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Hyperville 139 Les nouvelles technologies apportent leur lot de progrès technique. Elles modifient si profondément certains aspects de notre environnent et en remettent d’autres en question. PAGES 373 à 376 [PLAGIÉ, ????. (r)évolution numérique] http://membres.multimania.fr/migi/Rea/Memplom/revol.html#Anchor-23449 Les nouvelles technologies dématérialisent de plus en plus d’activités humaines Elles effectuent peut à peu une réelle déterritorialisation des fonctions de l’environnement. Actuellement, l’évolution des comportements va vers une demande de toujours plus de facilité, de rapidité dans tous les domaines. L’interconnexion des réseaux ouvre la voie à d’autres services qui nécessitaient jusque-là un déplacement de l’usager. L’effet délocalisant des nouvelles technologies, intelligemment mises en ouvre, peut contribuer à amorcer un rééquilibrage du territoire. Il est possible de favoriser une implantation différente d’activités tertiaires ou de services, qui, avec la progression des réseaux, peuvent désormais avoir lieu n’importe où. Les contacts nécessaires à toute activité sont loin de se limiter à des simples échanger numériques. Les réseaux de télécommunications ne se substitueront pas aux infrastructures existantes, mais chacun d’eux a ouvert des possibilités d’implantations nouvelles. Les nouvelles technologies participent ainsi à la tendance de rapprochement de points distants, de la même manière que les avions ou les trains rapprochent les grandes villes entres elles. La différence se trouve simplement dans le rapprochement de tous les points du réseau au lieu de celui des seuls centres. Pour bien comprendre tous les espoirs d’égalité et d’équilibrage du territoire dus aux nouvelles technologies, il est nécessaire de remonter au siècle … _________________________________ 139 Jean-Philippe Poirée Ville, Architecture intérieure Cree 319 Avril – Mai 2005 p 54PAGE 374-375 dernier : « C’est vers 1869 que la communication devint agent de civilisation. Son universalité était celle de l’empire victorien en Grande-Bretagne. A partir des réseaux de chemin de fer, du télégraphe électrique et du câble sous-marin, ainsi que de la nouvelle voie interocéanique de Suez et de la navigation à vapeur, se tissait une représentation du monde vu comme un vaste organisme dont toutes les parties seraient solidaires. Les réseaux deviennent le symbole d’un monde interdépendant ou les économies nationales ont cédé la place à une nouvelle division internationale du travail. (….) postes et télégraphes deviennent le support des discours sur la vertu d’universalisation pacifique des techniques de communication, comme il en était , dès 1839, des réseaux de chemins de fer. C’est donc dès le dix-neuvième siècle que s’établit le règne de l’idéologie rédemptrice de la communication ».140 [PLAGIÉ, ????. (r)évolution numérique] http://membres.multimania.fr/migi/Rea/Memplom/revol.html#Anchor-23449] Il est donc nécessaire de dépassionner les discours sur les nouvelles technologies en les remplaçant à leur juste place parmi les potentialités d’évolution de la société. Sur l’aménagement du territoire, les nouvelles technologies portent en elles des potentialités encore une fois ambivalentes qui doivent être canalisées. La déterritorialisation progressive de pans entiers de la société doit être considérée comme une chance d’harmonisation et d’équilibrage du territoire. Repenser la ville en réintégrant les activités dans des ensembles de logements, organier chaque quartier comme un « mini-centre » riche d’événement, réinsuffler de la vie dans les champagnes, sont autant de pistes ou les nouvelles technologies peuvent avoir un rôle positif et déterminant. Au niveau architectural, il est également nécessaire de prendre en compte la dématérialisation progressive des fonctions. L’affirmation de l’architecture … ____________________________ 140 Armand Mattelart, les enjeux de la globalisation des réseaux in Internet, l’extase et l’effroi. P10-14. Manière de voir n°32. Paris, le monde diplomatique, 1996. 