Saint-Jacques-des-Guérets, Lavardin et Vendôme








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Saint-Jacques-des-Guérets, Lavardin et Vendôme,

trois témoins de l’histoire de la recherche sur la peinture murale en France1
Christian Davy


Le XLIIIe Congrès de la Société des historiens médiévistes de l’Enseignement supérieur public s’est tenu en cette année 2012 à Tours et s’est achevé par une journée d’excursion consacrée à la vallée du Loir, zone particulièrement riche en histoire et en peintures murales médiévales. Le choix des lieux à visiter n’a pu qu’être difficile pour les organisateurs, tant le nombre des sites remarquables y est élevé. En fin de compte, la sélection des trois sites de Saint-Jacques-des-Guérets, Saint-Genest de Lavardin et l’abbaye de la Trinité de Vendôme, s’est avérée judicieuse, car l’histoire des œuvres peintes conservées dans ces édifices apparaît bien liée aux grandes étapes de l’histoire de la recherche sur la peinture murale.
Cette histoire commence par une prédiction. Grâce à son travail d’érudition, Toussaint-Bernard Éméric-David2 affirma au début du XIXe siècle l’existence de la peinture murale médiévale en France et en Occident. Sans connaître une seule œuvre sur le terrain et dépassant la simple énumération des sites qu’il avait repérés dans les textes, il souligna la filiation avec la peinture antique et organisa l’iconographie en trois classes. Plus, il signala la variété des techniques employées selon les périodes historiques et alla même jusqu’à mettre en évidence, en évoquant les opérations de dealbatio, l’évolution du goût des anciens passant à plusieurs reprises de la couleur au blanc. Il édita ses études consacrées à la peinture en 1811 et 1812. En tant qu’élu de la Nation, il désirait ardemment placer l’art sous la protection des représentants de la France et il reprit l’essentiel de ses conclusions dans l’un de ses discours devant le Corps législatif l’année suivante. Cependant, la quasi-totalité de son œuvre manuscrite fut publiée de manière posthume. Son Histoire de la peinture du Moyen Âge depuis Constantin jusqu’au douzième siècle, la première des quatre parties de son histoire de la peinture, parut en 18423. La personnalité de T.-B. Éméric-David fut rapidement occultée par celle de Prosper Mérimée, et elle reste encore aujourd’hui méconnue de la communauté scientifique.

Il faut souligner que l’activité du deuxième inspecteur des Monuments historiques que fut P. Mérimée a été considérable. Après son coup de foudre pour les peintures de Saint-Savin, dont il publia une monographie en 1845, il s’activa en faveur de la redécouverte des peintures murales. C’est notamment grâce à son exemple que de nombreuses œuvres majeures furent mises au jour dès avant le milieu du siècle, tel Saint-Gilles de Montoire en vallée du Loir. C’est aussi par son entregent que la société s’intéressa à cet art. Ainsi, George Sand contribua à la découverte et à la protection des peintures murales de Vicq dans le Berry. De par son rôle au sein du service des Monuments historiques naissant, P. Mérimée mit également en place les ressorts de la conservation de la peinture murale à la fois par la restauration matérielle des œuvres et par la sauvegarde de leur mémoire, en créant la collection des relevés de peinture murale qui fait encore l’orgueil du musée des Monuments français.

Malgré une première tentative effectuée par le comte de Galembert4, le mérite de la première synthèse revient assurément à Paul Gélis-Didot et Henri Laffillée, tous deux architectes, peintre et restaurateur pour le second. En 1889, ils publièrent le premier recueil des peintures murales de la France dans un vaste in-folio5, fruit non seulement d’un travail d’érudition, mais aussi d’une recherche de terrain à travers l’ensemble des régions françaises. Les œuvres y sont réparties en écoles régionales, parfois de manière disparate. Dans un article qui par certains aspects reste fondamental6, Émile Mâle renouvelle durablement la vision d’ensemble de la production romane en rectifiant les points de vue historiques et en définissant deux zones principales de production, l’une d’aspect brillant sur fond sombre, d’inspiration byzantine, se rencontre vers le sud et l’est de la France, l’autre d’aspect mate sur fond clair, d’essence locale et carolingienne, domine dans l’ouest de la France, zone dont la Vallée du Loir fait partie intégrante.

