Note sur un projet de logements «seniors»








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COMMUNE DE BRENNILIS


NOTE SUR UN PROJET DE LOGEMENTS « SENIORS »

AVEC SERVICES SITUÉ AU BOURG DE BRENNILIS


  1. Lors de sa séance du 9 juillet 2011, le Conseil municipal a demandé à disposer d'une note précisant ce que pourrait être une intervention de la municipalité en matière de réalisation de logements destinés aux seniors. La municipalité a en effet été abordée par quelques personnes qui, se sentant vieillir et craignant d'aboutir en situation de dépendance ne leur permettant plus de vivre confortablement dans leur maison, ont émis le souhait de voir se réaliser en centre bourg de petits appartements où ils pourraient emménager.

  1. Ce qui serait recherché dans un tel mouvement serait sans doute le fait d'avoir des voisins, d'avoir accès aux services, de ne plus avoir à se préoccuper de l'entretien d'un espace trop grand, de bénéficier de secours rapidement en cas d'urgence, de vivre dans un espace de plain pied, etc.

  1. Sur Brennilis, l'ADMR de Huelgoat contribue au maintien à domicile d'une quarantaine de personnes, essentiellement des personnes âgées dépendantes. Les personnes ainsi aidées sont certainement nombreuses dans les communes avoisinantes. Ce ne serait pas nécessairement ces personnes – ou pas seulement elles - qui pourraient être intéressées par une résidence dans un petit appartement au bourg.

  1. Une réalisation à Brennilis serait probablement soit du type1 « Résidences Services » soit du type logement simple, de plain pied, sans accompagnement de services. Dans ce second cas, il s'agirait a priori d'une opération d'habitat de type classique, du ressort en principe de la communauté de communes avec ou pas intervention des organismes d'HLM. Dans le premier cas (résidences services) il s'agirait également d'une intervention sociale qui pourrait être placée dans le champ d'intervention communal. Dans l'un ou l'autre cas, l'accès au financement devrait être étudié de près.

  1. Il serait sans doute difficile d'envisager le recours au schéma de type MARPA (Maison d'accueil rurale pour personnes âgées) – une initiative de la MSA commencée au début des années 80 et qui semble-t-il est en plein essor. Il y a une MARPA en Finistère2 . La gestion des MARPA existantes apparaît comme relevant le plus souvent d'une structure associative. Après contact pris avec la MSA, il apparaît cependant que cette dernière ne cofinance pas mais labellise seulement, que les MARPA sont souvent consommatrices de beaucoup d'espace (de 3 à 5.000 m2 pour 25 résidents), onéreuses à réaliser (2.5 M €) et à faire fonctionner (350.000 €/an). De surcroît, le Conseil général du Finistère n'y serait a priori pas favorable.

  2. Certaines « composantes MARPA » valent cependant au moins comme référence – par exemple la taille et les services environnants. Les logements proposés aux seniors sont typiquement de 30 – personne seule - ou 45 mètres carrés – couple. Ils sont à rez de jardin ou, s'il y a un étage, doivent être facilement accessibles aux personnes à mobilité réduite. La taille habituelle d'un lotissement seniors semble correspondre à l'hébergement d'une vingtaine de personnes. Il est fréquent de voir que des personnels d'encadrement travaillent sur ces lotissements. Le coût salarial correspondant serait de l'ordre de 20 à 22.000 € par an par poste à temps plein à répartir sur les loyers de dix à quinze logements. Les services rendus par les personnels non encadrants sont du type de ceux relevant de l'ADMR y compris buanderie et repas. La télé-alarme contribue à la sécurité. L'encadrement médial et paramédical est le fait des services de proximité.

  3. Selon la MSA, une des difficultés avec les MARPA tient au fait que, même si elles sont destinées à des personnes encore peu dépendantes, ces dernières ne veulent pas les quitter même en cas de perte lourde d'autonomie. L'encadrement social, la proximité des services médicosociaux et le partenariat éventuekl avec un EHPAD sotn donc importants.

