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Les fils pourront être retirés au huitième jour, en les coupant sous leur nœud après avoir tiré sur l’un des brins : Figure 14: Retrait d’un point de sutures (43) Les injections : (26) Certains médicaments seront utiles sous forme injectable soit parce qu’il n’existe que sous cette forme, soit parce que la prise orale est impossible (vomissements, inconscience). Pour des navigations très éloignées des secours, il semble nécessaire de posséder notamment un antibiotique majeur comme la ceftriaxone (ROCEPHINE®), et éventuellement un anesthésique local comme la lidocaïne (XYLOCAINE®), un antispasmodique comme le phloroglucinol (SPASFON®). L’emploi de tels médicaments et d’une telle technique nécessitera un avis médical et une formation préalable d’où l’intérêt de suivre des stages médicaux adaptés aux plaisanciers. Certains préconisent la pose de perfusion par des personnes sans connaissance médicale ni entrainement ! Ceci parait aberrant ; il est, en effet, extrêmement difficile de piquer une veine sans entrainement dans un bateau agité. Le geste compliqué nécessite un savoir faire long à acquérir et difficile à conserver. Si un individu est en collapsus, la veine étant affaissée, l’abord veineux sera difficile. Le soigneur ne connaissant de plus pas la pression artérielle ; cette technique parait peu raisonnable. Les injections intramusculaires et sous-cutanées sont donc préférables. Cependant elles ne pourront pas répondre à toutes les situations, notamment la déshydratation d’où l’importance de la prévention. Technique : (26, 43) La peau devra être désinfecté afin l’injection puis, après avoir prélevé le contenu de l’ampoule (préalablement réchauffé entre les mains si besoin), il faut d’abord chasser l’air en orientant la seringue vers le haut, la tapotant pour faire remonter les bulles. Il sera nécessaire de posséder la bonne aiguille selon le lieu d’injection : marron pour la voie sous-cutanée et verte pour la voie intramusculaire. Pour les injections sous-cutanées, la peau sera pincée entre le pouce et l’index pour former un pli cutané et l’aiguille sera introduite entièrement. Pour les injections intramusculaires, le plaisancier devra imaginer la fesse en 4 quadrants et piquer perpendiculairement dans le quadrant supérieur externe à 2 ou 3 cm de profondeur. Figure 14: Injection intramusculaire (26) Une aspiration sera tout d’abord nécessaire, afin de vérifier l’absence de reflux de sang puis le produit sera injecté. .Une fois l’aiguille retiré, la zone de piqûre sera ensuite désinfectée et massée doucement. Ce dernier geste évitera la constitution d’un hématome. L’anesthésie locale d’une plaie nécessitera des piqûres répétées, tous les 2 cm, à l’’intérieur de la berge, en évitant également d’aspirer du sang, |
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![]() | ![]() | «avec projection», de cette thèse aux membres du Conseil scientifique et à leurs expliquer pourquoi cette thèse ne devait pas être... | |
![]() | «avec projection», de cette thèse aux membres du Conseil scientifique et à leurs expliquer pourquoi cette thèse ne méritait pas d’être... | ![]() | |
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![]() | ![]() | «L’intégration au sein des lignes de conditionnement, d’un système de sérialisation et d’agrégation des médicaments au profit de... |