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Le Prieuré
Le Prieuré de St Nicolas était situé aux Bordes, en face du cimetière actuel.

Il fut fondé au XIème siècle, par les moines de Marmoutiers, avant la translation du corps de St Nicolas Evêque – en 1087 – de Myre en Lycie à Barie en Italie, et après le droit de nomination à la Cure de Villepreux qu’ils avaient obtenu, en 1030, de l’Evêque de Paris.
Ernaud de la Ferté leur donna, en 1165, des biens considérables ; et plus tard, diverses redevances et droits de dîme. Savoir :

La dîme d’Aulnay à Saint Cloud : vin, avoine et denier

La dîme des 2 moulins, de l’étang de dessus (moulin à papier) et de l’étang de dessous (canal actuel)

Le bois qui est hors la forêt d’Arcis – les hommes francs et quittes de toute coutume (la forêt d’Arcis s’étendait alors jusqu’à la Hébergerie)

Un pressoir dans le château de Villepreux

Dix marchés l’an, et une foire le jour de Saint Michel

Le panage de leurs porcs

La dîme du panage des porcs des autres (panage : droit de mettre les porcs dans les bois, pour les glands)

Une charretée à 2 chevaux de branchages et mort bois, chaque semaine, dans la forêt d’Arcis.
Ernaud et sa femme Albarie leur accordent, en outre, de mettre des nasses et un batelet sur l’étang seigneurial ; ces droits, confirmas en 1178, en présence de Bernard prieur de Marmoutiers et de Roger prieur de Villepreux, sont contestés en 1310 par Jean de Vendôme Seigneur de Villepreux… et reconnus par sa femme en 1318.
En 1202, Guillaume de la Ferté et sa femme, leur font quelques donations à Coignères.

En 1206, Simon de la Hébergerie leur donne 16 setiers de grains

En 1209, Evrard leur accorde 13 arpents et demi de terres à Rennemoulin ; et un peu plus tard P. de Dodorcho leur donnez une portion de dîme sur le même fief

En 1229, Hugues fils de Geoffroy – sans avoir – fait un don au Prieuré

En 1232, Henry de la Ferté et sa femme Alix, réglementent les dîmes.
Au XVIème siècle, Jean de la Ballue reconnaît le droit des Religieux à la « grosse dîme »Le 12 août 1686, décès de François faur de Pilbrac, prieur de Villepreux.

En 1737, Monsieur Bureau était Prieur Commendataire.
Le cimetière du Prieuré, de forme triangulaire, s’étendait en bordure sur la route de Neauphle et en dehors de l’enclos principal d’une contenance de 1 hectare 3 ares environ.

L’ensemble se composait de 2 grands corps de bâtiments ; l’un de 65 mètres de long, et l’autre de 45 mètres environ.

La chapelle (maison Mercier Lacombe) se composait d’un corps de 25 mètres de long sur 10 de large. Il ne ressort debout, à la fin du XVIIIème siècle, que le chœur et le portail gothique dans lequel étaient figurés des moines et des singes. On remarquait encore à l’intérieur la tombe d’un Prieur ou d’un Evêque ; et celle du Sieur de Fontanes orné de toutes pièces, avec écu au bras sur lequel un serpent était figuré.
A cette époque, le Prieuré était déjà converti en ferme : le Sieur Piedsaule en était locataire en 1736. Il passa par achat, l’année suivante, au Roi, qui y établit un desservant avec revenu de 3000 livres.
Le 17 mars 1790, François Pierre Burlot – Prieur Commendataire à Paris – envoie la déclaration des biens meubles et immeubles possédés par le Prieuré, et au mois de janvier suivant, le Sieur Manesse desservant, prête le serment civique.
Le 29 mars 1791, les bâtiments, chapelle, logement du desservant et 136 arpents de terres, et redevances de 1 muid ½ de blé, 1muid ½ d’avoine, 20 sols parisis… sont vendus à Versailles pour la somme de 90.000 francs… à Monsieur Ricbourg, Notaire.