  4. Il serait possible de s'approcher d'Habitat 29, qui a dans son portefeuille une offre dite « spécifique personnes âgées » - voir annexe III. Dans ce cadre, Habitat 29 réaliserait les logements sur des terrains viabilisés par la municipalité et le Conseil général financerait les équipements mobilité réduite. A noter que la création envisagée d'un GCSMS – Groupement de coopération social et médico-sociale, voir annexe IV – des Monts d'Arrée pour les services à domicile en cas de perte d'autonomie pourrait faciliter l'approche à Habitat 29. Le siège de ce groupement pourrait d'ailleurs se situer à Brennilis au cœur même du projet, qui pourrait également abriter des services médicaux et paramédicaux dans des locaux mis à disposition par la municipalité.

  5. Un espace d'une superficie totale de 2.000 mètres carrés permettraient une réalisation de qualité avec une SHON de l'ordre de 800 m2 (emprise au sol 40%) pour une quinzaine de résidence et des bâtiments annexes. Des bâtiments existants pourraient d'ailleurs sans doute être préservés pour servir à des activités communes – y compris par exemple la résidence du responsable ou d'un gardien. Le coût de la réalisation ne devrait pas être trop difficile à estimer – l'on peut peut-être se baser initialement sur un coût de construction de 1.000 à 1.200 € du mètre carré habitable pour les logements, soit 35 à 45.000 € par résidence. Le loyer d'équilibre3 se situerait donc sur 20 ans à 200 € pour une personne seule et 250 € pour un couple hors charges – qui pourraient représenter plus de 200 € par mois en cas de création de postes d'encadrement et d'accompagnement.

  1. La commune pourrait avoir à exercer son droit de préemption urbain pour permettre la réalisation de ce projet. L'exercice du DPU (annexe V) doit indiquer le type de réalisation envisagé. Une fois l'acquisition effectuée il n'y a a priori pas de délai pour mettre en œuvre l'objet visé au DPU. La commune devenue propriétaire peut d'ailleurs changer l'objet pour lequel elle a exercé son droit de préemption. Les opérations pouvant donner lieu à l'exercice du DPU sont définies comme suit au Code de l'Urbanisme (art. L 300 – 1): «les actions ou opérations d'aménagement ayant pour objet de mettre en œuvre un projet urbain, une politique locale de l'habitat, d'organiser le maintien, l'extension ou l'accueil des activités économiques, de favoriser le développement des loisirs et du tourisme, de réaliser des équipements collectifs, de lutter contre l'insalubrité, de permettre le renouvellement urbain, de sauvegarder ou de mettre en valeur le patrimoine bâti ou non bâti et les espaces naturels».

  1. La communauté de communes n'a pas de Plan local de l'habitat sur lequel s'appuyer pour justifier du DPU. C'est cependant elle qui dispose de la compétence habitat, ce qui peut compliquer la donne – sauf à impliquer le CCAS dans le projet qui n'est pas exclusivement locatif dans le cadre d'une compétence sociale qui reste communale. La justification de l'exercice du DPU viendrait alors non de la mise en œuvre d'une politique (communautaire) de l'habitat, mais de la réalisation d'équipements collectifs (résidences pour personnes âgées) par la mise en œuvre d'un projet urbain (PLU, PADD, « développer le bourg en épaisseur »). A noter que le programme d'action 2011 du CCAS fait référence à la problématique du maintien à domicile des seniors dans des logements adaptés. Une approche communautaire serait cependant évidemment envisageable – y compris par la création d'un CCAS inter-communal à vocation unique pour cette réalisation ou une délégation de compétences à un GCSMS à venir.



  1. Pour avancer sur ce dossier, il est suggéré que le Conseil municipal :

    • décide dans son principe de la réalisation au bourg de Brennilis d'une zone de services pour personnes âgées en perte d'autonomie, y compris l'implantation de dix à quinze résidences adaptées et des services d'appui, notamment médicaux, paramédicaux et sociaux;

    • constate que ses partenaires privilégiés pour ce type de réalisation semblent devoir être le Conseil général, la DDASS, l'ADMR et les organismes d'HLM;

    • demande au maire d'approcher rapidement la Conseillère générale et d'informer la Communauté de communes, l'ADMR, la DDASS, Habitat 29 et les EHPAD de proximité sur la démarche envisagée en sollicitant leur appui, leurs conseils et leur soutien;

