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Table
Cet ouvrage est le 533e publié dans la collection À tous les vents par la Bibliothèque électronique du Québec. La Bibliothèque électronique du Québec est la propriété exclusive de Jean-Yves Dupuis. 1 « Garçon ». 1 « Souriceau ». 1 Note de Dumas : « On sait que, dans toute la partie historique, c’est de l’histoire pure et simple que nous faisons : nous n’inventons ni ne retranchons. » 1 Note de Dumas : « Inutile de dire que nous ne changeons pas une lettre au billet, et que nous nous contentons d’en donner la traduction. » 1 Note de Dumas : « À ceux qui douteraient de cette sympathie de Ferdinand Ier pour les forçats, nous répondrons par un extrait d’une de ses lettres au cardinal Ruffo : ‘À Civita Vecchia, nos bons forçats continuent de se défendre, et les Français réunis aux Cisalpins, ayant donné l’assaut, ont été bravement repoussés par eux. Seul, le saint empereur ne bouge point.’ P. S. du 10 mai 1799. » 1 Note de Dumas : « Ce coup de main si hardi et si heureux m’a été raconté par le général Exelmans, qui, aide de camp à cette époque, faisait partie des quarante nageurs et entra le second dans le fortin. » 1 Bufoleria, élevage de buffles. 1 Note de Dumas : « Inutile de dire que cette lettre, copiée sur l’original, est, comme toutes les pièces que nous citons, traduite avec la plus sévère exactitude. » 1 Note de Dumas : « Depuis reine de Françe. » 1 Note de Dumas : « Nous avons sous les yeux une demande de ce genre, signée d’un homme qui a été depuis ministre de Ferdinand II. » 1 Note de Dumas : « On verra que ce scrupule n’arrêta point Nelson, lorsqu’il s’agit de juger Caracciolo. » 1 Note de Dumas : « C’est ainsi que, sous Pie IX, fut mutilé par le légat Felleti, avant d’être fusillé par les Autrichiens, le chapelain de Garibaldi, Ugo Bassi. Il bénit ses meurtriers de sa main sanglante, et son énergique bénédiction leur envoya au visage une pluie de sang. » 1 Note de Dumas : « Textuel :... ad una nazione cosi vile e egoista. » 2 Note de Dumas : « Elle ignorait alors que Roccaromana eût racheté la trahison dont elle l’accusait par une autre trahison. » 1 Note de Dumas : « Nous passons une quinzaine de lignes dans lesquelles la reine se répète en insistant sur la nécessité de punir. » 1 Note de Dumas : « Il tirano è caduto, sorgete, / Gente oppressa !… » 1 Portefaix. 1 « Ruelles ». 2 Note de Dumas : « Comme on pourrait croire que nous faisons de l’horreur à plaisir, nous allons citer les différents textes auxquels nous empruntons ces détails. « En outre, – dit Bartolomeo Nardini dans ses Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de Naples, par un témoin oculaire, – en outre, le cardinal avait fait fabriquer une quantité de lacets qu’il faisait jeter dans les maisons pour donner à ce mensonge l’apparence de la vérité. Les jeunes gens de la ville, qui avaient été forcés de s’inscrire aux rôles de la garde nationale, fuyaient, quelques-uns travestis en femmes, les autres en lazzaroni, et se cachaient dans les maisons les plus misérables, pensant que celles-là seraient les plus respectées. Mais ceux qui avaient eu la chance de passer à travers le peuple sans être reconnus, ne trouvaient point d’hôtes qui voulussent les recevoir. On savait trop bien que les maisons où on les trouverait seraient livrées au pillage et à l’incendie. Les frères fermèrent la porte à leurs frères, les épouses à leurs époux, les parents à leurs enfants. Il se trouva à Naples un père si dénaturé, que, pour prouver son attachement au parti royaliste, il livra de sa propre main son fils à cette populace, sans même qu’il fût poursuivi par elle, et se fit une cuirasse avec le sang de son enfant. « Ces malheureux fugitifs, ne trouvant personne qui consentit à leur donner asile, étaient contraints de se cacher dans les égouts de la ville, où ils rencontraient d’autres malheureux, forcés de s’y cacher comme eux, et hors desquels la faim les forçait de sortir la nuit pour aller chercher quelque nourriture. Les lazzaroni les attendaient à l’affût, s’emparaient d’eux, les faisaient expirer au milieu des tortures ; puis, à ces corps mutilés, ils coupaient les têtes, qu’ils portaient au cardinal Ruffo. » Attendez-vous à mieux que cela. « Durant l’assaut des châteaux et de la ville, raconte l’historien Cuoco, – le même que, dans sa lettre à Ruffo, le roi condamna irrévocablement à mort, – durant l’assaut des châteaux, le peuple napolitain commit des barbaries qui font frémir et deviennent inexplicables, même à l’endroit des femmes. Il éleva sur les places publiques des bûchers où il faisait cuire et mangeait les membres des malheureux qu’il y jetait vivants ou moribonds. » Or, notez que l’homme qui raconte ceci est Vincenzo Cuoco, l’auteur du Précis sur les événements de Naples, c’est-à-dire un des magistrats les plus distingués du barreau napolitain. Malgré la recommandation de Ferdinand, il parvint à échapper au massacre populaire et au massacre juridique qui le suivit. Exilé pendant dix ans de sa patrie, il y rentra avec le roi Joseph, fut ministre sous Murat, et devint fou de terreur parce que, Murat tombé, le prince Léopold lui fit demander son Précis historique. « Un autre auteur, qui garde l’anonymat et qui intitule son livre Mes Périls, raconte que, s’étant sauvé, déguisé en femme, dans une maison où l’on voulut bien lui donner l’hospitalité, il y fit connaissance avec le curé Rinaldi, qui, ne sachant point écrire, le tourmentait pour lui faire rédiger pour Ferdinand un mémoire où il sollicitait de Sa Majesté la faveur d’être nommé gouverneur de Capoue, énumérant au nombre de ses droits incontestables à ce poste d’avoir, à cinq ou six reprises différentes, mangé du jacobin, et, entre autres, une épaule d’enfant tiré du sein de sa mère éventrée. « On ferait un livre à part du simple récit des différentes tortures infligées aux patriotes, tortures qui font le plus grand honneur à l’imagination des lazzaroni napolitains, en ce que ces tortures ne sont portées ni sur le répertoire de l’inquisition, ni sur le catalogue des supplices des Indiens rouges. » 1 « Le bourreau ! » 1 Le petit fleuve. 1 Note de Dumas : « Nous répétons, pour la dixième fois, que ce qui est lettre ou ordre est toujours copié sur la pièce officielle. » |
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