Theatre en algerie








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HACIANE Mustapha

Né en 1935 à Rouiba dans la banlieue algéroise. Obtient son baccalauréat en 1953. Fait jouer une de ses pièces en 1967 au théâtre de l’Atelier de Genève. Collabore avec l’hebdomadaire, Algérie-Actualité et anime une émission à la radio, Travelling, sur l’art et la culture. Vit en France.
Œuvres : A quoi bon fixer le soleil ? (SNED, Alger, 1974) ; Les orphelins de l’empereur (SNED, Alger, 1978).
HADJ SMAIN Mohamed Seghir

Né en 1932 à Constantine. Etudes primaires et secondaires dans cette ville. Participe à la création du TNA (Théâtre National Algérien) et de l’école nationale d’art dramatique. Après un passage à la radio où il anime une émission sur l’art théâtral, il est nommé directeur du théâtre régional de Constantine. Comédien et acteur de cinéma, il a assuré deux mises en scène : Errafd (Le refus, TRC, 1982) et El Kelma (La parole, TRC,1984).
HAMOUDA Djamel

Né en 1954 à Skikda. Etudes à l’Ecole Nationale d’Art Dramatique et Chorégraphique de Bordj El Kiffan (1970-1974). Animateur d’une troupe d’amateurs (L’Avant-garde) à Skikda. Monte Zid ya Bouzid. Ensuite, il intègre le T.R.A (Théâtre Régional de Annaba). Ecrit et/ou met en scène plusieurs pièces : El Firane (Les rats, TRA, 1981) ; Dhik El Khatar (L’angoisse du danger, TRA, 1985) ; Elli Yezraa Errih ( Celui qui sème le vent, TRA, 1986) ; Les aventures de Gattous (TRA, 1986) ; Ettarous (Le chien de chasse, TRA, 1986) ; Kahwa ouela Tay (Café ou thé , TRA, 1987) ; Janoub (Sud, TRA, 1990) ; Ded et Rosalie (CCF de Annaba, 1991).
HOUHOU Rédha

Né à Constantine. A publié des nouvelles, des romans et des pièces de théâtre. Proche de l’association des Oulama. A créé une troupe de théâtre à Constantine, El Mezhar el Qacentini en 1947. Ses pièces publiées sont souvent associées avec des nouvelles. On peut citer entre autres textes : Anbaça (une adaptation de Ruy Blas de Victor Hugo, jouée au TNA en 1966) ; Ba’iat el Ward (La vendeuse de roses) ; La sanction ; L’illusion ; Oudaba el Mad’ar (Les écrivains de l’apparence)… Tous ces textes ont été écrits en arabe « littéraire ». Il a également écrit des pièces en arabe « dialectal » : Ennaib El Mouhtaram (L’honorable substitut) ; Si Achour ; L’avare

K
KAKI

Né le 18 février 1934, Kaki, de son vrai nom Abdelkader Ould Abderrahmane, est l’in des plus grands hommes de théâtre algériens. Commence très jeune à faire du théâtre. A quinze ans, il est membre d’une troupe, El Saydia et à dix-sept ans, il fait partie de la formation, El Mesrah (Le théâtre). En tant qu’instructeur régional et national d’art dramatique (formé par le Service de l’Education Populaire dirigé par Henri Cordereau), il met en scène entre 1955 et 1958 La valise de Plaute, L’oiseau vert de Carlo Gozzi et La cantatrice chauve d’Eugène Ionesco. En 1958, il crée à Lyon une troupe Mesrah el Garagouz (Le théâtre Garagouz) qui monte des textes de Brecht, Piscator et bien d’autres dramaturges et se familiarise avec les techniques et les méthodes de Gordon Craig, Brecht, Stanislavski, Meyerhold ainsi qu’avec le théâtre grec et le Nô japonais. C’est à partir de là qu’a commencé le vrai travail dramaturgique de l’auteur. Les expériences ultérieures intégreront dans une enveloppe esthétique « syncrétique » tous les éléments tirés de divers systèmes dramatiques assimilés grâce à un excellent travail expérimental.

Après l’indépendance, entre au TNA, écrit et met en scène ses propres textes. Médaille d’or du festival du théâtre arabo-africain de Tunis et de l’Institut International du Théâtre. A été directeur du TNA puis du TRO.
Œuvres : Tarikh Ezzahra (La légende de la rose, 1951). Mises en scène entre 1955 et 1958 de La valise de Plaute, L’oiseau vert de Carlo Gozzi et de La cantatrice chauve d’Eugène Ionesco.

