Atelier Sous-Régional de Mise en Place des Plateformes Africaines d’Ethique et de Bioéthique








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OBJECTIFS
                        Etablir les statistiques de la progression de l’accès aux TIC par les Africains. Montrer que l’Afrique peut s’appuyer sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication pour atteindre ses objectifs de développement. Amener les décideurs à investir lourdement dans ce domaine en dotant tous les pays africains d’infrastructures moderne dans ce domaine, afin de démocratiser l’accès aux TIC. Sensibiliser les utilisateurs des nouvelles technologies de l’information et de la communication sur les travers d’un usage irresponsable de ces technologies et leurs conséquences sur la dépravation des mœurs et la dégradation du tissu social. Faire des NTIC une chance et non une tare pour le progrès de l’Afrique. Assurer l’autonomie et la sécurité des Etat africains dans le domaine en investissant dans une formation compétitive des jeunes : en suscitant des vocations dans le domaine, en y multipliant des bourses d’étude et en créant de nouvelles chaires appropriées dans nos universités.
ATTENTES
Une politique volontariste des Etats africains dans le domaine des NTIC. La réduction significative du retard de l’Afrique dans ce domaine. Un usage positif et utile des nouvelles technologies de l’information et de la communication afin de mettre notre continent à l’abri des crimes et déperditions liés à ce domaine. Faire de l’Afrique un continent à jour et compétitif dans le domaine des NTIC.
Débat : les NTIC peuvent-elles sauver l’Afrique ?

  • Débattre sur la cybercriminalité

ETHIQUE DES AFFAIRES ET DEONTOLOGIE DES ENTREPRISES

Termes de référence
Suite aux nombreux scandales financiers, managériaux, environnementaux, et ceux liés à la maltraitance et à la discrimination des employés, qui se multiplient au quotidien dans le monde, aussi bien dans les entreprises publiques que dans les entreprises  privées, il devient urgent pour l’Afrique de réfléchir sur la bonne gouvernance des entreprises et des affaires. Car, il apparaît clairement aujourd’hui que de nombreuses entreprises, qu’elles soient petites moyennes ou grandes, que ce soit dans les pays développés ou dans les pays en voie de développement, manquent de code d’éthique et de mécanismes internes efficaces capables de les protéger des dérives. Au regard de la multiplicité des multinationales implantées en Afrique tout en échappant au contrôle des Etats d’accueil, et du fourmillement de jeunes entreprises locales à la recherche de la stabilité et de la croissance, il y a lieu de s’inquiéter pour la santé des affaires et la sécurité des travailleurs dans notre continent.
OBJECTIFS

Mettre sur pied des mécanismes efficaces de contrôle interne et externe des entreprises. Renforcer la législation dans ces domaines tout en examinant les moyens et les conditions d’applicabilité des textes existants. Mettre sur pied des codes d’éthique et des codes d’honneur reposant sur les valeurs de transparence, de responsabilité, d’humanité, de respect du bien d’autrui et du bien public et de protection de l’environnement. Donner aux travailleurs les moyens efficaces de recours et de dénonciation en cas de maltraitance, de non-respect des normes internationales du travail ou de discrimination de tout genre. Codifier et harmoniser à l’échelle du continent les négociations et les contrats d’affaire pour limiter les cas d’escroquerie. Elaborer les mécanismes d’encouragement et de récompense des entreprises qui investissent dans le développement durable en respectant les différents codes d’éthique en vigueur dans son environnement.
LES ATTENTES

Parvenir à un environnement des affaires assaini, propice à l’épanouissement de l’employé et de l’employeur pour une croissance rapide et durable en Afrique. Débarrasser le continent de la corruption qui gangrène le monde des affaires et éloigne les investisseurs. Mettre fin à l’irresponsabilité et à l’impunité de certaines multinationales qui font de l’Afrique un eldorado pour l’enrichissement rapide et illicite, au mépris de la législation internationale du travail et de toute éthique. Mettre fin au travail des enfants, à l’exploitation des femmes et des travailleurs non qualifiés. Faire du slogan « à travail égal, salaire égal » une réalité.   
Débat : Le développement de l’Afrique est-il possible sans l’assainissement du monde des affaires et des entreprises ?

  • Le problème de la fin et des moyens.

   LA SANTE PUBLIQUE
Termes de référence

Le premier paragraphe de l’article 25 de la Déclaration  Universelle des Droits de l’Homme stipule que « toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation, le logement et les soins médicaux ainsi que pour des services sociaux nécessaires… »  Ce qui fait de la santé un droit fondamental de l’homme et la pierre angulaire de toute entreprise, de toute activité et de toute productivité humaine. Dès lors les sociétés devraient garantir à toute personne, sans distinction de sexe, d’âge, de religion, d’opinion politique, de race ou de classe sociale, un égal accès à la santé. Mais, aujourd’hui encore, nous sommes loin d’atteindre en Afrique les objectifs de la santé pour tous que vise la santé publique. Le continent reste le lieu d’épanouissement des grandes pandémies comme le paludisme, le VIH/SIDA. Dans ces conditions, que peut l’Afrique pour assurer la santé à tous les citoyens ?
OBJECTIFS

