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Montaillou » d’Emmanuel Le Roy Ladurie, des dizaines de milliers de travaux sérieux passés inaperçus de ce qu’on appelle le grand public. Encore une fois, il ne faut pas le déplorer, c’est normal… Que les passionnés puissent trouver ces ouvrages en librairie ou les acheter sur le net, qu’on les trouve dans les bibliothèques universitaires et municipales, voilà ce qui nous importe… Evidemment, en présentant les choses ainsi, je sais bien que je me condamne à changer prochainement d’éditeur… - Vous défendez donc l’idée d’une rareté assumée de la production scientifique ? - Il faut être réaliste, Jean-Marc… Vous êtes historien de formation. Arrivez-vous à lire ne serait-ce que le quart des ouvrages écrits par des universitaires ? Que changerait pour vous une plus grande quantité de livres imprimés ?… Vous n’en achéteriez pas davantage… Vous êtes professeur. De combien de temps disposez-vous une fois vos cours préparés et vos copies corrigées pour lire de tels ouvrages ?… - Pas assez, je le reconnais volontiers. - Ce qu’il nous manque, ce sont de vrais ouvrages de vulgarisation qui soient à la fois sérieux dans la forme et le fond. Pas de « pour les nuls » mais pas non plus de manuels universitaires austères. De quoi attiser la curiosité tout en stimulant la réflexion… On aurait bien besoin aussi d’en finir avec un certain nombrilisme franco-français. Nous n’avons pas le monopole de l’Histoire et notre Histoire n’est pas la seule qui compte… Pouvez-vous me citer rapidement un ouvrage en français qui me permettrait d’étudier l’histoire de la Suède au XVIIème siècle ? - Je ne méconnais pas les faits que vous évoquez, mademoiselle Toussaint, intervient Maximilien Lagault, mais permettez-moi de vous dire que vous êtes là dans un nombrilisme d’universitaire. - Après ma cuisse, voilà que notre gloire littéraire se passionne pour mon nombril ! - Qu’importe aux Français l’histoire des Suédois au XVIIème siècle !… En revanche, il serait bon qu’ils connussent l’existence de ce chef d’œuvre de Voltaire qu’est l’Histoire de Charles XII… - Lequel ne fut un souverain du XVIIème siècle que pour quatre années seulement, fais-je observer par un pur réflexe d’enseignante habituée à corriger les erreurs de ses étudiants. - Vous voyez !… Maximilien Lagault change brusquement de ton, se dresse face à l’assistance en victime outragée. - Vous voyez ! Toujours en train de pinailler, de chipoter ! Toujours en train de critiquer ! Jamais en train de positiver !… Voilà pourquoi les masses ne peuvent pas s’intéresser à l’Histoire telle que vous la défendez, mademoiselle !… Où est le souffle de l’épopée ? Où est la grandeur ? Vous préférez toujours l’échec à la réussite, la défaite à la victoire ! - Pavie plutôt que Marignan, histoire de ne pas donner de François Ier cette image fantasmée de roi chevalier que la monarchie a sciemment construite. Oui, cela me paraît plus juste de rappeler les faiblesses du souverain pour qu’on puisse en aimer la grandeur… Quant à Louis XIV, il ne fut pour rien dans la victoire de Rocroi mais pour beaucoup dans les désastres d’Audenarde et de Malplaquet par son obstination à faire la guerre. J’ai pourtant la sensation que vous avez un faible plus pour 1643 que pour 1709… - Que retenez-vous de positif alors dans notre histoire alors ? me demande-t-il avec cet air bonasse qui annonce le prochain jet de venin. - Je ne sais pas… Mais quelque chose me dit que votre production romanesque doit baliser ces phares positifs dans le néant de mon négationnisme national. - Ma production romanesque aura toujours plus de lecteurs que l’ensemble des ouvrages que vous pourriez écrire en trois ou quatre vies… - Je vous l’accorde et je vous en félicite… Mais j’aurais au moins la satisfaction d’avoir tout fait toute seule. - Que voulez-vous dire ?! Que voulez-vous dire ?!