Le 31 août 1791, la cloche pesant 440 livres, est transportée à Versailles.
Le Prieuré appartenait en 1817 à Monsieur Lechasset de Paris – en 1825 à Monsieur Robillard – en 1829 à Monsieur Bertin de Vaux – et enfin en 1845 à Monsieur Biétry qui le réunit à son parc, sauf la partie appartenant à Monsieur Mercier-Lacombe.

La chapelle Saint Jouin
Saint Jouin, abbé d’Hension et Confesseur, est né dans le Poitou à Loudun, ainsi que ses 2 frères - Maxence Evêque de Poitiers et Maxime Evêque de Trêves – d’une famille illustre. Après la mort de ce dernier en 346, St Jouin s’adonna à la vie solitaire. Il appartint au monastère d’Hension, y mourut et y fut inhumé ; Un église lui fut dédiée, sous le nom de St Jouin de Marnes, où io est honoré aujourd’hui comme patron titulaire et protecteur. La fête de St Jouin était célébrée du temps de Clovis et de ses fils, Childebert, Clotaire, Théodoric et Clodomir (extrait des Bollandistes)
L’abbé Leboeuf dit qu’en 1473, l’Evêque de Paris autorisa un Ermite à vivre dans les bois de Valjoyeux, et que ce Religieux est qualifié plus tard du nom de St Ouen, er en 1505 de celui de Rémy.

La chapelle de St Jouin est néanmoins constatée dans le « Pouillé » de 1648, et en 1658 une Confrérie est fondée à ce titre, concurremment avec celles de Ste Julienne et de St Pierre ès liens ; et reconstitué en 1935 par les soins de 23 membres.
Elle est située à 3 kilomètres environ du village, sur le terrain « des 10 toises », et fait partie du Domaine de l’Etat, ainsi que la fontaine aux eaux de laquelle on attribue des propriétés miraculeuses.

Vers 1840, Monsieur et Madame Collas, propriétaires du Val Joyeux, contestèrent à l’Etat la concession de la chapelle et des 10 toises ; mais sans aucun succès.
La chapelle actuelle a été reconstruite en 1845 sur les assises de l’ancienne. Elle était entourée de bouquets de bois et d’un étang, avec avenues d’arbres abattus par Monsieur Collas en 1863. Elle se compose d’une bâtisse à couverture ogivale surbaissée, longue de 10 mètres et large de 6, comprenant l’enceinte proprement dite, et un péristyle couvert de 2m15 de long et 4m80 de large.

A l’intérieur, une statue de la Vierge, une de Saint Jouin ; et un tableau du même saint, donné en 1843 par Bourdier peintre. En face, un autre tableau donné par Madame Gallois.
Pendant la Révolution, le service religieux fut suspendu et la chapelle dépouillée. Zn 1805, on retrouve le buste de St Jouin chez un habitant nommé Baptiste Butel.

La Municipalité autorise, la même année, les Sieurs Michel Goujon et Simon Hervey, à faire des quêtes pour la restauration du monument.

La fête de St Jouin est célébrée, tous les ans, le lundi de la Pentecôte à la chapelle où la messe est dite et la « pain bénit » offert par les membres de la Confrérie. La partie foraine se tenait autrefois près du Domaine de Valjoyeux, en bordure de l’ancien canal ; mais à la suite du procès (relatif au chemin qui mène à la chapelle), soutenu et gagné par la Commune en 1862 contre Monsieur Collas, elle fut transférée sur le terrain actuel mis à la disposition de la Confrérie par l’Administration des forêts.

Des jeux publics, des cafés, des marchands s’y installent ; et les bals font souvent retentir jusqu’à l’aurore les échos – si tristes d’ordinaire – des grands bois voisins.