Le site de Saint-Jacques-des-Guérets illustre cette première phase historique. L’existence des peintures murales était connue dès les années 1840, mais ce n’est qu’en 1890-1891 que l’abbé Haugou, aidé par H. Laffillée, les mit au jour. Pour cela, il avait démonté le retable construit à l’époque moderne. Cet acte de vandalisme, selon le point de vue actuel, fut l’occasion de la découverte de deux statues médiévales qui avaient été cachées en cet endroit, sans doute à cause de leur « indécence »7. H. Laffillée participa à la première restauration des peintures murales dégagées sur le mur oriental (fig. 1). Au cours de ce chantier, il fut appelé à Poncé-sur-le-Loir par l’abbé Toublet, curé de cette paroisse voisine. Le résultat de leur rencontre fut la découverte de nouvelles peintures romanes et la création dans le chœur d’un décor néo-roman, peint par H. Laffillée lui-même et achevé en 1893. C’est un autre curé de paroisse qui se trouva aussi à l’origine de la découverte des peintures murales de Lavardin, deuxième site de notre excursion (fig. 2). En 1911, l’abbé Pilté commença à dégager les vastes décors romans et gothiques de l’église dédiée à saint Genest (fig. 3). Il fut rapidement aidé par le peintre Charles Chauvet qui a été régulièrement présent à Lavardin entre 1912 et 1919. Outre les travaux de mise au jour des peintures, il avait été missionné par le service des Monuments historiques pour en exécuter des relevés qui furent par la suite conservés au sein du musée des Monuments français. La présence quantitativement importante et active des religieux dans ce que l’on appelle actuellement le patrimoine ne doit pas surprendre outre mesure. En effet, des cours d’archéologie religieuse étaient donnés au sein des grands séminaires. De même, les évêques encourageaient dans leurs circulaires pastorales l’attention à porter aux édifices anciens en vue de leur restauration et de leur connaissance dans un souci de renouvellement de l’encadrement des fidèles8. La disparition progressive de cet enseignement au cours du XXe siècle doit être considérée comme l’une des causes de la présence moindre de ce type d’érudits dans la seconde moitié du XXe siècle et ce dès avant la raréfaction des vocations.

Le service des Monuments historiques continuait la politique lancée par P. Mérimée pour la sauvegarde de la mémoire des peintures murales. Ainsi, Charles Chauvet eut à exécuter quinze relevés sur les peintures de Saint-Genest. Au bout d’un siècle, la collection était devenue considérable. Paul Deschamps, aidé par la suite de Marc Thibout, amplifia cette politique avec la commande de copies de peintures murales françaises à l’échelle 1, destinées à être réunies et exposées dans un endroit unique à Paris. Il fut l’un des artisans de la réhabilitation du palais du Trocadéro pour l’exposition universelle de 1937, dont le nom exact est Exposition internationale des arts et techniques9, et la structure administrative s’intitula alors musée des Monuments français. La même année, il créa au sein de celui-ci la section fresque consacrée dans un premier temps aux peintures murales françaises de l’époque romane et pré-romane, la peinture murale gothique venant dans un second temps10. La réussite de son entreprise tint à l’organisation centralisatrice qu’il avait mise en place avec l’aide de Marc Thibout. Les deux savants avaient installé un réseau de correspondants provinciaux de premier choix avec des personnalités comme Marguerite Roques et Robert Mesuret dans le sud-est et le sud-ouest de la France, ou comme Madeleine Pré dans le Maine et l’Anjou, ou enfin comme Suzanne Trocmé dans la vallée du Loir et une partie de la Touraine. Ils disposaient de plus avec Aimée Neury d’une collaboratrice aussi modeste qu’émérite, qui parcourut la France pendant plus de trente années. Ils publièrent la présentation d’une grande part du recensement ainsi constitué, les peintures murales romanes et pré-romanes en 1951 et celles du premier âge gothique – jusqu’en 1380 – en 196311. Le succès du musée et de sa section fut incontestable auprès du public ; et les savants et les chercheurs qui s’intéressaient à la peinture murale y travaillèrent pendant plusieurs décennies. Ce centralisme aboutit à ce que les œuvres originales furent progressivement délaissées pour les copies et les relevés, alors que pendant ce temps, c'est-à-dire pendant les décennies 1960 à 1980, la situation sur le terrain évoluait fortement. Tandis que le service des Monuments historiques continuait à son rythme la restauration des peintures murales, puis leur conservation-restauration avec la mise en place progressive des préceptes émis par la Charte de Venise en 1964, l’apparition et la professionnalisation des métiers liés au patrimoine constituèrent un phénomène nouveau qui provoqua un renouvellement dans la protection et l’étude des peintures murales françaises. Les découvertes réalisées par tous les acteurs de terrain que sont notamment les conservateurs-restaurateurs, les architectes, les conservateurs des Antiquités et Objets d’art, les chercheurs de l’Inventaire et les archéologues pour ne citer que ceux-là, se multiplièrent à un rythme soutenu qui ne paraît pas fléchir en ce début du XXIe siècle. Le fossé entre la réalité du terrain et la connaissance n’avait jamais été aussi profond.

