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![]() www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Georges SIMENON (Belgique) (1903-1989) ![]() Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Feux rouges’’), le personnage de Maigret étant étudié. Bonne lecture ! Il est né à Liège un vendredi 13 (ce qui effraya sa mère qui, superstitieuse, demanda à son mari de faire une fausse déclaration pour ne pas nuire à son enfant ) dans un milieu petit-bourgeois habitant le quartier populaire d’Outremeuse. Son père, Désiré Simenon, un homme tranquille, fils d’un chapelier, était comptable dans une compagnie d'assurances, tandis que Henriette Brüll, d’origine prussienne et néerlandaise, dernière d’une famille de treize enfants, femme à la personnalité dominatrice, sujette à «des colères brutales», fut «demoiselle de magasin» à "L'Innovation" avant de rester au foyer. À cause d’elle, il eut une enfance sans affection, car elle était extrêmement dure et portait tout son amour sur son frère cadet de trois ans, Christian, beaucoup plus obéissant que lui : «De mes deux fils, c’est Georges qui a la gloire, mais c’est Christian qui a le génie...». Il sut lire et écrire dès l’âge de trois ans. À l’âge de douze ans (son goût des détails de la vie quotidienne se manifestant déjà?), il exécuta un dessin représentant… un torchon de cuisine qui, en 2007, dans une vente d’objets et de documents lui appartenant, fut mis à prix 500 euros. Il reçut une éducation catholique, d’abord, de 1908 à 1914, à l'Institut Saint-André des frères des écoles chrétiennes, puis, en 1914, au collège Saint-Louis, tenu par des jésuites, enfin, de 1915 à 1918, au collège Saint-Servais, établissement plus scientifique. Mais son intérêt pour les études commença à faiblir et il obtint des notes assez moyennes sauf en français. Dévoreur de livres, (il lui arrivait d‘en lire un par jour), il découvrit alors les romans de Gaston Leroux, Alexandre Dumas, Dickens, Conrad, Stendhal, Balzac (qui lui a indiqué le rôle de l'argent, le souci de la dimension physique de l'oeuvre), Gogol (dont il retint la folie ou, plus précisément, ce qui mène à la déstabilisation de l'humain), Dostoïevski (dont il hérita cette attention que tout commentateur de la comédie humaine doit observer pour les bassesses, les mesquineries, les lâchetés qui font la soumission). Il n'avait que quinze ans lorsque son père tomba gravement malade et que le médecin de famille le prévint : sa vie était menacée par l’état de son coeur. Est-ce bien pour assurer la subsistance matérielle de la famille que l'adolescent fit une croix sur les études et resta dépourvu du moindre diplôme ou n’est-ce pas plutôt parce qu’il avait la certitude de ne pas pouvoir plus longtemps se soumettre à la discipline de son collège? Il confia à Henri Guillemin : «Je voulais baiser et l’Église me racontait que j'allais me damner. Alors j’ai tout bazardé !». À l'été 1918, il refusa de passer ses examens et décida de se forger à la force du poignet, de ne devoir rien qu’à lui-même. Que pouvait faire un adolescent de quinze ans alors que la guerre n'était pas finie? Il trouva d’abord un emploi d'aide-pâtissier, mais deux semaines suffirent pour l'en écoeurer. Puis il fut commis de librairie, et, à peine au bout d'un mois, ce garçon trop sûr de lui au goût du patron se fit remercier. Sans préméditation, tout à fait par hasard, il poussa alors la porte de "La gazette de Liège", un journal conservateur. Il y fut engagé d’abord comme commis, puis comme journaliste et reporter chargé des «chiens écrasés», faisant alors à vélo la tournée des commissariats de police, des tribunaux, des conseils municipaux, des cérémonies officielles, des inaugurations, des compétitions sportives, des tournois de belote, des courses cyclistes, des conférences, des manifestations, des banquets, des assemblées de sociétés, des marchés, des foires, suivant les pompiers, se voyant comme un nouveau Rouletabille, comme lui portant un imperméable, fumant la pipe et mettant ses premiers pantalons longs. Opportuniste, prêt à tout pour réussir, il apprit si vite son métier que son salaire passa rapidement de 45 francs à 180 francs et qu’il tint aussi un billet quotidien intitulé “Hors du poulailler” : «C’était pour bien marquer mon petit coin à part dans “La gazette”» se souvint celui qui signait «Monsieur le coq». Dans ces chroniques d’humeur, il parlait du temps qu’il