au gré des rencontres pour conserver un semblant de repères dans l'existence. Difficile de ne pas ressortir bouleversé par ce récit, qui, sans jamais jouer sur les cordes trop faciles de l'émotion et de la sensibilité, propose le tableau révoltant d'enfances à jamais broyées par l'égoïsme et le manque d'amour. L'économie de moyens avec laquelle Modiano dessine les contours de ce monde d'indifférence larvée, d'hostilité réelle ou supposée, donne à chaque phrase, chaque évocation, toute sa portée. Le romancier procède avec pudeur et retenue, refusant de céder à une émotion trop facile, de sorte que c'est au lecteur de mesurer la violence de propos et situations au caractère parfois insoutenable. On retrouve, insinuante et familière jusqu'à l'autopastiche, la tonalité de toujours, le style de Modiano, la griffe Modiano, même s’il a abandonné ce «je» vague des anciens romans. Il affirma même se sentir plus à l'aise avec cette place d'énonciation. «C'est comme si je transcrivais les mots d'une autre personne.» - «Je voulais donner cette impression de voix à la radio, qui sont très claires par moments, mais qui risquent de s'éloigner ou d'être brouillées par des grésillements de parasites. La Petite Bijou n'est qu'une voix. Comme pour “Des inconnues”, on ne sait pas très bien d'où elle nous parle, quel âge elle a exactement quand elle nous parle, et on ne saura rien de la deuxième partie de sa vie.» - «Il s'agit bien d'un rêve éveillé, qui tourne quelquefois au cauchemar. La ville elle-même, les rues où se trouve la Petite Bijou sont “surréelles”. C'est aussi parce que le personnage principal est en état de crise, du début à la fin du livre.» _________________________________________________________________________________ Durant l'été 2002, le journal “Le Monde” publia dix nouvelles commandées à des écrivains français de l'écurie Gallimard et Patrick Modiano ouvrit la série avec : _________________________________________________________________________________ “Éphéméride” (2002) Nouvelle de quarante pages Le titre du livre “L'assassinat de Pierre Bosmans”, dont le sujet est tiré d'un vieux fait divers, réveille chez le narrateur de nombreux souvenirs jusqu'alors enfouis. Quelques dates, quelques images : les livres de la collection Pourpre, le jardin des Tuileries, plus tard le rire de Queneau, un «western» où figurent des Basques ou bien encore des visages croisés ou oubliés. Mais aussi les dimanches avec un père souvent absent, énigmatique, avare de conseils et entouré d'étranges amis. Autant de points de repères qui forment une promenade nostalgique dans Paris et dans le souvenir. Commentaire Dans cette suite de faits mineurs, empreinte de références autobiographiques, la figure du père est ommniprésente, réinstallée à travers divers souvenirs d’épisodes de l'enfance, scènes à la fois précises et incertaines car y flotte une plainte. Et on retrouve le style de Patrick Modiano fait de délicatesse, d’étrangeté et de proximité : - «Aujourd'hui, 26 mai 2001, au début de l'après-midi, je me suis rendu compte que cette mince pellicule de minces événements pouvait se déchirer et se diluer d'un instant à l'autre. Je marchais rue du Val-de-Grâce et rue Pierre-Nicole. Quartier calme des Feuillantines. On dirait que l'air y est léger et garde l'écho des années révolues. J'avais perdu tous les minuscules points de repères de ma vie. Des lambeaux de souvenirs me traversaient qui n'étaient plus les miens, mais ceux d'inconnus et je ne pouvais pas leur donner une forme précise. Il me semblait que j'avais habité par ici dans une vie antérieure. J'y avais laissé quelqu'un.» - «Il aurait souhaité que je sois ingénieur agronome. Il pensait que c'était un métier d'avenir. S'il attachait tant d'importance aux études, c'est que lui n'en avait pas faites et qu'il était un peu comme ces gangsters qui veulent que leurs filles soient éduquées au pensionnat par les "frangines". Il parlait avec un léger accent parisien - celui de la cité d'Hauteville -, et il employait, de temps en temps, des mots d'argot. Mais il pouvait inspirer confiance à des bailleurs de fonds, car son allure était celle d'un homme aimable et réservé, de haute taille, et qui s'habillait de costumes très stricts.». - «Mon père est venu une seule fois me rendre visite dans cet établissement. Le proviseur du lycée, qu'il avait averti par téléphone de son passage, m'avait donné l'autorisation de l'attendre sous le porche de l'entrée. Ce proviseur portait un joli nom : Adonis Delfosse. Je revois la silhouette de mon père, là, sous le porche, mais je ne distingue pas son visage, comme si sa présence dans ce décor de couvent médiéval me paraissait irréelle. La silhouette d'un homme de haute taille, sans tête. Je ne sais plus s'il existait un parloir. Il me semble que notre entrevue a eu lieu au premier étage dans une salle qui devait être la bibliothèque, ou bien la salle des fêtes. Nous étions seuls, assis à une table, l'un en face de l'autre. Mon père m'exposait les projets qu'il avait formés pour mon avenir. Il souhaitait que je parte au