Le dégagement par le service des Monuments historiques de peintures murales romanes dans le cloître de l’abbaye de la Trinité de Vendôme est l’un des reflets de cette période, mais ce décor peint, une fois mis au jour, fut le révélateur du renouveau de la recherche dans le domaine. Les peintures avaient été repérées en 1953 au moment où M. Ranjard, architecte en chef des Monuments historiques, faisait procéder à des sondages dans le contre-mur bâti au XIVe siècle pour découvrir la position et l’état du mur roman. L’intérêt de la découverte de ces peintures murales fit qu’un devis fut proposé en 1956, mais faute de crédits, il n’eut pas de suite. La mise au jour du mur peint débuta en 1972 et la restauration fut achevée par Robert Baudouin en 1978 (fig. 4). À travers leur article publié dans la Revue de l’Art en 198112, Jean Taralon, alors inspecteur des Monuments historiques, et Hélène Toubert, alors maître de recherche au CNRS, révélèrent à la communauté scientifique toute l’importance de ce décor peint, pourtant très fragmentaire, ainsi que la place essentielle que ces peintures allaient tenir dans l’histoire de la peinture murale romane. Le premier y étudie la technique et la stylistique, tandis que la seconde s’attache à l’iconographie. Dans ces pages magistrales, elle développe la variété des informations contenues dans ces quelques fragments d’images : liturgiques, théologiques, ecclésiologiques, disciplinaires, politiques et personnelles sur le commanditaire, ainsi que leur relation avec le temps chrétien, l’espace de l’édifice et, enfin, la société.

Au-delà de ce texte exemplaire, H. Toubert a renouvelé l’approche scientifique de la peinture murale romane à travers quatre autres publications, d’un côté en étudiant la place spécifique du décor de la salle capitulaire de la Trinité de Vendôme dans les relations du dogme et du pouvoir dans l’iconographie grégorienne13, de l’autre en rédigeant, dans sa contribution au Cahier de l’Inventaire sur des peintures murales romanes du Centre14, un exposé quasi méthodologique de reconnaissance d’image, ainsi qu’une démonstration, dans son introduction au même Cahier, en faveur de la diversité d’approche dans la recherche sur la peinture murale romane. Enfin, sa synthèse des découvertes des dix dernières années, rédigée en 198715, est aussi une leçon magistrale, qui a assurément servi de socle pour la régénération de la recherche.

Depuis, la recherche sur la peinture murale romane est bien retournée à l’œuvre originale et s’est diversifiée dans ses approches. Elle vit actuellement une période dynamique. John Ottaway, chercheur au CNRS trop tôt disparu, a exploré les implications ecclésiologiques et politiques de la peinture murale romane des Pyrénées à partir du site de Saint-Lizier16 ; Marcia Kupfer, historienne de l’art américaine, a revisité les grands monuments du Berry et de la Touraine17 ; Christian Davy, chercheur à l’Inventaire, a étudié la production des Pays de la Loire18 dans l’esprit d’une « recherche exhaustive » selon l’expression d’Éric Palazzo19 ; Christian Sapin, historien de l’art et archéologue actuellement directeur de recherche au CNRS, a organisé et a dirigé l’approche interdisciplinaire pour l’étude des peintures murales des cryptes de l’abbatiale Saint-Germain et de la cathédrale d’Auxerre20.