114p. [FIGURE] PAGE 376-377-378-379-380-381-382-383-384-385 contemporaine face à l’architecture virtuelle naissante, passe par la valorisation de ses aspects sensuels et de la rencontre physique. L’architecture devient le symbole de la réunion physique : celle des hommes sous un même toit, du passé et de l’avenir, du local et du global. Dépliment de l’hypercube [FIGURE] PAGE 386 « Dans un espace rien n’est vide, rien n’est plein, tout se traverse » Conclusion Transcubique Nous avons traversé ces niveaux dispersés dans les cultures du passé et qui n’ont pas déserté le vingtième siècle. Pour certain (e)s, c’est le moment d’une perception nouvelle, gratifiant celle ou celui qui a eu la patience de suivre le parcours des prédécesseurs, et d’ouvrir sa propre voie, quelques jalons plus loin… Cette actualisation des savoirs et des savoir-faire est aussi le moment émouvant d’une « mise en présence » : elle concerne ceux qui sont re-évoqués dans la soutenance, moment de souvenance. Un des chercheurs qui a le plus œuvré au cheminement vers les usages de l’hypercube fut Marcel Dumont 141, mathématicien voué à cette pédagogie. Ecoutons-le à nouveau : « Comme tous les concepts mathématiques, les hypercubes font partie de systèmes de langages ou théories, plus ou moins dépendants les uns des autres et adaptées à :
Nous espérons que cette thèse contribuera à faire émerger de nouvelles problématiques, débordant le champ de l’architecture et de l’urbanisme où nous avons particulièrement vocation de nous situer. _______________________________________________ 141 (Dumont 94) A propos de l’Hypercube, Marcel Dumont, E(X/S) 0 ; 1994 PAGE 387 Après le temps des analyses vient celui de la synthèse où les mots ne sont plus nécessairement opérants. Marcel Dumont avait une opinion à ce propos « Toutes choses qu’une langue naturelle ne permettrait pas, sinon très difficilement, mais dés que, par le biais de diverses représentations, modulations, concrétisations, diffusions, utilisations, etc.. Ces concepts prennent leur indépendance, alors la langue naturelle les récupère, dans son souci d’universalité. Pour l’être humain, l’environnement est un miroir qui lui permet de s’identifier et de communiquer avec les autres. Le »je » engendre le « tue » : La perception de soi s’exprime à travers la prise en compte de l’autre, l’éthique. La construction de la réalité prend sa forme à partir des traditions, des outils et des manières de penser la culture. C’est l’ensemble de ce processus, que le constructivisme appelle la connaissance. Avec l’expansion des T.I.C l’environnement artificiel collabore à cette découverte des uns par les autres. Le paradigme numérique lance un défi puissant à notre environnement réel, parce qu’il redéfinit la réalité en y incluant sa médiatisation, associée à une notion élargie de la simulation. Mac Luhan 142 insiste sur le conditionnement perceptif qui en découle. Ainsi l’actualisation est une figuration ou une transfiguration du virtuel, relative à l’environnement de la conscience commune. L’actualisation du virtuel est une transformation du virtuel même. Comme « Alice au pays des merveilles », les héros modernes se retrouvent souvent face à des mondes parallèles séparés par une interface, solde en apparence, mais que l’on peut traverser sans résistance. Ce type d’image (possiblement hyperréalistes) implique une nouvelle interprétation de l’objet, de sa matière et de sa signification avec des statuts aussi divers que la prothèse, le leurre, le simulacre (…) A travers cette fusion, on transcende de l’interface, on cesse d’être à l’extérieur pour entrer dans la matière même de l’information. Ce rapport à la matière … _____________________________ 142 (Mac Luhan 72) Pour Comprendre les Médias, Marshall Mac Luhan, Seuil, 1972 PAGE 388 est important à plusieurs niveaux. Il marque d’abord une transformation fondamentale par rapport à la logique moderne selon laquelle la matière est réduite à sa fonction au profit de sa structure. Ce que l’on appelle virtuel revient à doter d’une densité, d’une matière, ce qui n’en a pas à l’origine, tel un modèle mathématique, abstrait. En ce qui concerne le problème de l’Objet, il existe une transformation essentielle par rapport à la « modernité »143. L’objet a été considéré jusqu’ici comme une structure signifiante, et la surface des objets comme un élément perturbateur. Mais aujourd’hui les matériaux