service militaire en devançant l'appel. Les quatre années qui ont suivi, jusqu'à ce que j'atteigne l'âge de la majorité, il n'a pas renoncé à ce projet. Il voulait lui-même régler toutes les formalités à la caserne de Reuilly. Puis ce serait le départ pour une autre caserne, vers l'est. Je l'ai raccompagné jusqu'au porche du lycée. Je l'ai vu s'éloigner sur la place du Panthéon. Un jour, mon père m'avait confié qu'il fréquentait lui aussi, à dix-huit ans, le quartier des Écoles. Il avait tout juste assez d'argent pour prendre en guise de repas un café au lait et quelques croissants au Dupont-Latin. En ce temps-là, il avait un voile au poumon. Je ferme les yeux et je l'imagine remontant le boulevard Saint-Michel, parmi les sages lycéens et les étudiants d'Action française. Son Quartier latin à lui, c'était plutôt celui de Violette Nozière. Il avait dû la croiser souvent sur le boulevard. Violette, la belle écolière du lycée Fénelon, qui élevait des chauves-souris dans son pupitre.» - «En 1945, juste après ma naissance, mon père décide de vivre au Mexique. Les passeports sont déjà prêts. Mais, au dernier moment, il change d'avis. Il s'en est fallu de peu qu'il quitte l'Europe après la guerre. Trente années plus tard, il est allé mourir en Suisse, pays neutre. Entre-temps, il s'est beaucoup déplacé : le Canada, la Guyane, l'Afrique équatoriale, la Colombie. Ce qu'il a cherché en vain, c'était l'eldorado.» - «Un soir, au cours de l'une de ses visites, mon père est assis en face de moi dans le salon de la maison de la rue du Docteur-Kurzenne, près du bow-window. Il me demande ce que je voudrais faire dans la vie. Je ne sais pas quoi lui répondre.» - «Le dimanche, promenade avec mon père et l'un de ses comparses du moment. Stioppa. Mon père le voit souvent. Il porte monocle et ses cheveux sont si gominés qu'ils laissent une trace quand il appuie la tête sur le dossier du canapé. Il n'exerce aucun métier. Il habite dans une pension de famille avenue Victor-Hugo. Parfois, nous allions, Stioppa, mon père et moi, nous promener au bois de Boulogne.» - «Un autre dimanche, mon père m'emmène, je me demande bien pourquoi, au Salon nautique, du côté du quai Branly. Nous rencontrons l'un de ses amis d'avant-guerre, "Paulo" Guérin. Un vieux jeune homme en blazer. Je ne sais plus s'il visitait lui aussi le Salon ou s'il y tenait un stand. Mon père m'explique que "Paulo" Guérin n'a jamais rien fait sinon monter à cheval, piloter de belles voitures, et séduire des filles. Que cela me serve de leçon : oui, dans la vie, il faut des diplômes. Cette fin d'après-midi-là, mon père avait l'air rêveur comme s'il venait de croiser un fantôme. Chaque fois que je me suis retrouvé sur le quai Branly, j'ai pensé à la silhouette un peu épaisse, au visage qui m'avait paru empâté sous les cheveux bruns ramenés en arrière, de ce "Paulo" Guérin. Et la question demeurera à jamais en suspens : que pouvait-il bien faire, ce dimanche-là, sans diplômes, au Salon nautique?» - «Parfois mon père m'accompagnait le lundi matin à la Rotonde, porte d'Orléans. C'était là où m'attendait le car qui me ramenait au collège. Nous nous levions vers six heures, et mon père en profitait pour donner des rendez-vous dans les cafés de la porte d'Orléans avant que je prenne le car. Cafés éclairés au néon les matins d'hiver où il fait encore nuit noire. Sifflements des percolateurs. Les gens qu'il rencontrait là lui parlaient à voix basse. Des forains, des hommes au teint rubicond de voyageurs de commerce, ou à l'allure chafouine de clercs de notaires provinciaux. À quoi lui servaient-ils exactement? Ils avaient des noms du terroir : Quintard, Chevreau, Picard.» - «Un dimanche matin, nous sommes allés en taxi dans le quartier de la Bastille et de la République. Mon père a fait arrêter le taxi une vingtaine de fois devant des immeubles, boulevard Voltaire, avenue de la République, boulevard Richard-Lenoir. Chaque fois, il déposait une enveloppe chez le concierge de l'immeuble. Appel à d'anciens actionnaires d'une société défunte dont il avait exhumé les titres? Peut-être cette Union minière indochinoise? Un autre dimanche, il dépose ses enveloppes le long du boulevard Pereire.» - «Un soir, dans l'escalier, mon père m'a dit une phrase que je n'ai pas très bien comprise sur le moment, l'une des rares confidences qu'il m'ait faites : "On ne doit jamais négliger les petits détails. Moi, malheureusement, j'ai toujours négligé les petits détails."» _________________________________________________________________________________ En 2003, Patrick Modiano fut le co-scénariste du film “Bon voyage” de Jean-Paul Rappeneau où, en juin 1940, à l'hôtel Splendid de Bordeaux sont réunis ministres, journalistes, grands bourgeois, demi-mondaines et espions de tous bords et où un jeune homme doit choisir entre une célèbre actrice et une étudiante passionnée, entre les politiques et les voyous, entre l'insouciance et l'âge adulte. _________________________________________________________________________________ “ |
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