… s’emporte notre nouveau « géant des lettres ». Vous prêtez foi à ces ragots infâmes qui affirment que des nègres travaillent pour moi ?… Tous les habitants de mon quartier pourront vous assurer que la lumière de mon bureau brille dès quatre heures du matin et qu’elle ne s’éteint que rarement avant minuit… - J’en conclue deux choses… Que vous devez avoir des ampoules électriques d’une grande résistance et que vous n’avez pas la fibre écologiste sans quoi vous éteindriez la lumière pendant la journée… - Vous êtes une impertinente… - Mais, au moins, je ne suis pas une escroquerie. - Vous êtes… Il s’étouffe sans pouvoir finir sa phrase. Je continue à appuyer mes flèches. - Si vous écoutiez ce qui se dit sur votre compte au lieu de ne percevoir que la petite musique des flatteurs complices, vous sauriez que vous ne pouvez tromper que des personnes qui ne possèdent pas cet esprit critique que le travail historique développe justement. Vous voulez populariser notre Histoire et les professeurs d’Histoire vous exècrent. Vous vous dites romancier et les professeurs de lettres vous vomissent. Quelle belle unanimité contre vous ! - C’est la coalition des incapables et des besogneux. - Ils apprécieront, dis-je en montant de la main l’assistance que je devine en partie composée d’enseignants en activité ou retraités. Effectivement, après les derniers échanges de notre ping-pong verbal qui m’ont vu m’emparer du filet, les gens dans la salle ont commencé à manifester bruyamment. Certains en ma faveur, d’autres – de moins en moins nombreux il me semble - pour soutenir Maximilien Lagault. - Monsieur Néjard, vous comprendrez que dans de telles conditions, je ne peux demeurer partie prenante à ce qui n’est plus un débat mais une agression manifeste. Ce ne sont pas les Rendez-Vous de l’Histoire mais les Traquenards de l’Histoire… N’ayant pas l’inconscience et le sens du martyre d’un duc de Guise, je me retire… Et dépliant à nouveau sa longue carcasse qu’il avait daigné rasseoir, Maximilien Lagault se lève, bouscule sa chaise et remonte le couloir ménagé le long du mur côté cour. Quelques-uns de ses partisans, de ses admirateurs, se lèvent et lui emboitent le pas. Ils sont ainsi une vingtaine à quitter la place. A l’entrée de la salle, la jeune femme qui supervise le bon déroulement de la session tente bien de raisonner Maximilien Lagault. Celui-ci, d’un geste sans équivoque, l’écarte de son chemin et sort tel un tragédien à la fin de sa grande tirade. Un tonnerre d’applaudissements enfle soudain dans la salle. Des cris et des coups de sifflets, pulsés par les lycéens, les accompagnent. La foule n’a décidément pas changé depuis les cirques de Rome. Malheur au vaincu et gloire au vainqueur ! Dans cette joute verbale, je l’ai donc emporté puisque l’autre a vidé la place. Et de cette victoire, je suis la première catastrophée. La poursuite du débat n’a plus qu’un intérêt très relatif. J’interviens presque mécaniquement, reprenant parfois pour enfoncer le clou mes dénonciations d’une certaine forme d’Histoire. Ici, dans ce château de Blois, je trouve un parallèle saisissant entre la situation que nous vivons et l’assassinat du duc de Guise. Henri III aurait dit, selon la rumeur complaisamment colportée au cours des siècles, que le Balafré était « plus grand mort que vivant » ; je trouve que Maximilien Lagault est plus gênant absent que présent. On ne gagne pas de gloire en gagnant par forfait. Pierre Lebrou défend - assez mal d’ailleurs - l’idée que la multiplication des réseaux avec le développement