Le Bureau de Bienfaisance
La création du Bureau de bienfaisance remonte, en principe, à Vincent de Paul qui fonda, en 1618, à Villepreux où il était venu comme précepteur des enfants d’Emmanuel de Gondy, la 2ème Association de Charité du Royaume. Cette Association se composait alors de Dames de charité, qui soignaient les malades à domicile et portaient des secours aux indigents (Madame de Gondy et Mademoiselle Legras en furent les initiatrices).

Plus tard, des Confréries s’érigèrent dans le même but d’assistance et de secours mutuels. Savoir :

La Charité des hommes

La Charité des Morts qui possédait encore à Villepreux en 1736, un arpent ½ de terres ; et qui était administrée alors par Claude Bon prévôt, et Iger lieutenant.

La Charité des femmes, qui possédait à la même époque une maison aux Bordes.

La Charité des Pauvres, ayant pour supérieure Madame Ledoux, et pour trésorière Madame Veuve Lausseur.

Toutes ces Associations se fondirent plus tard en une seule qui prit le titre de « Charité des pauvres », et fut administrée par le Curé, les Marguilliers, les Notables, et quelques Dames.
En 1782, le patrimoine de la Charité des pauvres, était assez considérable. Il se composait de dons et legs faits à plusieurs époques par de généreux bienfaiteurs, dont les noms sont ignorés aujourd’hui. Savoir :

Rente de 42 livres sur la ville de Paris, réduite à 26 livres 7 sols depuis 1722

Rente de 36 livres 4 sols, sur laquelle la Charité des Morts perçoit 8 livres 4 sols (30 juin 1724)

Rente de 53 livres 15 sols (15 février 1689) par Tirmouy à Fontenay

Rente de 30 livres (19 novembre 1753) E. Laborde à St Nom

Rente de 16 livres (27 octobre 1754) L.Foucher, veuve de Thomas de Francini (à charge d’une messe basse tous les 3 mois : la 1ère, 15 avril, jour du décès)

Rente de 9 livres 15 sols (11 janvier 1641) Meunier M. à Villepreux

Rente de 3 livres (3 septembre 1683) Catherine Revet (messe basse le jour de son décès)

Rente de 4 livres 10 sols (6 septembre 1619) Jean Guinard, vigneron à Villepreux)

Rente de 1 livre (22 décembre 1638) Jean Angot

Rente de 4 l livres 10 sols (1642) Pelletier aux Clayes

Rente de 4 livres (12 août 1655) François de Francini

Rente de 15 livres (1722) Buron.

Rente de 6 livres, provenant des terres acquises pour le grand Parc. Rente servie par la Fabrique

Le 1er août 1735, l’Hôpital Général de Paris verse annuellement 100 francs à la Fabrique pour les écoles des pauvres, et 50 francs à la Charité pour lezs bouillons des malades indigents selon l’intention de Monsieur Desaulnait, ancien Curé de Villepreux ; et le 28 septembre 1785, une somme de 3000 francs provenant de la vente du mobilier que Monsieur Desaulnait a légué à la Fabrique et aux pauvres de Villepreux le 14 février 1731.
Rente de 12 livres 10 sols (27 février 1738) Etienne Lyger à Chavenay

Rente de 10 livres (29 mai 1757) Bois d’Arcy

Rente de 80 livres (19 septembre 1765) Jean Richon

Rente de 1 livre 10 sols (29 septembre 1762) Veuve Maurel

Rente de 2 livres (5 février 1765) Lechoix Pierre
Le 29 septembre 1660, délaissement fait par Emmanuel Champflour, tabellion de la Prévôté de Villepreux, exécuteur testamentaire de Gérard Champflour – doyen de Chateaufort e »t Curé de Villepreux – de 20 arpents de terres à Bois d’Arcy et 28 livres de rente (à charge de dire toutes les semaines une messe basse de Requiem ; et chaque mois une messe basse de Requiem avec De Profundis et Oraison, sur sa tombe ; et service solennel le lendemain de son décès.
Le 3 janvier 1636, donation d’une maison à Villepreux, par Claude Vasse (à charge, tous les 3 mois, d’une messe haute de Requiem, avec vigiles en 3 leçons, annonce et prière)

