Anne F. Garréta Pas un jour À nulle








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Anne F. Garréta



Pas un jour

À nulle




ANTE SCRIPTUM
Que faire de ses penchants?

Il s'agirait d'écrire autre chose, autrement que tu ne fais d'habitude. Une fois encore, mais par un autre tour, te déprendre de toi-­même. Te déprendre des formes que revêt cette déprise et tenter de différer un peu plus encore de ce que tu crois être. Si tu ne conçois plus écrire autrement que par longues et méditées constructions, n'est-il pas temps d'aller à l'encontre?

Le roman prochain que tu entrevois et dont tu rumines les calculs, te prendra des années à rechercher, composer, écrire. Tu as pitié de tes quelques lecteurs et te soucies de ne pas outrepasser toujours leur patience et bonne volonté. Tu leur voudrais offrir entre temps ce que tu les soupçonnes désirer: un diver­tissement, l'illusion d'un dévoilement de ce qu'ils imaginent être un sujet. Car ils te supposent - faiblesse commune et jusqu'à encore peut-être quelque temps de l'avenir, inéluctable - un moi.

Comme tu n'as pas le cœur de leur dire (d'ailleurs, ils refuseraient de te croire, car cela est une effrayante nouvelle tant que nous n'au­rons pas fini de cuver l'ivre-mort de notre petit moi) que nul sujet ne s'exprime jamais dans nulle narration, tu as résolu de feindre au moins d'emprunter la pente que l'on croit de nos jours naturelle, et te contraindre délibéré­ment au genre de l'écriture qu'on disait autre­fois intime. Raconter sa vie, on ne fait plus que cela semble-t-il aujourd'hui, et encore, sous l'angle censé depuis plus d'un siècle lui don­ner sens, en être la clef universelle. Bref, le passe-partout de la subjectivité: le désir.

Et tu pourras dire comme - et contre ­- Rousseau, celui-là même qui a inauguré ou achevé notre corruption: «Il faut des spec­tacles dans les métropoles de l'ère post­moderne, et des confessions aux peuples ido­lâtres. J'ai vu les mœurs de mon temps et j'ai publié ces récits. Que n'ai-je vécu dans un siècle où je dusse les jeter au feu.»

Cette ironie te réjouit avant même d'avoir écrit une ligne. Tu joueras à ce très vieux jeu devenu la marotte de la modernité qui renâcle à se désenchanter pour de bon: la confession, ou comment racler les fonds de miroirs.

Un jour de septembre 1835, dans une allée près du lac Albano, Stendhal ou Henri Beyle ou Henri-Brulard - on ne sait lequel... peut-­être tous à la fois - trace dans le sable les initiales des femmes qu'il a aimées: V, An, Ad, M, Mi, Al, Aine, Apg, Mde, C, G, Aur et enfin Mme Azur. De cette dernière, le pré­nom lui échappe. Liste de Don Juan malheu­reux: «Dans le fait, je n'ai eu que six de ces femmes que j'ai aimées.»

H. B. te présente là l'esquisse d'un projet, mélancolique et d'une ironie cruelle, qui conviendrait bien à ta convalescence: l'al­phabet bégayant du désir.

Quitte à contrarier tes habitudes et tes pen­chants, autant systématiquement le faire. Voici l'ascèse que tu as pour toi réglée (on ne peut plus radicalement différer ni dissembler de soi-même que tu entreprends ici de le faire). Elle tient en une maxime: pas un jour sans une femme.

Ce qui veut dire simplement que tu t'assi­gneras cinq heures (le temps qu'il faut à un sujet moyennement entraîné pour composer une dissertation scolaire) chaque jour, un mois durant, à ton ordinateur, te donnant pour objet de raconter le souvenir que tu as d'une femme ou autre que tu as désirée ou qui t'a désirée. Le récit ne sera que cela, le dévi­dage de la mémoire dans le cadre strict d'un moment déterminé.

Tu écriras comme on va au bureau; tu seras fonctionnaire de la mémoire de tes désirs, trente-cinq heures par semaine. Ni plus ni moins que cinq heures par initiale.

Tu les prendras dans l'ordre où elles te reviendront à l'esprit. Tu les coucheras ensuite dans l'ordre impersonnel de l'alphabet. Au diable la chronologie.

Tu t'interdis d'utiliser tes instruments habi­tuels: pas de stylo, rien que le clavier (ne s'agit-il pas de recorder?). Pas de brouillon, pas de notes recueillies dans un cahier, pas d'architecture réfléchie et composée, nulle autre règle que celles, purement matérielles et logistiques, que tu donnes à l'acte.