Avant-théâtre (La cabane, Le filet, Le voyage, Garagouz, 1958-60) ; Le peuple de la nuit (1962) ; 132 ans (1963) ; Afrique avant un (1963) ; Les vieux (1964) ; Diwan El Garagouz (1965) ; El Guerrab wa Essalhine (Le porteur d’eau et les trois marabouts, 1966) ; Koul wahed wa houkmou ( A chacun sa justice, 1967) ; Beni Kelboune (1972) ; Diwan Lemlah(1977).

Mise en scène de Deux pièces cuisine de Safiri en 1965. Pièces d’après l’indépendance jouées au TNA (Alger) sauf Diwan Lemlah au TRO (Théâtre Régional d’Oran).
KATEB Mustapha

Né en 1920 à Alger. C’est en grande partie grâce à lui que le théâtre en Algérie a réussi à s’organiser et à mettre en place des structures relativement stables. En 1939, Mahieddine Bachetarzi lui fait appel et l’intègre dans sa troupe. C’est le début de son aventure. Joue dans plusieurs pièces de Bachetarzi. Crée en 1946 La Troupe du Théâtre algérien qui ne disparaîtra qu’après qu’il eut rejoint en 1957 le FLN (Front de Libération Nationale). Directeur adjoint en 1947 de la section arabe de l’Opéra d’Alger. En 1958, il crée la troupe du FLN. Après l’indépendance, dirige le Théâtre National Algérien et ouvre l’école nationale d’art dramatique et chorégraphique. Après avoir été écarté de la direction du TNA par l’ancien ministre de la culture et de l’information, il est chargé par M.S.Benyahia, alors ministre de l’enseignement supérieur, d’animer des stages d’art dramatique à l’université. Reprend la direction du TNA en 1987-1988. Meurt en 1989. Comédien, metteur en scène, acteur de cinéma, auteur et réalisateur de dramatiques et de feuilletons TV.
Œuvres : A assuré la mise en scène de plusieurs textes au TNA : Les enfants de la Casbah (1963) ; Hassan Terro (1963) ; La vie est un songe (1963) ; Don Juan (1963) ; Anbaça (1966) ; El Khalidoun (Les éternels, 1966) ; Le cadavre encerclé (1968) ; Rouge l’aube (1969) ; El Bouaboune (Les concierges, 1970) ; Er’hil (Le voyage, 1970) ; L’homme aux sandales de caoutchouc (1972) ; Djeha ba’hmarou (Djeha et son âne, 1983).
KATEB Yacine

Né le 6 août 1929. Participe aux manifestations du 8 mai 1945 alors qu’il n’avait que seize ans. Ces événements vont marquer toute son œuvre. Donne à Paris une conférence sur l’Emir Abdelkader et assure des cours gratuits aux militants du PPA (Parti du Peuple Algérien). De 1948 à 1950, il est journaliste à Alger-Républicain. Publie Le cadavre encerclé dans la revue Esprit (N°12, décembre 1954 et N°1, janvier 1955). Jean Marie Serreau monte la pièce le 4 août 1958. Participe en février 1962 au congrès des écrivains afro-asiatiques. La femme sauvage est montée en 1962 à Paris par J.M.Serreau. Rentre définitivement en Algérie en 1970. Collabore avec le Théâtre de la Mer qui réalise la première pièce de l’auteur en arabe populaire, Mohamed prends ta valise. Juste après l’éclatement du Théâtre de la Mer en 1972, constitue l’Action Culturelle des Travailleurs (ACT), troupe prise en charge par le Ministère des Affaires Sociales. Longue tournée en France. Après le changement du ministre des affaires sociales, sa troupe se retrouve dans la rue. Finalement, il est nommé en 1977 directeur du théâtre régional de Sidi Bel Abbès. Prix National des Lettres décerné en 1977 par le ministre français de la culture. De nombreux metteurs en scène ont monté ses pièces. Meurt en octobre 1989. Poète, dramaturge, romancier et journaliste.
Œuvres : Le cercle des représailles (Le cadavre encerclé, Les ancêtres redoublent de férocité et La poudre d’intelligence, Paris, Le Seuil, 1959) ; L’homme aux sandales de caoutchouc (Le Seuil, Paris, 1972) ; Mohamed prends ta valise (1971) ; La voix des femmes (en français et en arabe) ; La guerre de deux mille ans (ACT, 1974) ; Palestine trahie (ACT, 1976), Le roi de l’Ouest (ACT, 1975-1976) ; Le pain amer (1980) ; Mandéla (1988, pièce non achevée) ; Le bourgeois sans culotte ou le spectre du parc Monceau (1989 , sur la révolution française).
KHOUDI Ahmed