    • décide de rechercher un terrain constructible d'une superficie de 2000 mètres carrés environ en centre bourg pour l'implantation du projet sur une SHON totale de 800 à 1000 mètres carrés;

    • décide que la concrétisation du projet pourra bénéficier de l'exercice du DPU au titre de la mise en œuvre d'un projet urbain et de la réalisation d'équipements collectifs;

    • décide à titre conservatoire d'inscrire au budget d'investissement de la commune pour l'année 2011 une somme de 100.000 € devant permettre le lancement de la procédure (études, terrains, viabilisation, réfection bâtiments existant, achat équipement médical)

    • demande au Maire, avec la CCAC, d'identifier un architecte urbaniste pour la réalisation d'une esquisse préliminaire du projet dès lors qu'un terrain susceptible de l'accueillir aura été identifié.

Jean-Victor Gruat, 1 août 2011.
Annexe I – Typologie extraite du site www.lesresidencesservices.com

L’Habitat des seniors

Les Résidences Services

Elles sont destinées à une clientèle autonome, valide ou semi-valide, qui bénéficie dans ces établissements d’équipement et de services collectifs facultatifs (restauration, services ménagers, services médicaux, activités culturelles et de loisirs).

Elles offrent en copropriété ou en location des conditions de séjours souvent basées sur la détente et le maintien en forme.

Elles ne sont pas passées par la procédure d’autorisation d’ouverture et sont donc en dehors des cadres législatifs et réglementaires.

Ce type d’hébergement collectif est conçu pour servir d’intermédiaire entre le logement personnel et la maison de retraite traditionnelle.

Les Maisons de retraites

La maison de retraite permet aux personnes âgées en perte d’autonomie de bénéficier de l’attention et des soins d’un personnel permanent comprenant des médecins, des infirmier(ières)s, des aides soignants, des auxiliaires de vie, des kinésithérapeutes, des orthophonistes, des animateur(rice)s.

Les établissements peuvent être plus ou moins médicalisés selon qu’ils ont vocation à accueillir des personnes âgées autonomes, en perte d’autonomie ou dépendantes

Elles peuvent dépendre du secteur privé ou public.

• Dans le secteur privé, les établissements peuvent avoir le statut d’une société commerciale ou d’une association à but non lucratif

• Dans le secteur public, les structures sont placées sous l’autorité d’un Centre d’Action Sociale, de l’Assistance Publique, d’un centre hospitalier ou d’un hôpital.

La maison de retraite, dès lors qu’elle est conventionnée, est nécessairement médicalisée.

Enfin le séjour peut être de longue durée ou temporaire (séjour d’été, séjour de convalescence ou bien séjour d’essai renouvelable, voire pour certains établissements offrir la possibilité d’un accueil de jour).

On distinguera suivant les degrés de dépendance (grille G.I.R.)

E.H.P.A. : Établissement d’hébergement pour personnes âgées

Destiné aux personnes autonomes ou peu dépendantes.

Cela veut dire que le GIR moyen pondéré des résidents mesurant leur niveau de dépendance est inférieur à 300.

Ceux sont des hébergements collectifs qui assurent aux personnes âgées résidentes une prise en charge globale : hébergement, restauration, blanchissage, aides à la vie courante, soins, animations…

Ces établissements peuvent être gérés soit par un établissement public (hôpital) ou une collectivité territoriale (commune, groupement de communes ou leur CCAS), soit par un organisme privé à caractère associatif ou commercial.

Ces structures sont soumises à une autorisation d’ouverture du conseil général après avis du CROSMS (comité régional de l’organisation sociale et médico-sociale).

La signature d’une convention tripartite (État, conseil général et organisme gestionnaire) n’est pas obligatoire pour ce type d’établissement.

Dans ces établissements, l’APA est versée suivant les règles de l’APA à domicile.

MARPA : Maison d’accueil rurale Personnes âgées autonomes ou en légère perte d’autonomie.

Appartements indépendants bénéficiant d’espaces de vie collectifs sont construites sous l’initiative de la MSA avec parfois des crédits du ministère du Logement.