             Faire de la santé publique une priorité des politiques et des coopérations transafricaines. Mettre un accent particulier sur la formation des professionnels médicaux dans le but de rattraper le retard du continent en la matière. Réhabiliter et moderniser la médecine traditionnelle africaine millénaire, tombée en désuétude et abandonnée à son sort. Associer les secteurs publiques, privés et internationaux pour élargir les horizons des recherches médicales. Mettre sur pied des programmes de santé holistique qui prennent en compte les données anthropologiques, sociologiques, culturelles, économiques, sociopolitiques et métaphysiques des populations africaines. Constituer à l’échelle du continent un réseau de chercheurs dans tous les domaines de la santé publique afin de partager les expériences et les informations. Constituer une banque de données interafricaine sur les spécificités et les tendances en ce domaine en Afrique.
LES ATTENTES

Aboutir à une coopération interafricaine et internationale permettant aux gouvernements d’assurer la santé de leurs citoyens en tant que droit fondamental, et aux pays développés d’assurer une assistance technologique et technique appropriée aux pays d’Afrique afin de leur favoriser l’accès aux médicaments et aux services de santé essentiels. Améliorer la lutter contre la pauvreté et la pandémie du VIH/SIDA. Révolutionner les systèmes de santé dans tout le continent afin de prévenir, ou mieux de lutter contre les épidémies futures. Abolir les préjugés et les complexes des peuples africains à l’égard de la médecine traditionnelle africaine.

 

Débat :

  • N’y a-t-il rien à tirer de nos jours de la médecine traditionnelle africaine ?

  • Peut-on démocratiser, ou socialiser l’accès aux soins médicaux ?

LA LUTTE CONTRE LE VIH/SIDA
Termes de référence

  D’après l’organisation mondiale de la santé et l’ONUSIDA, le VIH/SIDA est la quatrième cause de mortalité dans le monde et la première en Afrique, puisque notre continent reste la cible principale de la pandémie depuis sa propagation jusqu’en ce début du Troisième Millénaire techniquement et scientifiquement avancé. D’emblée, la question simple est : pourquoi l’Afrique ? Question qui ouvre la voie à celle de la nature, de l’efficacité des stratégies et des moyens mis en place par les organismes nationaux et internationaux pour la lutte contre le VIH/SIDA dans le monde et particulièrement en Afrique. Les chiffres galopants en termes d’infection, de contamination, de décès, rendent la situation démographique inquiétante pour une Afrique en voie de développement et en pleine expansion démographique. Ces chiffres seraient-ils la conséquence d’un manque de réalisme caractérisé par la non-prise en compte des spécificités africaines dans les méthodes et les stratégies de lutte contre cette pandémie ?   
OBJECTIFS

Faire de l’Afrique la ligne de front aussi bien des politiques de lutte que des recherches liées au VIH/SIDA. Mettre sur pied des programmes de lutte holistique qui prennent en compte les données anthropologiques, sociologiques, culturelles, économiques, sociopolitiques et métaphysiques des populations africaines. Constituer à l’échelle du continent un réseau de chercheurs dans tous les domaines rattachés à cette lutte afin de partager les expériences et les informations. Constituer une banque de données interafricaine sur les spécificités et les tendances de cette maladie en Afrique. Organiser la lutte de manière à ce qu’elle révolutionne les systèmes de santé en Afrique afin que la prise en charge clinique des autres maladies comme le paludisme soit améliorée. Faire du SIDA en Afrique une maladie comme toutes les autres en brisant les silences, les tabous et les malentendus qui entourent cette maladie     
LES ATTENTES      

La révolution des systèmes de santé dans tout le continent afin de prévenir ou mieux lutter contre les épidémies futures. Le changement des comportements et des mentalités des Africains vis-à-vis de cette maladie. La prise de conscience et de responsabilité collective et individuelle contre le VIH/SIDA. Une meilleure prise en charge et une intégration sociale et familiale des malades du VIH/SIDA. Une gestion plus saine et transparente des ressources collectées et mise à la disposition des Africains pour lutter contre ce fléau.
Débat :

  • Le SIDA est-il une maladie comme toutes les autres ?

  • Santé publique et Business du SIDA.

  • Mythologie et idéologie des origines du SIDA.