Le 22 novembre 1685, donation d’un jardin, aux Bordes, par François de Francini

Le 18 novembre 1685, délaissement d’une rente de 37 livres par Robert Bouchard, Doyen de Chateaufort et Curé de Villepreux (à charge d’une messe basse le 1er mardi de chaque mois)
La Charité de Villepreux possédait, en outre, dans une de ses maisons, divers meubles, hardes, vaisselle etc… (inventaire fait par Bourdin, juge, le 11 janvier 1684)

Le 14 avril 1782, à l’église devant le banc d’œuvre, on procède pour la 1ère fois à l’élection des membres composant le Bureau de charité. Sont nommés :

Procurer, Receveur (pour une année) : Monsieur Joannès, chapelain

Secrétaire : Marchand, Maître d’école

Plus une Trésorière, 6 Dames de charité et quelques Notables (toute personne imposée à 12 livres de taille au capital étant déclarée « notable habitant » (décret royal de 1782)
Le placement à intérêt étant peu pratiqué alors, l’argent qu’on recevait des fermages et rentes, était enfoui dans un coffre d’où on le tirait selon les besoins du service. Quelquefois même, les loyer se payaient en nature : blé, seigle, etc… que le bureau faisait transformer en farine qu’il livrait ensuite au boulanger contre certaine quantité de pain.

En 1731, la fourniture de pain s’élève à 375 pains de 12 livres, à 26 sols l’un.

En 1784, on retire du coffre 300 livres pour payer les dépenses et secours occasionnés par l’excessive rigueur de l’hiver.
A partir du 3 janvier 1791, la Charité est administrée par le Maire et le Conseil Municipal. Dans un inventaire fait en 1795, on trouve : 4 moules à chandelles et 2 mesures à lait pour les Nourrices indigentes.

Le 4 janvier 1796, création de places gratuites à l’école pour les Indigents (12 sols par mois et par enfant)

On nomme en outre un Administrateur spécial et un Percepteur. Les séances ne se tiennent plus au Presbytère, mais à la Mairie. Les Dames de charité n’y figurent plus.

Le 25 janvier suivant, le Percepteur Brault déclare avoir 1995 francs d’Assignats dont in ne peut se défaire (il fallait à cette date, verse 4500 francs en Assignats pour avoir un Louis d’or… Veuve Duruy)
Le 29 décembre 1823, legs, par Madame Martin née Daloyeau, d’une maison, jardin, et 24 ares 14 centiares de terres

Le 22 octobre 1828, legs, par Madame Léger née Agoutin, d’une maison (à charge de services religieux)
Une certaine partie des maisons et terres appartenant à la Charité avaient été vendues le 1er frimaire An 3 à Versailles.

La portion achetée en 1669 à Orsay, Epônes, Guerville et Mézières, fut aliénée en 1855 et 1856

Celle de Bois d’Arcy et de Plaisir, en 1866

2 maisons furent également vendues en 1842.

Les biens et rentes avaient été remboursés, presque en totalité, sous le 1er Empire.

Le château et la ferme des Grand’Maisons
L’origine d ce Domaine est relativement peu ancienne. Le plan de la Seigneurie de Villepreux, dressé en 1727, le qualifie de « nouveau château », par opposition à celui des Gandy, qui est désigné sous le nom « d’ancien château ». La savante et agréable disposition des jardins et des eaux, selon principes de Lenôtre, suffirait – seule – à justifier en quelque sorte cette opinion

En 1655, Monsieur Thomas de Francini paraît être déjà en possession de ce fief.
En 1707, Monsieur François de Francini, grand prévôt de l’Ile de France, déjà propriétaire des Domaines du Val Joyeux et des Grand’Maisons, ayant acquis du Roi – par échange – l’ancien Domaine seigneurial des Gondy, fit ériger en Comté la terre de Villepreux. Il continua néanmoins de résider au château des Grand’Maisons, qui devint seigneurial à partir de cette époque, ainsi que le prouve l’extrait suivant du papier terrier de 1736 : « Moi, Adam Soret, tabellion de la prévôté et châtellenie de Villepreux, me suis transporté avec mes témoins ci-après nommés, au château seigneurial dudit Villepreux, appelé les Grand’Maisons ».

