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Glombl alias Smith Patrick. Le Kun Mbum (ou Rumbum) de Gyang-Tse, dans la province de Tsang, montre une certaine analogie avec le célèbre stupa de Borobudur dans l’île de Java. Il se présente comme un imposant ensemble architectural avec de très nombreuses chapelles contenant à elles toutes, dit-on, plus de cent mille images. Il faut parcourir ces lieux comme pour une initiation progressive en prenant le temps voulu. En fin de visite j’aboutirai à la sublime chapelle dans laquelle, selon les pratiquants, résiderait la divinité suprême ? Cette construction tient à la fois d’un Temple et d’une montagne si on la considère de loin ! Mais, si on s’attache à tenter d’en résoudre l’énigme, son plan ressemble à un Mandala, à l’intérieur duquel, le visiteur doit tenter d’entreprendre un « voyage » dans un monde parallèle. Je décidai de donner du temps au temps, comme ils disent par ici. Je me joignis, durant quatre jours, à un groupe de pèlerins et je procédai aux visites guidées et menées comme ils le prescrivent. Silencieux et anonyme je me livrais aux rites et aux ablutions diverses. Je pus, ainsi, me pénétrer de l’idée générale qui sous-tend cette forme d’initiation. Cela consiste à prendre du recul par rapport au monde extérieur, puis par rapport à ce qui reste purement matériel, et enfin à tenter d’élever son esprit au-dessus de son corps physique. Je ne rencontrai aucune difficulté à comprendre vers quoi tout ceci tendait et, ensuite, je décidai de poursuivre mon expérience seul et à la vitesse de mes capacités d’adaptation. J’en parlai ouvertement au moine qui nous accompagnait et il n’en parut nullement surpris. Il me demanda simplement pour quelles réelles raisons je devais tant me hâter ? Je lui répondis que je souhaitais vivement arriver au terme de l’initiation pour me présenter devant la sublime porte afin d’obtenir une approbation en vue d’une future union. Il éclaira sa face d’un sourire presque affectueux et je sentis à quel point tous les religieux qui vivent ici sont de grands sentimentaux. Ils se gavent de récits d’aventures et d’amour, lesquels se regroupent dans une unique et immense saga de quelques milliers de vers écrits en sanscrit. Il s’agit du Mahabharata, un récit écrit jadis, il y a trois mille ans, et peaufiné depuis pour en accroître le côté légendaire et romantique. Ces hommes adorent tout ce qui peut ressembler de près ou de loin aux mythes du passé … De plus il a saisi, depuis hier, que je progresse nettement plus rapidement que le reste du groupe. Alors, non seulement il m’autorise à les dépasser, mais il me confie à un autre moine qui semble tellement vieux que je me demande s’il finira la visite ? Encore cinq jours et autant de nuits et nous voici enfin arrivés au terme des cent mille images. Mon esprit s’ouvre en grand pour mieux recueillir les pensées des initiés et la façon dont ils appréhendent le réel. Je m’accorde fidèlement à leur diapason et je parviens enfin à l’entrée de la dernière salle. Elle occupe seule le haut du Temple qui, sous un certain angle mental, ressemble assez à la reproduction d’une lointaine ziggourat. Là, on me laisse seul et je contemple les dessins et les illustrations qui ornent les murs et le plafond. Je sens un vertige me saisir mais, cette fois-ci, je décide de pousser l’expérience jusqu’à son terme et donc de me laisser aller … Mon esprit se détache de mon corps et, en m’élevant, je me regarde comme si je planais à dix mètres au-dessus de lui. Puis, je m’en éloigne, de plus en plus, et tout devient absolument noir autour de moi. Finalement, je me trouve plongé dans une grande lumière et j’entends ou plus exactement je perçois une (ou des) voix : « Nous savons ce que tu recherches en ces lieux. Ceux que tu nommes les « immatériels » sont présents et te disent : Nous acceptons de participer à la penta union que tu désires et, agirons dans ce sens lorsque que tu en choisiras le moment. Il te suffira, alors, de dessiner dans l’air le signe suivant : (Je vois un dessin noir, une sorte de S à l’envers qui se termine par une cédille), et notre présence deviendra effective. Mais il existe de nombreux obstacles. Tu dois, en premier lieu, mieux scruter les souhaits des autres partenaires que tu envisages de choisir. Pour l’un d’entre eux, tu vas découvrir, dans son identité, une confusion, un trouble, qui risque de remettre tes projets actuels en question. Des surprises t’attendent dans ce domaine. D’autre part, nous savons que tu est déjà engagé dans une autre penta union en cours sur ton propre monde et dans ton Secteur galactique. Tu dois absolument choisir l’ordre dans lequel tu voudras convoler, mais en toute connaissance de cause. Les « immatériels » impliqués dans ton premier projet ne doivent absolument pas entrer en déphasage avec nous. Il te faudra donc : - ou bien : renoncer définitivement au premier projet et l’exprimer dans des termes recevables. - ou bien : renoncer à ton actuelle idée et t’en ouvrir à la partenaire pressentie. - ou bien : obtenir les acceptations des immatériels de ton monde et la notre en ce qui concerne l’ordre dans lequel tu réaliseras tes deux penta unions. Nous te laissons un peu de temps pour y songer et nous te donnons rendez-vous au plus sacré de nos points de contact. Tu dois te rendre, sous peu, - je perçois que ce terme sous-tend une notion d’immédiateté- à la Ziggourat de Tchoga Zanbil, qui se dresse près de Suse en Iran. Là, nous te révélerons pourquoi nous t’invitons à ce long détour qui deviendra pour toi un raccourci. » Je me sens happé dans une sorte de tourbillon et me retrouve dans mon corps aussi soudainement que je l’ai quitté ! J’ai mémorisé le signe qui peut pour appeler les entités. Il ne me reste plus qu’à rejoindre Brigit et à suivre les conseils donnés par ces « immatériels ». Ce qui peut paraître comique vient de ce que, à aucun instant je n’ai douté de leurs déclarations ni de la qualité de leurs indications … Penta Union. Dit de Gin. « Il semble que les choses se compliquent dangereusement du côté de notre partenaire Glombl. Il dispose désormais des quatre partenaires qui vont l’autoriser à entreprendre une penta union sur cette petite planète de ce Secteur de notre galaxie dit « Secteur des Horribles ». Il choisira, dans ce cas, pour partenaire humaine, la femme albinos désignée sous le nom de Brigit. Le canidé nommé Tom, qui fusionnerait les éléments, n’a reçu aucune formation à cette tâche mais s’en montre capable d’instinct (et presque aussi valablement que Tram, celui qui doit fusionner notre propre penta union). Quant aux immatériels, il semble que Glombl réussit à en contacter lors de sa visite au Kun’Mbum de Gyang-Tse et qu’il peut, à tout instant, solliciter leur concours ! Tram confirme, à la manière des canidés, qu’il a pu s’assurer d’un contact télépathique avec Tom et que ce dernier possède effectivement la capacité de fusionner le groupe par pur instinct. Il trouve et trouvera les attitudes mentales qui aideront les deux humains à obtenir une « extase parfaite ». Celle-ci devient indispensable pour que les immatériels puissent modifier la stéréo isomérie des gènes de chaque partenaire humanoïdes (ici Glombl et Brigit). Il m’a donc fallu entrer en contact avec mes partenaires, ceux qui devaient participer à notre future penta union selon le protocole enregistré et accepté par les autorités de notre monde. Là plusieurs surprises m’attendaient : - Le canidé Tram ne se sent, pas plus que cela, impliqué dans cette affaire. Nous savons, certes, que celui qui provoque la fusion n’intervient que par sa présence et ne participe, en réalité, à rien ou à peu de choses. Il n’agit que comme une sorte de catalyseur. Donc Tram reste indifférent aux évolutions de notre « projet ». Les immatériels expriment : - qu’une tentative de penta union, menée dans un autre secteur de galaxie que la nôtre leur semble digne d’intérêt ou au moins qu’elle provoque leur curiosité ! - Qu’ils pensent aussi qu’une penta union à laquelle Glombl participerait comme partenaire sur la planète des Horribles n’exclue aucunement que nous poursuivions, en différé, notre propre projet de penta -union. - Ils ajoutent que, par ailleurs, Glombl vient, d’ores et déjà, de réussir sa mission première. Il va nous proposer une technique locale du plus haut intérêt à échanger. En fait, d’ici quelques mois locaux, Glombl devrait prendre le chemin du retour en triomphateur et donc participer à notre commune œuvre de procréation. - Par contre, ils expriment que la partenaire humaine choisie par Glombl entre dans la catégorie des illicites. Elle ne naquit pas sur la Terre ni même dans le Secteur des Horribles. Une de nos sempiternelles réfractaires vola, il y a quelques années, un embryon ou un clone. Elle le transforma génétiquement en le ramenant à l’état originel ancestral pour qu’il puisse se reproduire par simple accouplement ! Puis les deux vinrent dans ce monde des Horribles avec l’espoir de démontrer que la reproduction demeure possible sans la penta union ! Comme aux temps de notre préhistoire ! …………………………………………………………………………………………………………………………… Il y a dans tout cela une composante qui amuse énormément les Immatériels. J’ai du mal à comprendre de quoi il retourne ? Je crois qu’ils nomment cela de l’humour … Pour eux, le fait que Glombl choisisse, pour tenter sa penta union terrestre, une des deux seules femmes venant de notre coin de la galaxie les réjouit beaucoup et de façon assez incompréhensible pour moi ! Je comprends que Glombl commettra une erreur en croyant copuler avec une Terrienne mais je ne comprends pas où cela devient comique ?