Nul autre principe que d'écrire de mémoire. Ne visant pas à dire les choses telles qu'elles eurent lieu, non plus qu'à les reconstruire telles qu'elles auraient pu être, ou telles qu'il te paraîtrait beau qu'elles eussent été, mais telles qu'au moment où tu les rappelles elles t'apparaissent.

Au fil du clavier, tu décimeras purement tes souvenirs. Et qu'importe si au terme de tes cinq heures de remémoration, rien n'aura été consommé. S'agit-il de savoir si on a eu les femmes qu'on a désirées...? L'écriture au risque de la mémoire est méandre et incerti­tude comme le désir, jamais assuré de sa fin ni de son objet.

Ni rature, ni reprise, ni biffure. Les phrases comme elles viendront, sans les comploter. Et interrompues sitôt que suspendues. La syn­taxe à l'avenant de la composition...

Enfin peut-être parviendras-tu, dans la fai­ble mesure de tes moyens, à émuler tes contemporains, racontant leur vie, pissant de la copie de vécu - et s'y croyant.

Tu aurais pu faire mieux et tenir un jour­nal. Mais tu n'as pas le talent de tes contem­porains. Au jour le jour, tu n'aurais rien eu à rapporter: il ne t'arrive jamais rien qu'en mémoire. Tu ne saisis l'instant que dans le souvenir lointain, qu'après que l'oubli a donné aux choses, aux êtres, aux événements la densité qu'au jour, évanescents, ils n'ont jamais. Tes jours sont de vapeur, de buée imperceptible. Le monde (et toi de même) est fantôme que seul le temps, la nuit du temps rend visible et dans le même instant efface. En plein jour, ils ne portent pas même d'ombre. Sensibilité de plaque photographique, qui ne se révèle que lentement. Et qui, il te semble, ne connaît pas de fixateur: ramenée à la lumière de l'écran, de la page et tenue trop longtemps sous le regard, la mémoire se dissout sans rémission. Il n'en reste que l'image de l'image, le cliché pris à l'occasion de la remémoration. De copie en copie du souvenir, il pâlit, bouge. N'en demeure bien­tôt que la caricature - et les détails seuls que le regard, s'appesantissant, a grossis.

Tu te concentreras et te dissiperas ainsi d'un même mouvement. Tu te dissiperas en pensée, tu t'adonneras à un libertinage men­tal à heures fixes, et purement discursif, toi qui depuis une éternité as renoncé au liberti­nage, et devenue d'une simplicité de mœurs que tes contemporains ne sauraient croire. Et que tu n'eusses certes jamais pu imaginer lorsque tu te croyais contemporaine de toi­même.

Tu te dissiperas en pensée, et pour te diver­tir des désirs que tu pourrais encore éprou­ver, que tu risques toujours d'éprouver quand bien même tu as appris à en déjouer les ruses les plus triviales.

Disons que c'est un beau soir d'été, qu'après trois mois passés allongée sur ton divan à attendre que se consolide la grosse fracture qui t'a laissé dans la jambe droite deux plaques de métal, treize vis et le loisir d'ana­lyser les nuances subtiles de la douleur phy­sique, le goût de la morphine grenadine, de t'émerveiller de la chance que tu as eue, tout bien considéré, de te sortir à si bon compte d'un accident absurde, car lorsque tu en as développé le souvenir, tu as enfin vu qu'il aurait pu te coûter ta vie ou ton corps, le divi­sant au gré d'une paralysie plus ou moins grave, qu'après donc trois mois et un renou­vellement de bail avec la vie, avec le mouve­ment, c'est un bien beau soir d'été, un soir où le corps enfin libre de trop de douleur, retrouve dans le désordre tous ses appétits, celui de la danse, celui des autres corps, celui des femmes. Il suffirait d'aller s'asseoir à la terrasse d'un café, regarder les passantes. Le désir sûrement dévalerait sa pente, naturelle­ment assez abrupte, et avant même de le savoir sans doute te serais-tu créé des souve­nirs de plus.

Il en est du désir comme de la douleur - ­tu l'as appris de ton accident. C'est la surprise qui les rend incontrôlables. Se réveiller de leur absence brutalement, ils emportent tout. Les tenir en lisse demande sang-froid, attention et régularité.