numériques n’ayant plus de structures complexes, il n’y a plus grand-chose à voir, et on fabrique des fausses surfaces. On entre ainsi dans une phase de fusion plutôt que d’analyse objective. Le sens n’a plus la même valeur puisqu’il n’évolue plus dans le même type d’espace mental. La nécessaire réintégration de l’expérience du virtuel dans l’espace hybride matérialisé, est, selon moi, ce qui constitue »le retour au réel ». Comment procéder, cependant, On constate des conflits de plus en plus difficiles à arbitrer entre les divers niveaux de réalités et de virtualités superposées. Les réalités artificielles ne sont manifestement pas vouées à rester des illusions, à privilégier des fantasmes inopérants, mais peuvent nous préparer à mieux saisir le réel. ___________________________________________________ 143 « Modernité » au sens précis et historique que lui donnent les architectes Philipe Madec « Urbanité et générosité » Plagiat : Philippe Madec "Du temps de celui qui parle..." A propos de la tradition et de la modernite [PLAGIÉ, Philippe MADEC ???] À VÉRIFIER Pour la définition de la modernité et du Modernisme, Tous deux proviennent de l’adjectif moderne, mais leurs sens divergent fondamentalement. Le modernisme est une période de l’histoire au même titre que la période classique, celle renaissance ou celle médiévale, son nom n’apparaît que vers 1900 alors que le début de son développement effectif est au passage entre le XVII° et le XVIII° siècle. L’adjectif « moderne », lui, se forme au Moyen-Âge pour signifier ce qui est du temps de celui qui parle. Très vite on l’emploie pour signifier ce qui appartient à une époque postérieure à l’Antiquité (…) On n’est plus moderne par rapport à l’ancien, on est moderne en soi quand on est sur la crête du présent. Cet état d’être moderne en soi et non pas relativement à l’ancien est la modernité. L’adjectif « moderne », lui, se forme au Moyen-Âge pour signifier ce qui est du temps de celui qui parle. Très vite on l’emploie pour signifier ce qui appartient à une époque postérieure à l’Antiquité (…) On n’est plus moderne par rapport à l’ancien, on est moderne en soi quand on est sur la crête du présent. Cet état d’être moderne en soi et non pas relativement à l’ancien est la modernité. PAGE 389 Le terme informatique de « réalité augmentée » sous-entend cette relation. Cette globalité de moyens change rapidement et se complexifie, dans un processus conjoint d’évolution matérielle et logicielle. Grâce à ce dynamisme, les TIC peuvent apparaître comme une sorte de procédure de construction de notre environnement, qui relie deux mondes différents à l’origine, mais que la modélisation et les algorithmes peuvent relier sans rupture discernable. Après avoir, dans les années 80, amorcé avec le multimédia et les Dataland leur « sommation » (maintien de l’identité des composantes), cette globalité de moyens réalise progressivement, dix ans plus tard, avec les hypermédias et les Métaphore Rooms, leur « mixage » (fusion ou hybridation des composantes). La technologie n’est plus considérée comme un objet étranger à nous même, mais comme une extension faisant intégralement partie de notre appareil sensoriel, et déterminant non seulement la manière de véhiculer l’information, mais également la manière de percevoir et de comprendre notre environnement, enfin de le communiquer, entre art et science. Ne se matérialisant à la limite qu’à travers le stéréo lithographies, les « Architectones » de Nicolas Reeves 144, font ainsi partie d’un processus de corrélation entre les formes plastiques, la musique et un certain nombre de paramètres physiques, qui activent des « aotomates cellulaires ». La relation au monde y devient « indirecte » et s’établit à partir de points de vue très différents La manipulation des tores, cross-cap, rubans de mobius, bouteilles de Klein, mandalas (hypercubes 4d) , et autres singularités géométriques ou topologiques, était jusqu’à présent réservée aux scientifiques et aux philosophe. La difficulté était de les représenter par les méthodes … _________________________________________________________ 144 Des œuvres 3D et tridimensionnelles (autostérépremioef) de ce plasticien furent présentées à la Citée des Sciences (ASTI) par Patrick