Né en 1952 dans la région de Boumerdès. Etudes non achevées à l’école nationale d’art dramatique et chorégraphique (1972-1973). Intègre le théâtre régional d’Oran comme comédien en 1974. Parti en Belgique où il poursuit sa formation de metteur en scène à l’INSAS. Présente une adaptation de Moha le fou Moha le sage comme pièce-diplôme et une étude : Propositions pour un théâtre populaire algérien. Enseigne à l’INADC de 1982 à 1984. Rejoint le théâtre régional de Annaba (TRA) en 1984. Directeur du théâtre régional de Béjaia de 1989 à 1992.
Mises en scène : Bouderbala (1984) ; ELAhd (La promesse, 1985) ; Dhik El Khater (L’angoisse du danger, 1985) ; Harf b’harf (A la lettre, 1986).
KSENTINI Rachid

Né le 11 novembre 1887 à Alger, Ksentini, fils d’une famille d’artisans, exerce plusieurs métiers avant de se consacrer au théâtre. Sa première aventure théâtrale comme avec la pièce de Allalou, Le mariage de Bou Akline le 26 octobre 1926. Constitue une troupe avec Djelloul Bachdjerrah, El Hilal el Djezairi (Le croissant algérien). Sa première pièce El Ahd el Ouafi (Le serment fidèle), un drama en quatre actes, est un échec. En 1928, déçu par le manque de succès de sa première tentative, écrit et joue une comédie burlesque en trois actes, Le mariage de Bou Borma (Le mariage de l’homme à la marmite). Depuis cette pièce, fortement appréciée par le public, le nom de Ksentini domine la représentation théâtrale en Algérie. Après sa mort, Mahieddine Bachetarzi adapte ses textes. Le répertoire de l’auteur-comédien-chanteur, estimé à une cinquantaine de pièces et à six cents chansons, est de facture réaliste. Attaques virulentes contre les obscurantistes, les bourgeois et les cadis véreux. Le texte se transforme sur scène, en fonction des situations du moment et des capacités extraordinaires d’improvisation du comédien. Sa technique d’écriture, proche de la comedia dell’arte, privilégie le canevas, unique document écrit. Meurt en 1944.
Œuvres : El Ahd el Ouafi (Le serment fidèle, 19327) ; Le mariage de Bouborma (1928) ; Khoud ktabi (Prends mon livre, 1929) ; Loundja l’Andalouse (1930) ; Ched Rohek (Tiens bon, 1931) ; Tcheretche (Ments encore, 1932) ; Faqo (ça ne prend plus, 1932) ; Ya rassi Ya rasseha (Ou ma tête ou sa tête, 1932) ; Zid Aleh (Cherche encore, 1933) ; Allah Estourna (Que Dieu nous préserve, 1933) : Baba Echikh (Vieux père, 1933) ; Takhir Ezzamane (Fin d’époque, 1933) ; Ache kalou (Ce qu’ils disent, 1938)…

L
LEBKIRI Moussa

Né en Kabylie. Part très jeune en France. Crée la troupe Nedjma à Paris en 1976. Joue surtout des monologues. A écrit et monté Une étoile dans l’œil de mon frère au Théâtre Roseau en 1990 et Bouzelouf (Tête de mouton) au théâtre du Guichet-Montparnasse en 1991. Prix du meilleur texte à Evry (1987) et du jury à Strasbourg (1988).
LEHBIEB Mohamed

Membre de la troupe de Kateb Yacine, L’Action Culturelle des Travailleurs (ACT), puis du théâtre régional de Sidi Bel Abbès. A écrit et mis en scène El Batal ouala Bettal (Le héros qui devient mendiant, 1984) et Dialogue amer (1987).