de la radio numérique va permettre d’augmenter le nombre d’émissions consacrées à l’Histoire. Je lui oppose l’exemple de la télévision où l’augmentation du nombre de chaînes n’a pas pour autant permis de dégager des émissions qui puissent réconcilier le grand public et l’université. - Ce n’est pas l’offre qu’il faut accroître… C’est d’adaptation dont notre discipline a besoin si elle veut pénétrer davantage dans les médias. J’ai beau essayer d’arrondir les angles, je me sens comme une donneuse de leçons, comme une madame « Je sais tout et J’ai tout compris ». Je fais ma puante arrogante, j’en ai terriblement conscience. Mais comment faire autrement quand on a des convictions et qu’on veut les défendre ? Et puis, après tout, qu’y puis-je si mes contradicteurs cherchent à renouer avec les recettes des médias des années 50-60 ? Assurément, la télévision de ces années-là avait une certaine classe et une hauteur de vue remarquable… Mais nous sommes en 2009 et plus rien n’est pareil… Il suffit d’écouter la salle. Après seulement une heure de débat - et encore on peut se dire que mon algarade avec Lagault a retardé la chose - les lycéens chuchotent, remuent, dessinent sur leurs blocs. Toute forme de concentration s’échappe au-delà de vingt minutes, c’est un fait qu’on peut regretter mais qui existe. - Et que proposeriez-vous si vous n’étiez pas seulement dans une attitude critique et négative ? questionne Gisèle Moulin des Essarts dont le petit sourire dit assez le malin plaisir qu’elle aurait à me coincer. - J’espérais bien que vous me le demanderiez, madame… Encore une fois, et je ne sais comment le dire pour que vous l’entendiez, je porte un regard extérieur sur toutes ces choses. J’essaye de me mettre à la place des autres, des élèves notamment… ou de ma propre mère que l’Histoire a toujours souverainement embêtée. Je ne parle pas ici en tant qu’universitaire… N’empêche que tu viens encore de faire référence à ton statut… Pfff… Pas simple d’être Don Quichotte et de foncer contre tous les Moulins des Essarts de la Terre ! - Il me semble que le numérique offre des possibilités nouvelles en terme d’interactivité et d’adaptation à l’utilisateur. C’est ce biais qui, si on l’utilise bien, peut apporter quelque chose de neuf et de fédérateur. Le curieux qui ne sait rien et le spécialiste n’auront jamais les mêmes attentes, les mêmes exigences, c’est ainsi et c’est un fait qu’il ne faut pas perdre de vue. Face à un même documentaire, face à une même émission à la radio, face à un même livre, ils n’auront jamais les mêmes réactions. « Trop simple » ou « pas assez abordable », « ça n’en dit pas plus que l’essentiel » ou « bien trop compliqué pour moi ». En proposant des parcours différents sur un même sujet, tout en gardant un même format horaire, on doit pouvoir satisfaire le plus grand nombre… On peut avoir plusieurs niveaux de lecture d’un même événement. Proposons ces différents niveaux et laissons l’utilisateur, le spectateur, choisir celui qui lui convient… Mais surtout… Surtout… Sans jamais tomber dans la facilité qui consiste à revenir sans cesse pour le niveau le plus accessible à des idées toutes faites, à des pseudo-vérités historiques. Bonaparte n’a pas été un génie militaire lors de la bataille de Marengo, il a fait reconstruire le déroulement de l’affrontement a posteriori. Arrêtons donc de présenter cette victoire comme celle d’un stratège qui avait tout prévu ! Concini n’a pas forcément été un aussi mauvais ministre que cela, ce sont ses successeurs qui ont eu tout intérêt à légitimer son assassinat en incriminant sa politique. Cessons de déchirer un peu plus cet Italien qui aurait fort bien pu être un Mazarin une génération