Elles sont gérées soit par une commune ou un regroupement de communes, soit par un organisme HLM.

Logement-foyer

Il s’agit d’un ensemble de logements autonomes, accompagnés d’équipements ou de services collectifs (restauration, infirmerie, blanchissage,…) dont l’usage est facultatif avec paiement d’une redevance.

Les résidents peuvent bénéficier d’une aide au logement telle que l’APL (aide personnalisée au logement).

Les immeubles comportent à la fois des locaux privatifs et des locaux communs.

Dans un logement-foyer, les résidents perçoivent l’APA suivant les règles de l’APA à domicile.

Ce type d’accueil a été mis en place dans le cadre des financements des HLM et du code de la construction et

de l’habitat mais il est considéré aussi comme un établissement à caractère médico-social et relève donc à ce

titre du code de l’action sociale et de la famille

EHPAD

Destiné aux personnes dépendantes. Le niveau de dépendance mesuré par le GMP est supérieur à 300.

L’autorisation de création de telles structures est dispensée pour quinze ans, renouvelables tacitement, à la condition que l’établissement satisfasse aux évaluations internes et externes de sa qualité, ce sous monitoring de la DDASS qui effectue des contrôles réguliers.

Pour accueillir des personnes âgées dépendantes et être financé par le conseil général et l’État, l’EHPAD doit signer une convention tripartite de 5 ans avec le département et l'État qui l’oblige à respecter un cahier des charges et à avoir une démarche qualité ce qui assure donc aux personnes âgées un accueil dans les meilleures conditions de sécurité, d’hygiène et de confort. (loi n° 2002-2 du 2 janvier 2002)

Le contenu de ces conventions est adapté pour les établissements comportant moins de 25 places et non soumis à une tarification ternaire. Elles sont souvent encore appelées communément sous le vocable de «maisons de retraite médicalisées ».

MAPAD : Maisons d’accueil pour personnes âgées dépendantes

Elles sont réservées en priorité aux personnes âgées ayant besoin d’assistance permanente et de personnel spécialisé pour les accompagner dans les gestes de la vie quotidienne : faire sa toilette, s’habiller, manger, et marcher.

Leur capacité ne doit pas en principe excéder 80 places sauf dérogation.

Les chambres sont individuelles, la superficie de 16 à 20 m² au minimum et comportent une salle d’eau avec des toilettes.

U.S.L.D. : Unité de Soins Longue Durée

Appelées autrefois « hospices » puis « centres de long séjour », ces unités incluant l’hébergement en chambre, les soins médicaux et de surveillance, les repas et divers services spécifiques relèvent aujourd’hui du secteur hospitalier et accueillent des personnes qui ont perdu leur autonomie et dont l’état nécessite une surveillance médicale constante en matière de soins et pour les gestes de la vie quotidienne.

Unité de soins spécifiques Alzheimer « Cantou »

Unité de vie spécialisée pour l’accueil des personnes désorientées et/ou atteintes de maladie d’Alzheimer qui répondent à des critères précis d’adaptation architecturale, de qualification du personnel, de participation des familles et de soins spécifiques.

Enfin et pour mémoire, les séniors suivant leur situation individuelle pourront bénéficier de L’aide sociale à l’hébergement.

Pour bénéficier de l’aide sociale à l’hébergement délivrée par le conseil général, il faut remplir certaines conditions :

• être âgé de soixante-cinq ans au moins (ou soixante ans en cas d’inaptitude) ;

• être hébergé dans un établissement habilité à l’aide sociale ;

• ne pas avoir suffisamment de ressources pour faire face au paiement du prix de journée ;

• être Français ou résider en France.

Sous ces conditions 90 % des ressources propres (y compris les revenus tirés d’un capital) doivent être affectés au paiement des frais d’hébergement.

Les 10 % restant, égaux au moins à 10 % du minimum vieillesse, sont laissés à la personne âgée pour un usage personnel.

L’obligation alimentaire des descendants (enfants et petits-enfants), s’il y en a, vient compléter ce versement.

La différence restant due est alors prise en charge par l’aide sociale.

Le montant de la participation des descendants au titre de l’obligation alimentaire prend en compte la famille et les ressources du foyer fiscal.

