Patrick Weber est né le 10 mars 1966 à Bruxelles








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titrePatrick Weber est né le 10 mars 1966 à Bruxelles
date de publication20.03.2018
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BIO
Patrick Weber

 

Les débuts... 

Patrick Weber est né le 10 mars 1966 à Bruxelles.
Il a grandi à Dilbeek, non loin de la capitale mais du côté flamand. Cela peut paraître un détail mais quand on sait à quel point les minorités ont à cœur de défendre leur langue, cela n'est peut-être pas aussi anodin. C’est peut-être ce qui a généré son amour de la langue, de l’histoire et de la culture française. 
Dès son plus jeune âge, il se passionne pour l’histoire. Il dévore les romans, les magazines et les bandes dessinées historiques.
Côté études, après des humanités (en France, on parle de collège mais le mot « humanités » a son charme…) placées sous le signe du latin et du grec, il s’oriente vers des études d’histoire de l’art et d’archéologie à l’Université Libre de Bruxelles. 

Parallèlement, il commence très jeune sa carrière de journaliste. Dès l’âge de 17 ans, il commence à publier ses articles dans nombre de magazines et journaux en Belgique et en France (Le Soir, Spirou, Les Cahiers de la Bande Dessinée, Circus, Vécu, Ciné Télé Revue, Télépro, Univers Cité, Média Marketing, CB News, Point de Vue, Princes d’Europe, Tintin Reporter, Déco Idées, Flair, L’Evénement, Le Vif/ L'Express...).
Ce parcours de journaliste freelance - ceux que d’aucuns appellent "les mercenaires de la plume" - lui convient bien. Il fait des rencontres enrichissantes, tâte des styles d’écriture différents et acquiert une méthode de travail qui lui servira par la suite. Sa carrière de journaliste est placée sous le signe de la presse spécialisée (dans la vie des médias) mais aussi de la bande dessinée, de l’histoire, du design, des voyages ou des styles de vie. 
Il s’oriente ensuite vers la télévision. Il commence par Télé Bruxelles, une chaîne de télévision régionale, avant de rejoindre la RTBF et collaborer à RTL TVI. Là aussi, il tâte des styles divers, de l’information et du divertissement. Mais il s’épanouit surtout à travers des sujets historiques.

Une nouvelle vie

Après deux ans de télévision, il revient à la presse écrite. Cette fois, il troque sa casquette de journaliste contre celle de rédacteur en chef. Il sera successivement rédacteur en chef des magazines Média Marketing, Flair l'hebdo, Télé Moustique et Télé Pocket. 
Paradoxalement, cette nouvelle vie de chef d’équipe lui permet de s’éloigner de l’écriture journalistique pour se consacrer à... l’écriture ! Mais cette fois, il concrétise un vieux rêve : écrire des livres. Comme ceux qui le font rêver depuis l'enfance.  

 
Dès lors, il publie des ouvrages historiques et des romans… toujours placés sous le signe de l’histoire et de l’histoire de l’art. 
Côté ouvrages historiques, il publie "Le Guide de La Belgique Royale" (Collet), "Elisabeth de Belgique, l’autre Sissi" (Payot), "Dix Princesses" (Racine), "Albert II, un roi en famille" (Racine), "L’Année Place Royale" (Luc Pire), "Les Bergères Couronnées" (Librio), "Les Rois de France" (Librio), "L'Histoire de l'Art (Librio), "Belgique Royale" (Racine), Amours royales et princières (Racine), La Saga Grimaldi (Timée), Diane, princesse brisée (Timée)…
Parallèlement, il publie plusieurs romans et essais en associant sa formation d’histoire de l’art et sa passion pour l’écriture: La Vierge de Bruges (Le Masque), L’Ange de Florence (Le Masque), des Ombres sur Alexandrie (Le Masque), les Dîners de Cléopâtre (Le Masque), Les Sept Papyrus (Le Masque), Le Chat a vomi (Belfond), Le Pénitent de Paris (Le Masque), le Grand Cinquième (Lattès), Vikings (Timée), Le Diable de Rome (Le Masque), Cathares (Timée), La saga de Fenrir (Toukan), L’Aiglon ne manque pas d’aire (Le Masque)…
Il devient aussi scénariste de bandes dessinées : Novikov (Humanoïdes Associés), Œil de Jade (Humanoïdes Associés), les Fils de la Louve (Le Lombard), La Dernière Reine (Dupuis), Arthur (Soleil), Lefranc (Casterman), Loïs (Casterman), Alix (Casterman), Trust ( Casterman), 1066 (Lombard), Sparte (Lombard)… 

Chroniqueur royal new-look

En 2005, les hasards de la vie l’amènent aussi à revenir à la télévision. Chroniqueur royal, il participe à l’émission « C’est du belge » pour la RTBF. Pour le programme, il endosse le costume de ses prestigieux devanciers ou confrères comme Léon Zitrone, Stéphane Bern ou Frédéric Mitterrand et part sur les traces des grands destins royaux.
Toujours pour la télévision belge, il co-présente avec Thomas Van Hamme les grands événements royaux en direct (mariage de Camilla et Charles, funérailles de Rainier III etc.). Il a également l’occasion d’accompagner régulièrement le couple royal lors de ses déplacements à l’étranger dans les visites d’État. Une façon de vivre la vie de la dynastie côté coulisses…
Parallèlement, il donne de nombreuses conférences et cours, en traitant toujours de l’histoire royale et dynastique... 