Dissiper, esquiver ou digresser tes désirs, telle est la finalité de cette petite expérience que tu tentes et dont tu espères qu'elle suffira à te mener jusqu'au moment de monter dans l'avion qui te transportera outre-Atlantique sur l'autre bord du désir. Ou pour le dire autrement, toi qui fus longtemps frivole, d'une frivolité que sans doute les récits que tu entends dévider chaque jour de ce mois de juillet 2000 risquent d'illustrer assez, toi donc qui fus longtemps frivole, et dont la pente naturelle (c'est-à-dire certainement humaine, et aggravée de toute la surestimation fran­çaise de cet art d'être volage qui confond la grâce et la légèreté, les plaisirs de chair et ceux de vanité) est loin d'être aplanie, t'es délibé­rée depuis certain temps déjà de ne plus vivre dans la sujétion de désirs désordonnés.

Car la vie est trop courte pour se résigner à lire des livres mal écrits et coucher avec des femmes qu'on n'aime pas.

B*
Mémoire du corps: son inscription dans un espace, son ancrage dans une lumière.

Assise, jambes étendues devant toi, dans un de ces fauteuils que Balthus fit recouvrir des housses de toile à volants qui hantent ses tableaux, dans l'orbe de lumière d'un de ces lampadaires rouillés dessinés par le même Balthus, la bouteille de cognac calée sur ton ventre. A ta droite, ta table de travail au pla­teau de verre surchargé de papiers, de livres, de deux ordinateurs. A ta gauche, la table du dîner (une planche posée sur deux massifs tré­teaux tirés d'un atelier d'artiste), non encore débarrassée. Derrière toi, le mur blanchi à la chaux et son rebord maçonné qui sert d'éta­gère à d'autres livres encore. Devant toi, la diagonale que trace contre le mur la montée de l'escalier qui mène à la mezzanine où est ton lit. Tu débouches parfois la bouteille de cognac pour en remplir ton verre et tu médites.

Tout à l'heure, tu as raccompagné tes invités. Qui étaient-ils? Tu n'as souvenir que de *** (qui était ta maîtresse, et de tous tes dîners) et B*, venue donner une conférence en ce palais romain où tu passes tes nuits à lire, à te promener dans les jardins, à jouer seule au billard dans le bar désert des pension­naires.

Du dîner non plus, nul exact souvenir. Sans doute tes nourritures romaines coutu­mières, dont tu ne t'es jamais lassée: pros­ciutto fondant et parfumé, mozzarella di buffala, figues, tomates, dattes fraîches, sca­morza affumicata, pasta nappée de panna convenablement assaisonnée. On avait, quel qu'ait pu être le menu exact, terminé au cognac dont tu avais toujours à portée de main sur ton bureau une belle et bonne bou­teille.

Après quoi, l'on sortit en troupe dans les jardins, marcha dans la grande allée de gra­vier crissant sous les pas. Au pied de la vasque d'Hermès, on abandonna B*. Tu en avais éprouvé un regret, comme un tourment phy­sique, et sans solution possible en si nombreuse compagnie. Tu lui proposas juste (on mettrait cela sur le compte de l'hospitalité due à nos hôtes de passage) de partager, après le dîner de ce soir, ton petit déjeuner du lende­main, lui promettant des pancakes (dans ton frigo, un jerrican de sirop d'érable rapporté à ton dernier retour de N.Y.). Elle n'était peut­-être pas lassée encore de votre conversation qui durait depuis la fin de sa conférence. Elle s'en était allée dans l'ombre de la loggia rejoindre l'une des chambres où l'Académie héberge, le temps de leur séjour, ses invités, conférenciers, anciens pensionnaires en pèle­rinage.

Tu avais raccompagné *** jusque chez elle et t'en revins par l'allée des orangers jusqu'à ta maison isolée au milieu des jardins, non sans jeter au passage de la grande cour aux trois fontaines sur laquelle donnent le corps principal de la villa et son aile, un coup d'œil aux vitres des chambres de la passerelle, comptant les fenêtres et t'assurant que celle de la chambre de B * clairait encore. Elle s'était plainte de ce que l'insomnie lui était un tourment coutumier.

Quittant l'allée de gravier, tu te glissas pour rentrer chez toi entre un terme antique au visage dévasté et la haie de buis qui délimite ton carré de jardin.

Assise dans ton tableau de Balthus, tu contemplais à présent cet autre tableau, inté­rieur, de tes perplexités, de ton trouble. Car il t'avait semblé depuis cette conférence que tu étais allée écouter, qu'entre B* et toi, un charme imprévu agissait. Certes, vous vous étiez découvert au fil de la conversation qui avait suivi, des affinités intellectuelles, des antécédents communs, la fréquentation de certaines écoles, de certaines lectures. Rien ne te séduit plus chez une femme - cela tu le savais depuis longtemps, mais la surprise en est à chaque fois aussi troublante - que cer­taines formes aiguës de l'intelligence, une manière de mettre cette intelligence en jeu, une liberté de mouvement dans le discours, un oubli de soi à la poursuite d'un plaisir de penser, de comprendre. Tu te jettes à corps perdu dans les jeux de langage auxquels elle t'entraîne.