M
MADANI Tewfik

Homme politique, ancien ministre, historien et auteur dramatique. A notamment écrit Hannibal (jouée par la troupe de M.Bachetarzi vers la fin des années quarante) et traduit des pièces comme Othello de Shakespeare par exemple. Décédé.
MAKHOUKH Boubekeur

Né en 1955 à Annaba. C’est en 1984 qu’il tente sa première expérience, une adaptation d’une nouvelle de l’écrivain égyptien, Ihsan Abdelqoudous, Le voleur d’autobus (Hafila Tassir). Le TNA met en scène cette pièce en 1985 (mise en scène de Ziani Chérif Ayad) et Ghabou Lefkar ( une adaptation du texte de Mrozek, Les émigrés) en 1986. S’occupe essentiellement du théâtre pour enfants.
MAMMERI Mouloud

Né le 28 décembre 1917 à Taourirt Mimoun (Grande Kabylie). Etudes supérieures à Rabat. Préparation à l’ENS de Paris. Etudes de lettres à l’université d’Alger. Enseigne en Algérie après son retour de France en 1947 ? 0 Médéa puis à Ben Aknoun. Après 1957, réside au Maroc. Rentre au pays au lendemain de l’indépendance. Directeur du Centre de Recherches Anthropologiques, Préhistoriques et Ethnographiques (CRAPE). Enseignant à l’université d’Alger. Décédé en 1989. Romancier, poète, traducteur de contes et de poèmes kabyles et auteur dramatique.
Théâtre : Le foehn ou la preuve par neuf (Publisud, Paris, 1982, jouée au TNA en 1967, mise en scène de J.M.Boeglin) ; Le banquet précédé de La mort absurde des Aztèques (Librairie académique Perrin, Paris, 1973) et La cité du soleil (sortie en trois tableaux, Laphomic, Alger, 1987).
MARIR Djamel

Formation de comédien à l’école nationale d’art dramatique et chorégraphique. Directeur du Théâtre Régional de Annaba (TRA) de 1979 à 1993. A mis en scène deux pièces : Ala Kerchou (A cause de sa gourmandise ; 1980) et Eznika (La ruelle, 1984).
MEDJOUBI Azzedine

Né en 1945 à Azzaba (à une trentaine de kilomètres de Skikda). Connu surtout comme comédien. Joue dans la plupart des pièces du TNA. Etudes au Conservatoire d’Alger. Travaille à la radio de 1963 à 1965. Intègre le TNA en 1965. Fait une expérience à Théâtre et Culture. Assistant-metteur en scène dans Galou Larab (Les arabes ont dit, 1983) ; Fersoussa wal malik (1978) Et Aqd el Jawher (Le contrat de perles, 1984). Met en scène Ghabou Lefkar (une adaptation du texte de Mrozek, Les émigrés,1986) et Alem el Baouche (Le monde des insectes, 1993).
MOHCENE Amar

Ancien amateur. Intègre le TRC dès la décentralisation. Monte Hada Ijib Hada (A chacun son tour, 1976) ; Rih Essamsar (Le vent des mandataires, 1980) ; Ghessalet Ennouader (1984) ; Hourouf el Alla (Les lettres du mal, avec Ahcène Boubrioua, 1987) ; Ars Eddib (L’arc en ciel, 1990).

O
Omar Hadj

Né en 1930 à Alger. Participe en 1944 à une tournée avec Mohamed Touri où il anime la partie musicale du spectacle. Chante El Casbah, Cireurs (1951), La ronde métiers…En 1948, rejoint la troupe El Farah (La joie) de Mustapha Kateb qui change de dénomination par la suite et devient El Mesrah el Djezairi (Le théâtre algérien).S’inscrit en 1952 au cours d’art dramatique Fernand Ledoux à la Sorbonne. Elève de Jean Vilar et du TNP. Participe en 1955 avec El Mesrah El Djezairi au festival mondial de la jeunesse de Varsovie. Arrêté en 1956. A sa sortie de prison, rencontre J.M.Serreau qui monte Le cadavre encerclé de Kateb Yacine. Intègre au lendemain de l’indépendance le TNA. Chanteur, comédien et metteur en scène. Meurt en 1982.
Œuvres : Le comédien malgré lui (1963) ; Les chiens (1965) ; Le cercle de craie caucasien (1969) ; Hiya Qalet wana Qolt (Elle, elle a parlé et moi, j’ai dit, 1975) ; Afrit ou Hafouh (Ils ont eu le diable, 1977) ; Stop(1979).
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