Ce papier terrier (ou Cadastre seigneurial) est fait au nom de Monsieur Thomas François Honoré de Francini, Chevalier, Seigneur Comte de Villepreux, de la Haye Bergerie et des Grand’Maisons, Intendants des Eaux et Fontaines de France, seul et unique héritier de François Henry de Francini, Chevalier, Comte de Villepreux, Chevalier de l’Ordre militaire de Saint Louis, Intendant des Eaux et Fontaines de France, héritier lui-même de Monsieur de Francini, Prévôt de l’Ile de France … et destiné à faire le dénombrement des vassaux, tenanciers et redevables d’héritages relevant de ladite Seigneurie et soumis à la censive du Comte de Villepreux.

Le cens était généralement exigible en argent, le jour de Saint Rémy. On y voit figurer également des redevances en nature, telles que :poulets, chapons, langues des bœuf, tétines de vaches, blé et avoine au boisseau, et cette autre plus bizarre : 2 tiers ½ de poule !
Suivant une brochure satirique parue en 1711, Monsieur de Francini avait voulu établir l’usage des lanternes dans les rues de Villepreux, mais sans aucun succès.
Le château, à cette époque, se composait d’un corps de logis de 25 mètres de long environ (orienté comme celui d’aujourd’hui) flanqué à droite d’une sorte de bâtiment de forme ronde, bordé dans la partie qui longe la route de St Germain de parterres, de bassins et fossés d’eau (du Rû de Gally au potager). Une petite chapelle qui figure sur un plan de 1727, existait autrefois sur le versant qui fait face aux Communs.

En 1789, ce Domaine appartenait à Monsieur Heurtier, Inspecteur des bâtiments du Roi et architecte de la ville de Versailles (nommé Colonel de la milice de Villepreux le 23 août 1789)

Des agrandissements importants ont été faits depuis, au château et au parc, dont la partie haute renferme d’agréables points de vue sur le village et sur la vallée du Rû de Gally.

Il appartenait en 1802 à Monsieur Du Bois des Meures ; puis successivement :

En 1817 à Monsieur Merlin,

En 1824 à Monsieur Bertin de Vaux, Pair de France

En 1852 à Monsieur Bertin de Vaux, Général de Division

Et aujourd’hui, à Madame la Comtesse de Rayneval.
La Ferme des Grand’Maisons est attenante au château et fait partie intégrante – en quelque sorte – du Domaine. Elle avait autrefois droit de colombier, privilège féodal énorme ! Le colombier affectait généralement la forme d’une tour ronde (à l’intérieur, des centaines – selon l’importance du manoir – de boulins ou de réduits pratiqués dans le mur. Au milieu de la rotonde, une poutre fixée verticalement, garnie de plats bords, et pivotant sur elle-même, permettait en très peu de temps de visiter tous les réduits à pigeons). Ce droit fut aboli en 1789.

Dans la belle prairie qui s’étend devant la ferme, se tenait autrefois la fête de Saint Germain, patron de la Commune. En 1832, elle servit de champ de réunion et de manœuvre au bataillon de la Garde Nationale

Le Comice agricole de Seine et Oise s’y tint également en juillet 1882
Après la Révolution était entre les mains d’un Sieur Henry.

En 1817, elle appartenait à Monsieur Boquet ; puis ensuite à la famille Bertin de Vaux. C’est une des exploitations agricoles les plus considérables des environs.
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