LES STANDARS DE BIOSECURITE
Termes de référence
 

D’après l’organisation mondiale de la santé et l’ONUSIDA, le VIH/SIDA est la quatrième cause de mortalité dans le monde et la première en Afrique, puisque notre continent reste la cible principale de la pandémie depuis sa propagation jusqu’en ce début du Troisième Millénaire techniquement et scientifiquement avancé. D’emblée, la question simple est : pourquoi l’Afrique ? Question qui ouvre la voie à celle de la nature, de l’efficacité des stratégies et des moyens mis en place par les organismes nationaux et internationaux pour la lutte contre le VIH/SIDA dans le monde et particulièrement en Afrique. Les chiffres galopants en termes d’infection, de contamination, de décès, rendent la situation démographique inquiétante pour une Afrique en voie de développement et en pleine expansion démographique. Ces chiffres seraient-ils la conséquence d’un manque de réalisme caractérisé par la non-prise en compte des spécificités africaines dans les méthodes et les stratégies de lutte contre cette pandémie ?   
OBJECTIFS
Faire de l’Afrique la ligne de front aussi bien des politiques de lutte que des recherches liées au VIH/SIDA. Mettre sur pied des programmes de lutte holistique qui prennent en compte les données anthropologiques, sociologiques, culturelles, économiques, sociopolitiques et métaphysiques des populations africaines. Constituer à l’échelle du continent un réseau de chercheurs dans tous les domaines rattachés à cette lutte afin de partager les expériences et les informations. Constituer une banque de données interafricaine sur les spécificités et les tendances de cette maladie en Afrique. Organiser la lutte de manière à ce qu’elle révolutionne les systèmes de santé en Afrique afin que la prise en charge clinique des autres maladies comme le paludisme soit améliorée. Faire du SIDA en Afrique une maladie comme toutes les autres en brisant les silences, les tabous et les malentendus qui entourent cette maladie     
LES ATTENTES

          

La révolution des systèmes de santé dans tout le continent afin de prévenir ou mieux lutter contre les épidémies futures. Le changement des comportements et des mentalités des Africains vis-à-vis de cette maladie. La prise de conscience et de responsabilité collective et individuelle contre le VIH/SIDA. Une meilleure prise en charge et une intégration sociale et familiale des malades du VIH/SIDA. Une gestion plus saine et transparente des ressources collectées et mise à la disposition des Africains pour lutter contre ce fléau.
Débat :

  • Le SIDA est-il une maladie comme toutes les autres ?

  • Santé publique et Business du SIDA.

  • Mythologie et idéologie des origines du SIDA.

LES BIOTECHNOLOGIES EN AGRICULTURE
Termes de référence

  De nos jours, les biotechnologies apparaissent non pas comme une technique nouvelle, mais plutôt comme un supplément surtout dans le domaine agricole dont l’objectif est l’amélioration quantitative et qualitative des produits alimentaires. Seulement, force est de constater que les biotechnologies qui se présentent comme des outils puissants dans le secteur agricole, ne sont pas significativement implantées en Afrique, comme  dans la plupart des pays en développement. Ainsi, une telle situation peut être d’autant préoccupante qu’on annonce ces pays en développement, et en pleine voie de transition anthropologique et démographique, mais qui malheureusement ne regroupent pas suffisamment de technologies agricoles, de politiques agricoles, de capacités techniques et d’infrastructures pour sécuriser leurs populations au moins dans le domaine de l’alimentation. Dès lors on est en droit de se demander si l’Afrique peut continuer à rester en marge de ces technologies.
OBJECTIFS
Organiser la vulgarisation et la sensibilisation à travers le continent, puisque la plupart des pays n’y bénéficient pas encore des privilèges des biotechnologies en agriculture. Orienter les politiques agricoles africaines vers la maîtrise et l’utilisation raisonnable des biotechnologies en agriculture afin d’améliorer les conditions de vie, les conditions du travail  agricole en Afrique. Travailler en collaboration avec les organismes internationaux en charge de la question agricole, comme la FAO, pour organiser le transfert des nouvelles technologies agricoles en Afrique, à travers la formation des chercheurs locaux dans des laboratoires appropriés. Mettre sur pied une réglementation réaliste et efficace visant à réduire les risques qui mettraient en péril l’humanité et les univers végétal et animal.
ATTENTES
L’amélioration de la santé de l’homme, de la connaissance des espèces animale et végétale. La signature des accords de partenariat pour une meilleure collaboration avec les pays ou organismes dont l’appropriation et les résultats des biotechnologies sont avérés. Perfectionner les pratiques agricoles en améliorant sans cesse les espèces végétales et animales. Prévenir et gérer les maladies dans le secteur phytosanitaire à travers les croisements génétique des plants, dans l’optique de créer de nouveaux produits capables de résister aux insectes, aux virus, à la dégradation comme l’herbicide avec pour finalité de stimuler la production quantitative et durable.
Débat: les biotechnologies sont-elles la solution au problème du développement économique et matériel de l’Afrique, ou relèvent-elles d’une simple pratique de mode ? 

LA GESTION DES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET DES DECHETS TOXIQUES
Termes de référence
Les progrès scientifiques et technologiques et le développement de l’industrie se sont produits dans un contexte de grand enthousiasme. Le rêve anthropocentrique d’un monde dans lequel l’espérance de vie serait élevée, où la médecine allègerait les maladies et les souffrances,  et où les besoins de chaque individu seraient satisfaits semblait prendre forme. Mais, les développements de l’industrie, rendus possibles par l’essor de la techno science combiné à l’accroissement démographique, se sont souvent faits au détriment de l’environnement en fragilisant ainsi la pérennité de la vie  humaine. Toute cette activité humaine a bousculé le cycle naturel des variations climatiques et contribué à créer des problèmes environnementaux dont les changements climatiques sont l’effet le plus apparent, en même temps que l’accumulation continue et irresponsable de déchets toxiques reste la face cachée du système industriel.

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