faisait, des propos entendus ici et là, des petits et grands côtés de la vie des Liégeois, du 1er mai, de la Toussaint, des cérémonies patriotiques, du cinéma, du progrès. Faisant preuve d’une maturité et d’un talent exceptionnels, volontiers anarchiste en herbe, il trempait souvent sa plume dans le vitriol pour vilipender ses confrères, les autres journaux, les personnalités, voire certains lecteurs, s’attaquer même à l’administration, aux syndicats, aux communistes, aux socialistes, aux juifs. Il fut, en effet, l’auteur d’une série d'articles sur «le péril juif», puants d'antisémitisme, influencés par les "Protocoles des Sages de Sion". Cependant, si les idées exprimées par cet enfant terrible n’étaient pas toujours celles défendues par ce journal catholique et conservateur, il a toujours soutenu que, dans ce dernier cas, il avait été contraint de répondre à une commande et que «ces articles ne reflètent nullement ma pensée d’alors ni d’aujourd’hui», se défendant d’être antisémite. Cela n’a pas empêché Pierre Assouline de prétendre que «Georges Simenon, qui était pourtant bavard et prolixe, n'a jamais jugé nécessaire de lever l'ambiguïté sur cet épisode de sa vie de journaliste». Il fut parfois l’envoyé spécial du journal, enquêtant ainsi sur la mort de soldats belges près de Düsseldorf, interrogeant le maréchal Foch dans un train entre Bruxelles et Liège, suivant à Cologne les fraudeurs du lendemain de la guerre, partageant la vie de pêcheurs en mer du Nord. Les situations qu'il étudia, les lieux et les personnages qu'il côtoya allaient lui servi dans ses futurs romans, car il avait appris que, lorsqu'on est fermement décidé à rendre la vérité de ce qu’il a appelé «l'homme nu, c’est-à-dire l’homme tel qu’il est au profond de lui-même», tel que Dieu le fit, tel que le tente le diable, tout ce qu'on entend, tout ce qu'on voit, touche, sent, doit être emmagasiné, et il faut s’obliger à un travail quotidien, constant. Or, à dix-huit ans déjà, il était un forçat de l’écriture, une machine à produire industriellement du texte, quatre-vingt pages par jour. Il publia plus de mille nouvelles, plus de deux cents romans d’aventures à bon marché, sous divers pseudonymes, vingt-cinq au moins (Jean du Perry, Gom Gut, Georges Sim, Luc Dorsans, Christian Brulls, G. Vialo, G.Vialis, etc.) et il reconnut plus tard : «Je faisais mes gammes avec de petits romans galants». Mais il se forgea ainsi un talent sûr, s’exerçant à mettre en place des situations sordides et complexes où, avec des raffinements logiques, il s’inspirait d’Edgar Poe, ne se dégageait pas encore du roman policier traditionnel et posait toujours une énigme à partir de laquelle le détective découvrait un milieu qui fournissait l’occasion de longues descriptions pittoresques. Il publia aussi, en 1921, année de la mort de son père, un petit roman «humoristique et de moeurs liégeoises», “Au Pont des Arches”. Simenon, qui était déjà un viveur, qui hantait les brasseries etr les boîtes de nuit, qui était déjà un client assidu des dames de petite vertu, fréquenta alors un lieu de rencontres entre jeunes artistes et écrivains de la bohème locale refaisant le monde et se livrant à des excès : “La caque”. Il y connut Robert Denoël qui éditera Louis Ferdinand Céline, et, surtout, Régine Renchon, étudiante aux beaux-arts, qu’il appelait «Tigy», qui avait trois ans de plus que lui mais était aussi excentrique que lui. En 1920 (il avait dix-sept ans), ils se fiancèrent. En décembre 1922, alors qu’il avait réussi à ne faire qu’un mois de service militaire à Aix-la-Chapelle, que son apprentissage de journaliste était terminé, qu’il était ambitieux, qu’il n’y avait pas grand-chose à faire à Liège (il allait tout de même, de février 1924 à novembre 1925, collaborer à ‘’La Nanesse’’, une feuille pamphlétaire, mais aussi un journal de chantage, dirigée par Hyacinthe Danse, un repris de justice), il partit tenter sa chance à Paris où il voulait être écrivain. Il y arriva le 10 décembre 1922 et, en mars 1923, Régine l’y rejoignit et ils se marièrent le 24 mars. Muni de lettres de recommandations, il fréquenta bientôt des artistes à Montmartre, mais ne trouva que des emplois subalternes. Il fut garçon de courses d'une ligue d'anciens combattants, puis devint le secrétaire de l’écrivain d’extrême droite Binet-Valmer puis du marquis de Tracy, un riche aristocrate chez qui il découvrit un univers de luxe et de richesse. Il