plus tôt ! Le premier commandement de l’historien se doit d’être à mes yeux « rien n’est simple ». Cela ne veut pas dire que ce qui n’est pas simple est incompréhensible. Je vote en cet instant un immense merci à Ludmilla dont la petite encyclopédie historique utilise le principe que je viens de décrire : trois niveaux d’étude d’un même objet. J’avale d’une traite le contenu du propre verre en plastique que je triture depuis dix bonnes minutes avant de reprendre. - Si ce que je viens de décrire vous intéresse, madame, je peux vous mettre en relation avec quelqu’un qui a développé un petit produit dans cette logique. Pour le coup, Gisèle ne sait plus trop quoi répondre. Elle pensait que je n’étais que spéculations, raisonnements en haute altitude, idées déconnectées du réel. Que je puisse développer concrètement un projet novateur lui a scotché les lèvres. C’est sur ce silence que Jean-Marc Néjard décide de passer aux questions de la salle. - Je suis désolée, sincèrement désolée. Moi qui peux avoir la langue si bien pendue, je reconnais humblement que comme façon de dire les choses, c’est très minimaliste et cela ne vole pas haut. C’est pourtant tout ce que j’arrive à dire à Jean-Marc Néjard après qu’il ait remercié le public de sa présence et mis fin au débat. - Ne le soyez pas ! me console mon collègue blésois… Je n’avais jamais vu quelqu’un tenir tête ainsi à Maximilien Lagault… et c’est cela qu’il n’a pas apprécié. Il a compris que vous aviez la capacité de le mettre en déroute, il a préféré se replier… Comme pour Bonaparte, il se chargera par la suite de transformer ce repli en victoire, n’en doutez pas. Ce genre de crocodile a la peau dure. - Je pensais que vous alliez le soutenir… - On ne peut pas prendre parti dans ma position … L’année prochaine, il y aura une nouvelle édition, et une autre l’année d’après. On ne peut pas se permettre de vexer les egos de nos grands hommes… Ils se croient si importants, si essentiels à la marche du monde… Maintenant, en privé et entre nous, vous avez bien dit que les profs d’histoire le détestaient… Ne suis-je pas un professeur d’Histoire ? La petite tape sur mon épaule vaut tous les mercis du monde. Jean-Marc Néjard en rajoute cependant un supplémentaire. - Je vais même vous livrer le fond de ma pensée, Fiona. Gérald Mauza doit sûrement se porter comme un charme à l’heure qu’il est. Il est de notoriété publique que lui et Lagault se détestent. Quelque chose me dit que Mauza s’est dégonflé… Lui aussi a eu peur pour son image… Donc un double merci pour vous, Fiona. D’abord pour être venue ici au pied levé, et ensuite pour avoir eu le courage, ou l’inconscience, de tenir le rôle que Mauza a refusé de tenir… On se revoit demain matin ? C’est moi qui viens introduire votre conférence sur le corps du roi mourant. - A demain alors… Et déjà, il s’échappe ! Après avoir salué et remercié les deux autres participants du débat, Jean-Marc Néjard quitte la salle à grands pas. Une grande partie de l’assistance l’a déjà imité. Il reste cependant quelques acharnés qui espèrent qui un autographe, qui un court dialogue pour préciser tel ou tel point, discuter telle ou telle affirmation. Une bonne dizaine d’admirateurs de sa voix d’airain et de son phrasé si particulier entourent Pierre Lebrou. Deux jeunes – mais pas des lycéens ! Ils sont partis avant même le début des questions – s’entretiennent avec Gisèle Moulin des Essarts : des futurs développeurs de projets multimédia peut-être ? Quant à moi, je n’ai réussi en fin de compte qu’à convaincre trois membres de cette assemblée de s’intéresser à moi. C’est peu et cela rend modeste. Je distribue deux autographes avant de me consacrer à la troisième de mes fans qui