Curran en 2001. PAGE 390 traditionnelles. Seuls des mathématiciens dans la mouvance de Lacan 145, quelques artistes comme Escher Flocon ou Dali (….) s’y aventuraient vraiment grâce à leur virtuosité conceptuelle ou graphique. [FIGURE] La sphère, forme parfaite, mais également forme élémentaire entre toutes, où la loi d’économie trouve une de ses expressions les plus radicales, puisque la symétrie, possibilité de se répéter sans invention nouvelle, rencontre ici son épanouissement total : la forme de la sphère ne reste-t-elle pas identique et superposable dans toutes les positions, en nombre infini, qu’on peut lui donner par, rotation autour de son centre ? Le tourbillon, avec dispositif spiralé dans le plan, hélicoïdal dans la profondeur, atteste ce retournement. il gaspille l’espace puisque, pour une surface donnée : Un cercle où elle s’inscrirait, la spirale, à l’inverse de la circonférence, et en usant, elle aussi, de la courbe, tendrait à tracer la ligne la plus longue possible : elle n’a pas de raison de s’arrêter, elle est théoriquement infinie. Commenous l’avons vu, ces pratiques se sont aujourd’hui étendues ; Ainsi, tout en respectant l’essence du « Mandala », qui est « de faire lien », des projets comme le « Continuum Culturel » s’efforcent (HUYHES 69) Formes et Forces, Reéné Huyghes, Gallimard 1969. (MOEBIUS 79) F.Mobius ( la première bande), préface de Jacques-Alain Miller, Ornicar, N° 17/18 391 l’excercice, pour l'ouvrir aux dimensions du continent humain146. Le Mandala pourrait se présenter comme une scénarisation hollistique: le cosmos, le corps, la conscience, permettant au méditant d'entrer dans cet univers en percevant sa nature réelle : l'absence d'existence propre, l'abolition du temps et du lieu. Epanouie surtout en Orient, cette démarche rejoint la pratique occidentale des labyrinthesl4'. Un des meilleurs amis de Marcel Dumont, Marcel Maarek 148 , ancien Directeur du Département Mathématique de Paris 8 notait : Il y a bien un lieu d'où le labyrinthe peut être vu en entier, mais ce lieu n'est pas directement inscrit dans la configuration, mais dans un "texte " extérieur qu'il faut construire. C'est selon ce schéma qu'on peut comprendre le désordre qu'on est obligé d'introduire pour remettre de l'ordre. Ce deuxième discours, souvent très abstrait, servira de grille de lecture pour le Ier (le Cube lui-même). Une des solutions possibles est d'utiliser la théorie mathématique des groupes sur les déplacements (et non sur les configurations). La nécessité d'un "double discours" n'est pas exceptionnelle. On peut en donner d'autres exemples. C'est peut être cette exigence qui fait du cube hongrois (le Rübiks'Cube) une métaphore sur laquelle il est intéressant de s'arrêter. » Jusqu'au début du vingtième siècle, l'éther qui a été nommé « cinquième élément » par Aristote, était considéré comme la matière de l'espace. Mais après la théorie de la relativité, la matière de l'espace ne peut plus être considérée comme une « chose » solide. Elle apparaît comme en-dehors du temps et de l'espace, bien que corrélée à l'un et à l'autre, au « continuum» espace-temps. Les réseaux virtuels deviennent l'environnement actuel même. Cet environnement gère des réseaux ouverts, lesquels s'ouvrent sur d'autres réseaux, et transforment profondément l'ensemble de la topologie. 146 [CURRAN 99] Des Interfaces pour le continent Humain, Patrick Curran, Colloque international 147 ATTALI 96] Les Chemins de Sagesse, Jacques Attali, Fayard, 1996 148 [MAAREK 95] Le Rubik's Cube est un labyrinthe, Marcel Maarek, E(X/S)O, 1995. PAGE 392 Le processus de l’hypercube est une sorte de réorganisation des configurations spatiales, qui englobe l’environnement des réseaux et l’environnement architectural, jusqu’à son échelle urbanistique. L’environnement est la version décomposée et recomposée de la nature. La ville ne se reproduit pas dans la continuité, mais dans l’actualisation d’une multi dimension, que constitue l’hyper environnement. Le processus de l’hypercube est considéré comme le moteur de cette actualisation qui réalise l’extension de parcours et la juxtaposition des dimensions. Les systèmes d’interdépendance traitent les collectivités urbaines comme des processus hyper cubes fonctionnels. Et les