était le patron d’un journal de Nevers, “Paris-Centre”, auquel il collabora. Vivant quelque temps au château de Paray-le-Frésil, il découvrit ainsi le milieu aristocratique comme la province française qui allaient lui donner des idées pour ses livres. Comme Régine, tenant le foyer, était un rempart contre sa facilité à faire la fête, il passa alors ses soirées à écrire comme un forçat «soixante contes de cinquante à deux cents lignes et trois romans de trois mille lignes par mois» qui trouvèrent rapidement un public car il inondait les journaux de ses nouvelles et les éditeurs de collections populaires de ses romans, licencieux (“Orgies bourgeoises”, “Une petite très sensuelle”, “Un monsieur libidineux”), sentimentaux (“Le roman d’une dactylo”) ou d’aventures (“Un drame au pôle Sud”), près de deux cents en cinq ans, toujours sous des pseudonymes dont le le premier fut Sim. Cette production alimentaire où il ne voyait que des exercices pour l’apprentissage d’un futur métier de romancier améliora la situation du couple. Comme il écrivait très vite, Eugène Merle, propriétaire de certains de ces journaux, lui proposa, en 1927, pour cent mille francs, d'écrire en trois jours et trois nuits, enfermé dans une cage de verre, sous les yeux du public, un roman dont le sujet, le titre et les personnages lui seraient communiqués par un huissier au moment où il y pénètrerait. Le projet suscita l’indignation des gens de lettres qui ne voulaient y voir qu’un jeu du cirque. L’opération fut annulée in extremis, mais il fut payé. Longtemps, pourtant, des témoins prétendirent y avoir assisté. Après lecture de deux de ses contes, pour motiver son refus, Colette, qui était rédactrice en chef du quotidien parisien “Le matin”, lui martela ce conseil : «Surtout, pas de littérature ! Écrire simplement» qui eut un tel impact sur le jeune écrivain qu'il en fit en quelque sorte son mot d'ordre. En 1924, de retour à Paris, Georges Simenon et Régine louèrent un rez-de-chaussée place des Vosges, dans un immeuble où vivait, à l’étage du dessus, un médecin nommé Maigret. Ils y donnaient de grandes soirées où ils y recevaient, entre autres invités, Max Jacob. En 1925, ils passèrent l'été à Étretat. Il rencontra l’éblouissante mûlatresse, Joséphine Baker, âgée de vingt ans, alors totalement inconnue, qui dansait dans “La revue nègre” et leur brûlante liaison, que sa femme sembla ignorer bien qu’il ait songé à l’épouser, dura jusqu’en 1927. Mais il eut peur de l’amour. Il fit aussi une de ses innnombrables partenaires sexuelles de leur jeune cuisinière, Henriette Liberge dite «Boule». En 1926, ils découvrirent Porquerolles, île dont ils s’éprirent aussitôt, y louant une villa. En 1927, ils passèrent les vacances d’été à l'île d'Aix où ils rencontrèrent Vlaminck, Derain, Picasso... En 1928, Simenon découvrit La Riochelle. La même année, il réalisa un rêve d’enfance : il acheta la “Ginette”, un bateau de cinq mètres et s’embarqua pour un tour de France sur les canaux et les rivières, en compagnie de «Tigy» et de «Boule», campant sur les berges. L’univers des marins, des ports, des écluses, allait le marquer de façon indélébile. Durant six mois, il consacra ses matinées à écrire au fil de l’eau, à taper ses romans à la machine, au grand étonnement des promeneurs. La même année, il commença à publier chez Fayard, sous le pseudonyme de Christian Brulls (“Dolorosa”). En 1929, le goût de la croisière le reprit. Il fit construire, à Fécamp, un bateau : ”L’ostrogoth”, un cotre de dix mètres, passa son brevet de capitaine et, au printemps, navigua vers la Belgique, puis alla jusqu’aux Pays-Bas. Dans le port néerlandais de Delfzijl, à l’extrême nord de la Frise, alors que le bateau devait être recalfaté, il s'installa dans une péniche abandonnée et écrivit un nouveau livre. Il a raconté l’événement : «Je me revois, par un matin ensoleillé dans un café qui s'appelait, je crois, “Le Pavillon”. Ai-je bu un, deux, ou même trois petits genièvres colorés de quelques gouttes de bitter? Toujours est-il qu'après une heure, un peu somnolent, le hasard me fit découvrir, à moitié échouée, une vieille barge qui semblait n'appartenir à personne. On y pataugeait dans trente à quarante centimètres de cette eau rougeâtre particulière au vieux canal. [...] Cette barge, où j'installai une grande caisse pour ma machine à écrire, une caisse moins importante pour mon derrière, allait devenir le vrai berceau de