En 2011, il rejoint RTL Belgiumoù il devient chroniqueur royal. Il officie pour RTL TVi, BelRTL, RadioContact ou RTL.be.

Il commente les grands événements royaux et prépare des émissions spéciales. Il signe aussi des émissions en radio et des reportages pour le net.

S’il rend hommage aux anciens professionnels qui ont tracé la voie (royale), Patrick Weber se revendique de la nouvelle génération des chroniqueurs royaux. De ceux qui n’ont pas abdiqué des notions de respect et de fidélité à l’histoire mais qui n’en ont pas perdu pour autant leur sens de l’humour. Respectueux ne signifie pas obséquieux et d’après lui, les courtisans ont fait davantage de mal que de bien à la monarchie.

Une vie, trois villes 

Alors, me direz-vous, quel touche-à-tout ce type ! À y bien regarder, il y a pourtant une grande constante dans cet itinéraire varié. L’envie d’utiliser l’histoire (celle avec un grand H) pour raconter des histoires (celles un avec un petit h). Et aussi, de mettre son énergie créatrice au service de thèmes qui lui sont chers. 
Car Patrick Weber présente un étonnant profil. Il vit entre Bruxelles, Paris et Rome... les trois villes les plus chères à son cœur.
Un brin cocardier (ils ne sont pas si nombreux au Plat Pays), il aime la Belgique et sa position de carrefour entre deux traditions latine et germanique. Il fait partie de ceux qui croient au futur d'un pays que certains politiques s'ingénient à détricoter depuis des décennies. Il aime Bruxelles, sa "swanze", une façon bien particulière, très "bourguignonne" d'envisager la vie (à Bruxelles, il vit plus précisément dans la commune d’Ixelles). Le dynamisme de la Flandre et la richesse de son histoire le fascinent. Il goûte la beauté des espaces naturels de Wallonie et son sens de l’accueil.
Il aime aussi la France, sa langue, sa culture, ses régions et la richesse de son histoire. Il aime Paris qui constitue pour lui - comme pour nombre de Belges "créateurs"- un Eldorado à 1 heure 25 de Thalys (dont il a fait son bureau nomade)... Et puis, il aime les Parisiens (ce qui n'est pas toujours évident pour un Belge partiellement "exilé" hors de son royaume).
Il aime enfin l'Italie et pas seulement pour sa cuisine... Pour lui, la péninsule est la plus fascinante terre d'art de l'Europe et même du monde. Il aime Rome, une ville unique où les époques se télescopent à chaque coin de rue sans jamais s'affronter. De l'Antiquité à l'architecture contemporaine en passant par le Moyen-Age, le Baroque ou la Renaissance, chaque promenade est prétexte à un voyage dans le temps.  

 
Monarchiste, bouddhisme de cœur et à l’arrivée… très européen 

Mais Patrick Weber a d’autres caractéristiques qui - à première vue - peuvent surprendre...  
Il est un ardent défenseur de la monarchie. En France, on le qualifierait de royaliste mais comme il vit en monarchie, c’est un qualificatif qui n’a pas vraiment lieu d’être. En revanche, il pourra vous entretenir des heures durant sur les vertus de la monarchie constitutionnelle, du rôle symbolique du chef de l’État et du pont précieux que constitue la dynastie entre un peuple et son histoire. 
Mais il est aussi un bouddhiste de cœur et parfois même critique. Il est convaincu de la sagesse des enseignements de Bouddha et de leurs bienfaits dans notre société individualiste mais il doute de la pertinence d’une simple transposition « folklorique » du bouddhisme oriental en Occident… Selon lui, le bouddhisme occidental reste à inventer.
Des terres vertes d’Irlande au granit de la Bretagne, il se passionne aussi pour les racines celtiques de l’Europe ainsi que pour les anciennes croyances qui plaçaient la nature au cœur de la vie des hommes. À y regarder de plus près, il y a d’ailleurs de nombreux points de convergence entre la philosophie bouddhiste et une conception du monde que l’on qualifie aujourd’hui de païenne. Le sujet mériterait d’être creusé…
Vivant entre trois pays et au fil de ses voyages, il s’est forgé la certitude d’un vaste ensemble européen auquel nous appartenons et duquel il se sent proche. C’est dans ce fond culturel et historique commun qu’il puise une grande partie de son imagination.
 

Carte d’identité

Patrick Weber
Né le 10 mars 1966

Marié

Belge, domicilié à Bruxelles

Vit entre Bruxelles, Paris et Rome

Journaliste et chroniqueur royal

Romancier et scénariste
Il aime : Tintin et Milou, les couronnes, la Bretagne, la Grand Place de Bruxelles, la place des Vosges, le thé, l’Orval (la meilleure bière du monde), les vikings, les voyages, les croquettes aux crevettes, les gnocchis au pesto, la natation, les chats, le chocolat noir, Louis XVIII, les chanteuses françaises, l’océan et les soirées resto entre amis
Il déteste : les étiquettes, les tomates crues, les petits matins froids, jouer au foot, les blasés, les donneurs de leçons, la bière brune, le ski, la lâcheté, rester en place, la viande, les embouteillages, Sissi et l’informatique



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