configurations spatiales des canaux de communication et de transport, des bâtiments et des activités, traitent leurs corrélats processuels comme des phénomènes de forme structurelle hypercubique. L’hypercube comme l’hyper sphère simulés et expérimentés dans leurs transformations sont capables d’engendrer, à la longue, des représentations d’un type nouveau. Nous manquons de recul pour évaluer leur rémanence et leur évolutivité, mais des explorateurs attestent que la science a conquis, en la matière n, certains des privilèges de la mystique et de l’art. Des pionniers nous ont indiqué la voie indirecte de ces apprentissages : ainsi la corrélation multimodale est capable, comme nous l’avons indiqué, d’ouvrir la porte du multidimensionnel. Il s’agit d’une très ancienne intuition que les hypermédias , aujourd’hui, expérimentent. Ce que Erno Rubik, Hinton, Escher (…) ont tenté avant l’ère des simulations informatiques, est attesté aujourd’hui par des explorateurs scientifiques de la quatrième dimension. Davis et Hersch, les auteurs de The Mathematical Expérience 149 , rapportent leur émerveillement devant l’impression de la familiarité qui envahit peu à peu l’utilisateur d’un ordinateur programmé pour faire tourner en perspective des coupes d’objet 4-D sur l’écran. Il s’agit bien de corréler des expériences kinesthésiques inédites pour franchir, à l’aide de notre corps, un seuil autrement invisible, autant qu’inaudible…. ___________________________ [RUCKER 84] La Quatrième Dimension, Rudy Rucker, Seuil ; 1984 PAGE 393 Notre conclusion coïncidera presque avec une action, cette modélisation de l’hypercube étant, dans un premier temps, au service de la « dynamique des groupes », du travail collaboratif. Cette composante centrale, anthropomorphe du Synergiciel, sera présente pour la première fois au Salon Mondial de la Simulation, en juillet 2006.Interface entre le monde réalisées au sein du groupe @ Prospective, dont le logo (12) comporte une arrowbase modifiée, équilibrant significativement sa spirale d’une contrespirale. Laissons à ce « grapho-langage » le dernier mot. Résumé de la Thèse Depuis la fin du vingtième siècle, les progrès spectaculaires des Technologies de l’information et de la Communication (T.I.C.) créent une différence notoire entre la vie quotidienne des acteurs de la société actuelle et celle de leurs prédécesseurs nés cinquante ans auparavant. Facilitant la vie physique, concevant l’existence comme un organisme dynamique, les TIC ouvrent de Nouvelles perspectives à la perception Aujourd’hui notre environnement est construit selon des réseaux de perceptions qui sont dans une relation d’interdépendance avec les TIC. Celles-ci ne sont considérées comme un objet étranger à nous même, mais comme une extension de notre appareil sensoriel, déterminant non seulement la manière de véhiculer l’information, mais également la manière de percevoir et de comprendre notre environnement. En ce qui concerne la vision, la perspective se situe au niveau de la science, de la culture humaniste et de la pratique artistique, échappant ainsi à un traitement conceptuel univoque. Dans son acceptation technique, le terme moderne de perspective désigne un système particulier de projection, sur un plan bidimensionnel, des objets à trois dimensions et de leurs diverses rapports spatiaux, de telle sorte que la vision de l’image représentée correspondre à la vision des objets dans l’espace, ce qui en privilégie l’aspect géométrique et mathématique. Il s’agit aujourd’hui de concevoir d’une autre manière la perspective de ‘l’environnement. La perspective ne revient plus, en effet, à représenter l’espace à trois dimensions, c’est-à-dire les objets, l’espace ou l’environnement. Il s’agit de représenter un collectif communicant de manière horizontale par la juxtaposition de surfaces en mouvement temporel. Dans la vie actuelle, nous savons que nous habitons à la fois le monde actuel et le monde virtuel. Comme le dit Toyo Ito, « Nous, les hommes contemporains sommes dotés de deux types de corps, le corps réel, relié au monde réel au moyen de fluides circulant en son sein, et le corps virtuel, relié au monde par le biais d’un flux d’électrons»150 En réalité, ces deux corps ne sont pas séparés .ils sont