Un dossier doit être déposé au CCAS de la ville de résidence. Il sera transmis à la commission d’admission à l’aide sociale du département.
Annexe II - MARPA

Le concept

Le programme Marpa répond à un objectif social. Son « concept » s’appuie sur un label qui fixe les caractéristiques architecturales du projet aussi bien que ses caractéristiques en termes de services.

La Marpa est une petite unité de vie telle que définie par le législateur. Sa capacité est volontairement limitée à moins de 25 personnes. Les logements privatifs préservent l’intimité de chacun des résidents. Les espaces communs leur permettent de vivre en convivialité.

S’ils le souhaitent, les résidents participent à la vie quotidienne de la maison (jardinage, préparation des repas, etc.). Chacun vit chez soi et bénéficie des services de la collectivité.

Chaque Marpa comporte environ 20 logements individuels, tous de plain-pied. Ces logements disposent d’un accès privatif et sont aménagés pour répondre aux nécessités des personnes à mobilité réduite. De type T2 pour les couples (46 m2), de type T1 bis (30 m2) pour les personnes seules, ils sont équipés d’un coin cuisine et d’une salle de bains.

Sous la conduite d’un ou d’une responsable, l’équipe accompagne les résidents dans les gestes de la vie quotidienne et dans leurs activités. La salle à manger-salon attenante à la cuisine, la buanderie, la bibliothèque, les locaux collectifs et le jardin forment un cadre d’activités complet. La sécurité est assurée 24 heures sur 24 par un système de téléassistance. Pour la tranquillité de tous, il permet un contact permanent entre les résidents et le personnel.

La Marpa n’est pas un établissement médicalisé. Les aides et soins sont apportés à la demande. Pour y répondre, l’équipe s’appuie sur les professionnels et services existant localement. Les personnes accueillies gardent leur médecin traitant ou en choisissent un librement. Elles peuvent bénéficier de services d’aide à la personne ainsi que des soins de tous les professionnels para-médicaux installés à proximité.

Le programme Marpa, « Maisons d’accueil rurales pour personnes âgées » est un concept original. Il a été initié en 1987 par la MSA. A l’origine, il s’agissait d’expérimenter des solutions contre la dépendance. Aujourd’hui ce sont près de 130 maisons réparties sur l’ensemble du territoire.

Vous êtes maire d’une commune, président d’une communauté de communes, responsable des services sociaux d’un conseil général ou élu de votre Département et le concept Marpa vous intéresse ? Sachez que c’est la MSA qui est garante du concept Marpa. Le régime de protection sociale agricole en assure aussi la promotion. C’est donc le « référent » Marpa de la MSA de votre région qui vous accompagnera. Pour tout savoir sur le programme Marpa dans votre région, n’hésitez pas à le contacter.

Depuis plus de vingt ans, la MSA met son expérience des Marpa au service de nouveaux territoires.

C’est un gage de réussite pour votre projet. En réponse aux attentes des personnes âgées, le programme Marpa apporte aux collectivités locales une solution sur mesure de développement local.

Créer une MARPA

Le Label Marpa traduit le concept social et architectural. Attribué par la caisse centrale de la MSA, il définit un cadre de référence qui prend en compte les spécificités locales.

Il s’articule autour de trois principes :

1) une philosophie et un cadre de référence pour le montage du projet

  • une structure a but non lucratif issue d’une démarche de développement social local ;

• des principes conformes au fonctionnement des petites unités de vie ;

• l’inscription du projet dans la dynamique du réseau Marpa ;

2) la garantie d’une vie « comme a domicile »

• un projet s’appuyant sur la politique du logement social ;

• proposer un véritable logement au résident ;

• permettre de vivre comme a domicile ;

• respecter la vie privée, la liberté, et l’intimité des résidents ;

3) la possibilité d’accompagner chaque trajectoire de vie

• des services pour accompagner au quotidien ;

• une organisation professionnelle de la Marpa ;

• des services externes coordonnés par la Marpa.
Annexe III

Bien Vieillir Habitat 29




Le label "bien vieillir à Habitat 29", c'est un service spécifique pour les personnes âgées

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