Chapitre Quatre. Prière : Mon Dieu, protégez-moi de mes amis, Mes ennemis, je m’en charge ! Mystère 3 à Amsterdam et ailleurs. En général, le dessus du bureau de John Martin, se présentait au visiteur comme une surface nette sur laquelle ne restaient que le téléphone et deux ou trois dossiers soigneusement empilés. Une boîte en fer, simple cylindre vertical, contenait crayons et stylos. Le sous-main, aussi obligatoire que la plante verte près de la baie vitrée, était agrémenté d’un buvard rose bonbon et net de toutes traces d’encre. Madame Evans, sa secrétaire, veillait à le changer tous les jours et à envoyer l’ancien à l’incinérateur. De plus, nul n’écrivait plus à l’encre depuis plus d’un siècle. L’atmosphère restait imprégnée de l’odeur d’un désinfectant industriel à base d’esters imitant le parfum de la pomme. Un ventilateur maintenait un taux acceptable de fumée provenant des cigares ou cigarettes des interlocuteurs. Le décor se présentait immuablement ainsi tout au long de l’année. Mais il arrivait qu’une affaire particulièrement compliquée ou tordue nécessite des changements dans la routine. On remarquait, alors, à la fois, la présence de plusieurs visiteurs, l’installation d’un tableau noir et celle d’un support de paper-board. L’introduction de cinq ou six chaises supplémentaires se produisait au fur et à mesure que les convoqués se présentaient. On les empruntait aux voisins immédiats. Le vaste bureau se remplissait progressivement d’une fumée de plus en plus épaisse malgré le conditionnement de l’air et, au bout de quelques heures, cela tenait du plus lourd brouillard londonien. Le verre qui recouvrait le bureau de John se transformait en étagère sur laquelle chacun posait ses notes ou documents. La table de convivialité, que chaque chef de service tenait à posséder dans son antre depuis sa lecture du livre de Dale Carnegie (Comment se faire des amis), quittait son rôle de dédramatisation pour celui, moins gentil, de table de conférence. Là où, normalement John recevait un interlocuteur difficile, pour le mettre à l’aise - et en quittant ostensiblement son poste normal situé derrière le bureau- pour s’asseoir cordialement et à égalité avec son hôte, là, donc, les grands jours, la table devenait « le cirque » ! La cacophonie régnait en maîtresse et on entendait tant de bruits ce jour là que cela devenait une vraie foire ! De plus trop de fumée de tabac intoxiquait la pièce ! On ne s’entendait ni ne se voyait plus ! John se leva brusquement et éleva la voix pour demander le silence. Puis, il « invita » les fumeurs à s’abstenir durant le reste de l’après-midi. Enfin, il prit la parole pour recentrer le débat : « Les photographies dont nous discutons ne doivent pas être soupçonnées de truquages. Elles ne proviennent aucunement d’habiles montages ou de tentatives d’intoxication. Je vous le garantis et nous gagnerons du temps en abandonnant tout ce qui vous viendrait à l’esprit dans ce genre d’hypothèse. Merci ! Ces documents viennent d’une source sûre, de l’agence Pinkerton et, plus exactement de celui qui, d’après nos informations, deviendra, d’ici quelques années, le nouveau patron de cette honorable et ancienne maison. Vous savez que, pour des raisons évidentes, nos services et les gens de Pinkerton échangent, depuis toujours, des informations utiles sans pour cela briser le sceau des secrets professionnels ou d’Etat. Nul d’entre vous n’ignore que ma sœur a épousé un Directeur de chez eux et que, depuis, le volume de nos transmissions respectives progresse régulièrement. Sans cela, jamais nous n’aurions rien connu de ces documents. Comme vous le constatez, il s’agit de deux artefacts dont nous ignorons l’usage exact ! D’après leurs encombrements, nos experts pensent que celui que les gars de Pinkerton découvrirent sous terre s’apparente à un container qui semble muni d’un antivol. Le second objet, celui qui se trouvait dans l’une des chambres, ne correspondrait pas à une arme comme les hommes de Pinkerton le pensaient. Ils l’assimilent plutôt à un genre de lampe de poche d’un type particulier. Avant que nous n’allions plus loin dans la discussion je dois vous exposer pourquoi les Pinkerton interviennent sur cette affaire. Cela va vous laisser sur le cul ! Le « Premier acte » remonte à plus de vingt ans. Des émeraudes et des rubis apparaissent sur le marché mais aucune analyse ne peut dire de quelles mines ils proviennent ! Un certaine dame les avait vendus mais elle déclara qu’elle en ignorait elle-même l’origine exacte. Elle ne résista pas à l’offre du Syndicat qui lui acheta tout le lot et, depuis, aucune