m’attend assise au premier rang sur une des places réservées… Réservées à qui d’ailleurs ? Elles sont restées vides durant toute la durée du débat ? Cette « fan » a allègrement dépassé les 80 ans, porte des sandalettes grises et ne peut dissimuler, même assise, que son corps s’est ratatiné sous le poids des années. La « mamie » qui était là une heure à l’avance m’attend avec un grand sourire et des yeux qui pétillent de plaisir. - Ma chérie ! Qu’est-ce que tu lui as mis ? - Pardon ?! Je m’attendais à bien des commentaires, éventuellement à des injures, mais sûrement pas à me faire appeler « ma chérie » par une inconnue de cet âge-là. - Excusez-moi, madame ?! Nous nous connaissons ?… - Oh, fait la petite vieille en souriant de toutes ses dents, je comprends que tu ne me reconnaisses pas… Mais, moi, je t’ai bien reconnue dans cette émission à la télé… Enfin, c’est surtout ta maman que j’ai reconnue… Allons, bon ! Je suis tombée sur une folle évadée d’une maison de retraite… Elle va me prendre pour sa petite-fille et me demander des nouvelles de la famille. Elle ne va plus vouloir me lâcher !… Je regarde à droite, à gauche… Qui pourrait bien m’aider ?… Depuis le départ de Jean-Marc Néjard, c’est la fille avec le badge orange autour du cou qui semble faire la loi ici, mais elle est à l’opposé en train d’indiquer par de grands gestes à un groupe de sexagénaires comment se rendre à une autre conférence. - Tu étais si petite encore quand tu étais dans ma classe… - Vous étiez mon institutrice ? Et dire qu’il y en a qui dise que le monde est petit… Pour le coup, je me sens prête à me rallier à cette opinion… à condition que ce ne soit pas une vieille folle qui se prend pour mon ancienne institutrice. - Oui… A l’école maternelle de la rue Auguste Perret… A Montauban… - Mais oui, j’étais bien à cette école maternelle… J’essaye de déchirer les voiles de l’oubli pour remonter dans ce passé qui se dérobe à ma mémoire. Je suis capable de dire ce que faisait précisément Louis XIII en novembre 1630 et je suis au supplice pour me remémorer des faits liés à ma propre existence. J’arrache à ce brouillard informe un nom, je le malaxe deux ou trois secondes entre mes neurones avant de la lâcher un peu au jugé. - Madame Delmas ? - Oh ! Que cela me fait plaisir que tu te souviennes ! s’exclame-t-elle avec une petite larme qui perle au coin de l’œil et un petit battement gracieux des mains. - Vous savez… C’est plutôt vague… Je me souviens de la cour avec ses arbres… Un portail en fer qui me faisait peur quand il grinçait… Et vous, vous étiez si grande… Grande ?… - Que veux-tu ? dit-elle en souriant à nouveau avec une infinie douceur. C’est le temps qui passe, ça… Toi, tu as grandi et moi je me suis desséchée… On s’est croisées. Maintenant c’est toi qui me regarde d’en-haut. - Mais que faites-vous ici ?… Vous êtes bien loin de Montauban. - Quand j’ai pris la retraite, on est venus ici parce que c’était le pays de mon mari. Ce n’est pas le Sud-Ouest question chaleur mais c’est agréable toute l’année. Et puis on avait une maison de famille et ça réglait le problème du loyer… - Et vous êtes passionnée par l’Histoire ?… Ne me dites pas que vous êtes venue juste pour moi… - Mais non, ma petite… Moi j’étais venue pour voir monsieur Maxime Lagault dont je lis tous les livres dès qu’ils arrivent à la bibliothèque municipale… Je ne savais pas que tu serais là… Alors, tu penses bien que quand le monsieur a dit qui tu étais, j’étais vraiment contente… Là quand même, par contre, je ne t’aurais pas reconnue. Tu as changé depuis que tu es passée à la télévision. L’idée de madame Delmas calée devant Channel 27 pour regarder |
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