La diversité d’approche est aussi une diversification des époques de production à étudier. Trop longtemps, la peinture murale gothique resta dans l’ombre de la romane. Malgré les efforts méritoires de P. Gélis-Didot et H. Laffillée à la fin du XIXe siècle, ce n’est que dans la seconde moitié du XXe siècle, que les études sur la peinture murale gothique émergèrent21, avec l’ouverture des salles gothiques du musée des Monuments français et la publication de l’ouvrage que leur consacraient P. Deschamps et M. Thibout. Cependant, elles ne se développèrent de manière considérable qu’à partir de la fin du XXe siècle avec le retour aux originaux déjà évoqué, mais aussi grâce à la mise en place et l’animation par Marie-Claude Léonelli de séminaires au sein du Centre international de documentation et de recherche du Petit-Palais d’Avignon. Ces réunions régulières eurent pour effet – outre de permettre la rencontre de doctorants de divers horizons sur un thème commun – la maturation d’une nouvelle génération de chercheurs dont l’activité se déploie actuellement, et dont les résultats prometteurs ont déjà fait l’objet du neuvième séminaire international de Saint-Savin22. La richesse de l’activité de publication témoigne de ce dynamisme intact : nombre de régions, départements, pays ont été l’objet d’un ouvrage inventoriant les sites peints de leurs territoires, avec parfois une introduction synthétique. S’il ne fallait en citer qu’un exemple, on pourrait retenir la belle étude de Christine Leduc-Gueye sur la peinture murale du XVe siècle en Anjou23. Pour le détail de la recherche actuelle, il sera utile de lire la présentation précise effectuée par le GRPM (groupe de recherche sur la peinture murale) publiée prochainement dans la revue en ligne In Situ.
En manière d’épilogue

Depuis deux siècles, l’étude de la peinture murale en France a souvent tenu à des personnalités et a ainsi connu un rythme variable. Actuellement, elle se trouve dans une phase dynamique non seulement grâce à des changements méthodologiques opérés à la fin du XXe siècle, mais aussi grâce à la diversité, voire la multiplicité, de ses acteurs. Toutefois, il est nécessaire de s’interroger sur sa pérennité, à cause de cette double constatation : l’absence de Corpus des peintures murales en France et l’incapacité chronique de la communauté scientifique de bâtir une structure capable d’en assurer l’existence.

Christian Davy

Chercheur au service du patrimoine

Région des Pays de la Loire

Légende des illustrations :

Fig. 1 : Saint-Jacques-des-Guérets. Le décor du mur oriental a été peint en deux campagnes différentes à la fin du XIIe siècle et peut-être au tout début du XIIIe siècle. État au 3 juin 2012 (photo. C. Toulier).

Fig. 2 : Lavardin. L’implantation de l’église Saint-Genest dans le village auprès du château. Vue prise le jour de l’excursion, le 3 juin 2012 (photo. C. Davy).

Fig. 3 : Lavardin, église Saint-Genest. Décor végétal peint à la fin du XIIIe siècle, sans doute repris à la fin du XIVe ou au début du XVe siècle (photo. C. Davy).

Fig. 4 : Vendôme. Cloître de l’abbaye de la Trinité. Le contre-mur du XIVe siècle a été ouvert pour permettre la vision des peintures romanes. Une vitre les protège et renvoie aussi le reflet des voûtes de la salle capitulaire.

1 Ce texte est une contribution à l’historiographie de la peinture murale. Trois autres textes sont utiles à consulter pour en avoir une connaissance plus approfondie : DAVY, Christian, La peinture murale romane dans les Pays de la Loire. L’indicible et le ruban plissé, Laval, 1999, p. 7-9 ; RUSSO, Daniel, « Pour une étude globale des peintures murales en Bourgogne au Moyen Âge », dans Peintures murales. Quel avenir pour la conservation et la recherche ? Actes du colloque international de Toul, 3-5 novembre 2002, dir. Ilona Hans-Collas, Vendôme, 2007, p. 201-204 ; GRPM, La constitution d’un corpus des peintures murales de la France : entre utopie et réalité, à paraître [http://insitu.revues.org/].

