Petits ponts de la physique vers la chimie et la mécanique a)Modèle mathématique électrique choisi Le modèle élémentaire choisi pour les atomes est celui de la force électrique qui est par mesure environ 100000 fois plus grand que la résistance mécanique par son coefficient σ. On a : F = k Q Q’ = c2 avec le coefficient de Francis c = √k (+/- Q)
R2 R
b) Application aux molécules et agrégats cristallins Les molécules et agrégats cristallins forment, en fait, de la nanotechnologie :
on remarque alors l’ordre de grandeur du coefficient de Francis qui
vaut environ |c| = √(9 109 )1.6 10-19 ~= 10-5
10-9
Etant donné l’électro neutralité vu de l’extérieur, on remarque que la force appliquée par ces nuages d’électrons et de noyaux est 0 = F = ‹ c2 ›
Vu de l’intérieur, il y a mouvement des électrons et vibrations mutuelles des noyaux ce qui donne de la cohésion interne aux molécules et agrégats cristallins. On a alors F = ‹ c2 › avec c = 10-5. Par observation, on remarque que ce coefficient peut être corrélé avec le rapport Force électrique de cohésion principale covalence des électrons et la force constante qui ne travaille pas de résistance mécanique. On trouve ainsi résistance mécanique σ est égal à 10-5 fois la force électrique de cohésion ionique.
En allant plus loin, on peut voir que ce coefficient est également corrélé entre la tension maximale d’un atome par sa couche électronique externe (10 V maxi). 10-5 fois cette tension donne un brouillard de tension électrique et électronique. On remarque alors que par mesure de précision de laboratoire, on n’arrive pas à avoir une masse électrique (métal) à plus de un dix millièmes de volts.
Une explication coercitive du passé et du futur de notre univers
Le temps est né en même temps que la force de l’électricité élémentaire et a suivi directement la force universelle de Newton. Il n’existait et n’existera que 3 sortes de particules élémentaires principales : les protons, les neutrons et les électrons. L’univers est alors arrivé actuellement à un état mûr qui subsistera indéfiniment. Pour participer à son évolution, les particules se chauffent par chocs infiniment petits et par absorption de photons qui ne sont que des ondes lumineuses. Le refroidissement s’effectue par chocs infiniment petits et émission de photons de lumière ou d’infrarouge. Dans la très haute atmosphère de planètes (et étoiles temporairement) en rotation, des vitesses très importantes sont constatées (localement ϱ v 2 /2 ~ constante) qui amène des électrons-volt pour associer des protons entre eux (avec les neutrons) et créer les atomes massifs du tableau de Mendeleïev. Il y avait donc un gros nuage de particules chargées qui effectuait des décharges de potentiels et créait les atomes plus lourds. Les planètes étaient créées par refroidissement de masse d’un gros nuage de particule où l’atmosphère s’écroulait sur elle-même par son propre poids d’Archimède. Les étoiles et le soleil, seraient constituées et consisteraient en un centre de réémission des photons qui perdus dans l’immensité seraient régénérés par ces astres sans fin. Comme le prévoit la première loi d’Oparine vérifiée par Miller, les premières créations d’acides aminés et de composants chimiques se sont effectuées à partir de l’eau et de quelques gaz élémentaires par un chauffage, une électrification qui a été interne et un refroidissement comme l’on voit dans les planètes. La seconde loi d’Oparine consiste quant à elle à la création de la vie biologique proprement dites. Selon des utopistes comme je suis, la biologie ayant vaincu toute l’absence de connaissance, certains êtres humains pourraient avoir une vie dite illimitée dans 1.5 millions d’années. A ce titre , il me semble, comme petit scientifique, que le plus beau prix Nobel futur sera attribué en coïncidence avec la chimie et la médecine, pour la connaissance générale simple du fonctionnement commun sans aucun défaut actuel et futur du cervelet humain et/ou animal pour sa fonction principale de régulateur cardiaque et secondaire de régulation de la digestion, de la respiration, de la filtration sanguine et de la défécation.
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