plutôt à la base de ce qui constitue aujourd’hui le type de présence propre à l’être humain. En ce qui concerne les deux états différents, l’actuel et le virtuel, beaucoup d’architectes, quand ils proposent leur travaux- surtout lorsqu’il s’agit de projets prospectifs- les interprètent selon la définition de Gilles DELEUZE. [Plagiat : Philippe QUÉAU. Le virtuel, vertus et vertiges] http://queau.eu/?cat=17 On touche là au paradoxe des mondes virtuels, à leur caractère essentiellement hybrides : ils sont, à la fois, concrètement fondés sur le modèle des espaces réels, mais également structurés selon la nature abstraite des contenus informatiques : ce qui explique la parution de conflits de plus en plus difficiles à réduire entre divers niveaux de réalité et de virtualité superposées. Les réalités artificielles ne sont cependant pas condamnées à demeurer des illusions, des fantasmes inopérants, car elles peuvent, tout au contraire, nous préparer à mieux saisir le réel. Et cette réalité potentielle du virtuelle peut aussi, en retour, nous amener à réfléchir sur l’essence de la réalité tangible. Les TIC constituent sans doute une extension de l’esprit, mais elles transforment également notre perception des objets, en étendant le monde des sensations. Nos schèmes moteurs vont se trouver affectés, à leur tour, par les nouvelles interfaces que l’on développe aujourd’hui. L’espace architectural est l’actuel invisible, et l’architecture est construite grâce à l’organisation de l’information. L’espace instrumental se trouve suspendu entre le silence et le virtuel. Une dématérialisation électronique de nos corps étendus et flous, est inscrite sur l’horizon de l’événement. Le processus de l’hypercube correspond, tout d’abord, à une multiplicité de juxtapositions, en une sorte de connexion parallèle avec une machine et entre machines. L’extension d’un hypercube est un processus auto- semblable, qui présente essentiellement la même structure à toutes les échelles, propriétés qui lui permet de mesurer l’irrégularité d’un ensemble. L’environnement est une version décomposée et recomposée de la nature. La ville ne se reproduit pas dans la continuité, mais dans l’actualisation d’un multi dimension, que constitue l’hyper environnement. Le processus de l’hypercube est considéré comme le ___________________________________________ 150 Toyo-Ito, Tarzans in the Media Forest, in 2G, N°2, 1997, pp.121-144,p.132 in particular. P. 408 Moteur de l’actualisation, qui réalise l’extension du parcours et la juxtaposition des dimensions. Les systèmes d’interdépendance traitent les collectivités urbaines comme des processus d’hypercubes fonctionnels, et ls configurations spatiales des canaux de communication et de transport, des bâtiments et des activités, traitent leurs corrélats processuels comme des phénomènes de forme structurelle hypercubique. La ville actuelle ne se construit plus dans la continuité , mais dans une conception utopique qui se réalise plus particulièrement au sein des réseaux de »virtualité incarnée » (Centre Xerox), qui constitue la forme probablement la plus évoluée de l’hypermédialisation. L’omniprésence des T.I.C se fait particulièrement discrète dans l’ « espace servi », l’ « espace servant », est dissimulé ou plutôt camouflé dans l’environnement matériel familier, sa puissance ne s’affiche plus ! A ce stade donc, les réseaux virtuels deviennent l’environnement actuel, qui gère des réseaux ouverts, lesquels, s’ouvrent sur d’autres réseaux en interpépendance. L’environnement nouveau- intégrant l’architecture et l’urbanisme- ne fait plus q’un avec ces réseaux, où bilocation et ubiquité, téléprésence, tiennent de la sophistication audio-visuo-kinesthésique, parfaitement simulée. PAGE 394 Bibliographie Codes couleurs Ouvrage, sources des plagiats : xxxxxxxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxx xxxxx xxxx xxxxxxxxx xxxxxxxxx xxxxxxxxxxx xxx xxxxxxxxx xxxx Ouvrages référencés à l’intérieur des textes plagiés : xxxxxxxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxx xxxxx xxxx xxxxxxxxx xxxxxxxxx xxxxxxxxxxx xxx xxxxxxxxx xxx ABBOTT. Edwin A., Flatland, éditions Denoël, Paris, 1968, 1984 Ardalan. Nader and Bakhtiar. 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