2 Né le 20 août 1755, décédé le 2 avril 1839.

3 Éméric-David, Toussaint-Bernard, Histoire de la peinture au Moyen Âge suivie de l’histoire de la gravure, du discours sur l’influence des arts du dessin, et du musée olympique (avec une notice sur l’auteur par P.-L. Jacob), Paris, 1842. L’ouvrage fut réédité à plusieurs reprises : notamment avec une notice sur l’auteur par P. Lacroix en 1863.

4 GALEMBERT, comte de, « Conférence sur la peinture murale », Congrès archéologique de France. 32e session, Séances générales tenues à Montauban, Cahors et Guéret, 1865, Paris, Caen, 1866, p. 337-343.

5 GÉLIS-DIDOT, P., LAFFILÉE, H., La peinture décorative en France du XIe au XVIe siècle, Paris, s. d. [1889].

6 MÂLE, Émile, « La peinture murale en France », dans MICHEL, A., Histoire de l’art, Paris, 1905, t. I, p. 756-781.

7 Une photographie a fixé cet instant. Elle est publiée dans : DAVY, Christian, Juhel, Vincent, PAOLETTI, Gilbert, Les peintures murales romanes de la vallée du Loir, Vendôme, 1997, fig. 4. Elle est aussi visible sur Internet [http://www.grpm.asso.fr/activites/Panneau%203.pdf].

8 Voir à ce sujet notamment : DUFIEUX, Philippe, Le mythe de la primatie des Gaules. Pierre Bossan (1814-1888) et l’architecture religieuse en Lyonnais au XIXe siècle, Lyon, PUL, 2004, p. 51 sq.

9 Elle eut lieu du 4 mai au 27 novembre 1937.

10 L’inauguration se fit en 1945, celle des parties consacrées à la période gothique en 1954 et 1959.

11 DESCHAMPS, Paul, THIBOUT, Marc, La peinture murale en France. Le haut Moyen Âge et l’époque romane, Paris, 1951 ; DESCHAMPS, Paul, THIBOUT, Marc, La peinture murale en France au début de l’époque gothique de Philippe Auguste à la fin du règne de Charles V (1180-1380), Paris, 1963.

12 TARALON, Jean, « Les fresques de Vendôme I : étude stylistique et technique » ; TOUBERT, Hélène, « Les fresques de Vendôme II : étude iconographique », Revue de l’art, 1981, n° 53, p. 9-22, 23-38.

13 TOUBERT, Hélène, Un art dirigé. Réforme grégorienne et iconographie, Paris, 1990, chap. X, p. 365-403.

14 Inventaire général des monuments et richesses artistiques de la France, Peintures murales romanes. Méobecq. Saint-Jacques-des-Guérets. Vendôme. Le Liget. Vicq. Thévet-Saint-Martin. Sainte-Lizaigne. Plaincourault, dans Cahiers de l’Inventaire, no 15, Malesherbes, 1988.

15 TOUBERT, Hélène, « Peinture murale romane. Les découvertes des dix dernières années : fresques nouvelles, vieux problèmes, nouvelles questions », Arte medievale, 1987, p. 127-162 ; repris dans Un art dirigé…, op. cit.

16 OTTOWAY, John, Entre Adriatique et Atlantique. Saint-Lizier au premier âge féodal, Saint-Lizier, 1994.

17 KUPFER, Marcia, The Politics of Narrative. Romanesque Wall Painting in Central France, New Haven, London, 1994.

18 DAVY, Christian, La peinture murale romane dans les Pays de la Loire. L’indicible et le ruban plissé, Laval, 1999.

19 PALAZZO, Éric, Compte rendu critique, Cahiers de civilisation médiévale, 44 (2001), p. 77-78.

20 Peindre à Auxerre au Moyen Âge. IXe-XIVe siècles. 10 ans de recherche à l’abbaye Saint-Germain d’Auxerre et à la cathédrale Saint-Étienne d’Auxerre, dir. Christian Sapin, CEM, CTHS, 1999.

21 Les périodes modernes et contemporaines commencent aussi à être étudiées.

22 La peinture murale de la fin du Moyen Âge : enquêtes régionales. Actes du 9e séminaire international d’art mural, 10-12 mars 1999, Saint-Savin, Centre International d’Art Mural, 2000 (Cahier no 5).

23 LEDUC-GUEYE, Christine, D’intimité et d’éternité. La peinture murale en Anjou au temps du roi René, Lieux-Dits, 2008.


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