pierre du même acabit ne réapparut plus sur le marché. Le « second acte » est récent. Il commence de manière analogue, mais cette fois-ci, il s’agit de diamants, de la plus belle eau qui se trouvent soudain à vendre, en différents endroits de la planète ! Comme de bien entendu, les meilleurs techniciens ne savent pas leur attribuer une origine. Une seule certitude absolue se trouve acquise et confirmée : ni les diamants, ni les rubis, ni les émeraudes ne résultent d’une technologie avancée de synthèse. L’étude des impuretés et des traces de métaux lourds ne nous mena à rien. Tous viennent de mines parfaitement inconnues… Pire, on ne peut même pas fixer leur continent d’origine ! Pour illustrer mieux l’importance de la question posée, je dirai que si ces pierres venaient d’un sol resté caché depuis des millénaires sous une banquise avant d’être réchauffé par la chute d’une énorme météorite, notre étonnement serait exactement le même ! Nous sommes, aujourd’hui, assez brutalement confrontés à un problème bien plus grave que celui de l’origine de ces pierres. Nous pouvons toujours nous raconter, pour nous rassurer, qu’il existe, sans doute, de nouveaux gisements récemment découverts et sur lesquels les inventeurs restent très discrets. Cela ne change absolument rien à l’étrangeté de trois personnages qui traversent toute cette histoire, ni à ces artefacts ne ressemblant à rien de connu. » John devait reprendre son souffle et les autres en profitèrent pour se livrer à des réflexions et émettre diverses conjectures dans la plus grande indiscipline. Puis, le patron repris son laïus : « Ces trois personnes, nous devons les examiner une à une ! Et, je vous l’assure, nous les observerons encore longtemps ! Par ordre chronologique nous commencerons par la vieille dame australienne. Puis, nous passerons à la milliardaire albinos pour en terminer avec l’apparent propriétaire de ce matériel bizarre. Mais, je dois vous dire que pour chacun de ces protagonistes, il existe une apparence et, après nos recherches, une réalité bien différente. Je vais donc passer la parole à notre ami Perkins qui vous exposera ce que quelqu’un (ou quelque chose) désire que nous croyions. En écho, Fred Larson, le chef de nos investigateurs vous donnera les résultats des enquêtes plus approfondies auxquelles ses personnels se sont livrés » Un puissant brouhaha monta du coin gauche de la pièce. Sans doute qu’un des participants désirait poser une question urgente, dans l’espoir d’éclairer le débat ? John Martin lui indiqua par signe de la tête qu’il pouvait s’exprimer et les autres tendirent l’oreille. Ils savaient que Brick Stanford ne parlait jamais sans une bonne raison : « Chef, je m’excuse de vous interrompre, mais je me sens obligé de réagir à l’expression que vous venez d’utiliser lorsque vous nous exposez que ces trois personnes agissent en protagonistes ! Je ne comprends pas ! Existe-t-il un lien entre elles, lien qui ne ressort pas dans les rapports que vous nous avez donnés pour que nous les lisions préalablement à la présente réunion ? » Martin se permit un sourire en songeant qu’au moins l’un d’entre eux suivait, comme il le fallait, les débats en cours. Il décida de répondre lui-même et avant que Perkins et Larson ne se livrent à leur duo : « Effectivement, il ne s’agit aucunement de trois personnes isolées et sans rapports actuels entre elles. Même si ces rapports datent, paraissent trop ténus ou trop récents selon les cas. En gros, nous savons maintenant que la vieille dame H. W. Talbot a prétendu, jadis qu’elle venait de découvrir Brigit bébé devant une cathédrale. Nous savons aussi qu’elle a versé des fonds pour que cette enfant se trouve immédiatement prise en charge, puis adoptée dans une famille aisée, celle des Van Beck. Ensuite, durant toute sa vie, et jusqu’à ce jour, elle conserve un regard sur ce qu’il advient de sa protégée. Plus même, elles affichent actuellement leurs relations très officiellement, puisque Madame Talbot vient d’arriver d’Australie et loge chez Brigit. Par ailleurs, cette jeune femme très riche et que nous savons albinos a mené, malgré son obligation de vivre dans le noir, de nombreuses relations sexuelles avec différents mâles, mais sans suites. Or, depuis quelques mois, elle a rencontré notre troisième larron, celui que nous connaissons sous le nom de Patrick Smith, et d’après les rumeurs, ils formeraient un projet de vie commune. En tous cas, ils se voient souvent et avec le plus grand plaisir. Des bruits d’office disent qu’ils envisagent une union stable avec projet d’enfant à naître ? Par contre nous n’avons découvert l’existence d’aucun lien entre ce Patrick et madame Hortense Willemine Talbot. » … |
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