Maigret. Allais-je écrire un roman populaire comme les autres? Une heure après, je commençais à voir se dessiner la masse puissante et impassible d'un monsieur qui, me sembla-t-il, ferait un commissaire acceptable. Pendant le reste de la journée, j'ajoutais quelques accessoires : une pipe, un chapeau melon, un épais pardessus à col de velours. Et, comme il régnait un froid humide dans ma barge abandonnée, je lui accordai, pour son bureau, un vieux poêle de fonte.» Ainsi, serait apparu Maigret, commissaire divisionnaire au 36, quai des Orfèvres, dans un roman dont «le lendemain, à midi, le premier chapitre était écrit. Quatre ou cinq jours plus tard, le roman était terminé.». En fait, il avait déjà publié dans “L’œuvre”, sous le nom de Georges Sim, “La maison de l’inquiétude”, un roman dit «populaire» dont Maigret était déjà est le héros. Ce qui était né à Delfzijl était le premier livre publié sous son véritable nom, le 20 février 1931, le premier “Maigret” officiel : _________________________________________________________________________________ “Pietr le Letton” (1931) Roman La police internationale signale l'arrivée à Paris du célèbre escroc Pietr-le-Letton, qui n'a jusque-là pu être inculpé. Il y vient pour réaliser une des colossales escroqueries dont il est coutumier. Le commissaire Maigret, qui a reçu son signalement, le repère à sa descente de “L'Étoile-du-Nord”. Il s'apprête à le filer lorsqu'un employé du train l'entraîne vers un compartiment où gît le cadavre d'un homme qui est le parfait sosie de Pietr. Mais est-ce bien lui? Pour en être sûr, le policier retrouve la trace du premier voyageur à l’Hôtel Majestic. Tandis que ce dernier prend de mystérieux contacts avec un milliardaire américain, M. Mortimer-Levingston, avec lequel il a disparu, échappant à la surveillance des policiers parisiens, l'enquête sur le meurtre conduit Maigret à Fécamp où il aperçoit, sortant de la villa d'une certaine Mme Swaan, Pietr-le-Letton qu’il file jusqu'à un misérable hôtel de la rue du Roi-de-Sicile à Paris. Mais est-ce Pietr ou est-ce un sosie? Car Maigret entrevoit deux personnalités en cet homme : la superbe de l'habitué des palaces et la veulerie du client des galetas. Il fait de l'enquête une affaire personnelle quand son camarade Torrence est abattu. Les coups de théâtre se multiplient alors : Maigret est blessé et Mortimer assassiné, tandis que Pietr prend la fuite. La découverte d'objets personnels détenus par Anna Gorskine à l'hôtel du Roi-de-Sicile permet à Maigret de résoudre l'énigme des deux sosies : Hans, jumeau de Pietr, a toujours vécu sous l'ascendant de ce dernier, depuis leur enfance à Pskov et leur jeunesse d'étudiants à Tartu. Pietr le traitait comme son factotum et est allé jusqu'à épouser sa fiancée, Berthe. Excédé, Hans a fini par tuer son frère dans le train qui l'amenait de Bruxelles à Paris, et a pris sa place dans les négociations qui devaient faire de Mortimer-Levingston le banquier d'un réseau d'escrocs que Pietr mettait sur pied. Quant au meurtre du milliardaire, c'est Anna Gorskine qui l’a commis : les nouvelles fonctions de Hans n'allaient-elles pas nécessairement l'éloigner d'elle? Maigret finit par coincer le faux Pietr au bout de la jetée du port de Fécamp. Accablé, il fait au commissaire une confession dramatique où tout son passé malheureux lui remonte à la gorge et, sous les yeux de Maigret qui ne l'en empêche pas, il se loge une balle dans la bouche. _________________________________________________________________________________ Pour le lancement, le 20 février 1931, Fayard invita le Tout-Paris, dans une boîte de nuit huppée de la rue Vavin, "La boule rouge", à un “bal anthropométrique”, où les invités, Francis Carco, Colette ou le tout jeune Pierre Lazareff, prirent soin, comme il se doit, de laisser leurs empreintes digitales à l'entrée, étant déguisés en gangsters ou en prostituées. La presse se fit l’écho de l’événement. Le succès du roman fut immédiat et foudroyant. La même année 1931, Simenon publia onze livres, dont dix “Maigret”, son éditeur ne se faisant plus de mauvais sang pour leur sort car ils furent traduits en plusieurs langues, trois obtenant, le mois même de leur sortie, un contrat d'adaptation au cinéma. Dix-neuf volumes ouvrirent la première série. _________________________________________________________________________________ “ |
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