Mais que percevais-tu d'elle et qui te sédui­sait au point de te troubler? Le contraste de son corps frêle, fin, frileux et d'une acuité mentale suraiguë. Quelque chose de limpide dans la voix, qui jaillissait, claire, vive, du corps. Un penchant quasi sensuel à l'analyse.

Qu'imaginais-tu? Poursuivre le jeu qu'à peine vous aviez eu le temps d'engager.

Emportant avec toi la bouteille de cognac, retraverser les jardins, gravir l'escalier menant jusqu'à la vertigineuse passerelle accrochée au-dessus du vide et qui dessert les chambres 16 à 24. Frapper à la porte de la chambre de B*, t'annoncer, exhiber la divine bouteille et proposer un verre pour la nuit. Craignais-tu qu'elle te le refuse? Tu n'en faisais pas un point d'honneur. La difficulté de ton imagination était autre. Car si l'on agréait ton offre, qu'en devais-tu déduire? Et comment, de là, procéder? Tu conjecturais la disposition des meubles dans la pièce, tu inventais les gestes et les signes par lesquels B* te convierait ou ne te convierait pas, à demeu­rer, à parler, à t'en aller, à gravir la diagonale des marches qui mènent à la mezzanine. Tous les signes paraissent en imagination d'une ter­rassante ambiguïté, quand bien même tu sais qu'en réalité si rarement ils le sont, et que le sens que l'on partage est d'une évidence qui parfois foudroie. Mais si la tentation n'est point partagée, alors, la menace de voir se dis­soudre le charme de cette complicité, de cette harmonique du sens qui t'aura fait la désirer d'abord... L'attraction que tu avais ressentie à son endroit était-elle réciproque? Sans doute le charme avait-il été réciproque. Mais ce charme précis avait-il pour elle les mêmes conséquences qu'il entraînait dans ta consti­tution? C'était sans doute aucun une femme qui aimait séduire, qui avait des amants, que l'on ne pouvait aucunement imaginer prude, non plus qu'intolérante de la variété des désirs. Mais en aurait-elle seulement le goût? Et si, par usage ou par exception, elle devait l'avoir, dans quoi t'engageais-tu? Ta vie n'était-elle pas assez compliquée déjà? Jus­qu'où croyais-tu souhaitable de pousser la polygamie? Ton amante à N.Y., tu avais une maîtresse à Paris, une autre en ce palais. Et leurs soupçons et leur jalousie te rompaient la tête et te plombaient la conscience... T'en fallait-il une quatrième? Bah, ce pourrait n'être qu'une aventure délicieuse et parfaite­ment brève. Une nuit, simple et sans compli­cation. Tu y revenais, tu l'esquissais, cette nuit virtuelle avec B*, et il te semblait que tu aurais à son corps le même délice qu'à sa parole, qu'elle aurait au jeu de l'amour la même souplesse et fermeté qu'au jeu du lan­gage et de la pensée, que le corps à corps aurait même vigueur sensuelle, même inven­tive vitalité. Il te venait un vertige à l'imagi­ner et tu épuisais le temps à conjurer ce ver­tige. Il te vint ensuite à l'esprit que tu n'ima­ginais, ne te laissais aller à tant d'imagination que pour différer si longtemps le moment que cette différance laisserait enfin la victoire à tes scrupules ou à tes incertitudes, sans que tu y aies clairement accédé ou tenté seulement de leur livrer bataille. Croyant décider, tu te levas de ton fauteuil et marchas, la bouteille de cognac à la main, de long en large, d'un mur à l'autre, de l'horizon de livres à la dia­gonale de l'escalier, et retour. Tu imaginais trop. Bientôt, à force d'imagination et de méditation, l'heure serait passée d'agir et de tenter.

Mais voulais-tu tenter?

Tu sortis dans le jardin, évitant l'allée centrale, prenant les chemins de terre, les chemins les plus obscurs, les plus étouffés de silence et d'ombre épaisse. Quand on y marche la nuit, on sent sur son visage une sorte de voile impalpable parfois venir se déposer: toiles que tissent d'une haie de buis à l'autre les araignées durant la nuit, et qu'on emporte en passant, et qui collent à la peau et dont on ne sait se défaire car si ténues, imperceptibles. Obstacles invisibles, démo­niaquement audacieux de force, d'art et de patience, si fragiles cependant contre la gros­sièreté d'un corps qui passe, en proie au désir, ou qui erre, en proie à l'incertitude.
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