La littérature géologique montre que le «marbre de Purbeck» contient en abondance un petit gastropode fossile appartenant au genre








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date de publication08.07.2017
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La vogue et la diffusion du « marbre de Purbeck »
en Normandie aux xiie et xiiie siècles

Dominique Béneult :

beneultdominique@gmail.com

Géographie


La presqu’île de Purbeck est la partie du Dorset située au sud de la baie de Poole et de la rivière Frome (Wareham). Le « marbre de Purbeck » a été extrait dans la partie sud de la presqu’île, au sud des Purbeck hills.

Définition et mise au point


Les marbriers désignent comme marbre toute roche susceptible de prendre un beau poli, quelle que soit sa nature ; pour les géologues, le sens du mot est plus restrictif : un marbre est un calcaire métamorphisé par enfouissement et qui a donc subi une augmentation de température et de pression. Dans le cas du « marbre de Purbeck », le terme « pierre marbrière » serait le plus fédérateur pour réconcilier l’archéologue et le géologue et le marbrier.

Géologie


La littérature géologique montre que le « marbre de Purbeck » contient en abondance un petit gastropode fossile appartenant au genre Viviparus . C’est donc une lumachelle, roche sédimentaire calcaire formée essentiellement de coquilles entières ou brisées, majoritairement de Viviparus Cariniferus, avec quelques Ostrea Contorta et Unio.



La roche s’est formée à la limite du Jurassique supérieur et du Crétacé, il y a 145 Mo d’années, dans un paléo environnement bien différent de l’environnement actuel ; La paléo-latitude de l’Angleterre du sud est alors de 36° N, et le climat est méditerranéen chaud. Les ammonites sont absentes puisque le milieu est lacustre ou lagunaire, avec des eaux saumâtres et des périodes de dessiccation ; dinosaures et mammifères primitifs sont présents.

Le « marbre de Purbeck » affleure sur une bande étroite de dix-huit kilomètres à travers la presqu’île de Purbeck, de Worbarrow Tout à l’ouest à Peveril Point à l’est, à mi- pente sur le flanc nord des collines du sud de la péninsule. Des traces de carrières médiévales sont visibles dans ce secteur .L’exploitation manuelle de ces carrières a limité leur profondeur à six mètres environ. Les couches sont de faible épaisseur (inférieures à 0,60 m) et cette particularité a restreint l’utilisation de la pierre. La couche verte est surmontée de la couche rouge, elle-même surmontée de la couche bleue.

Malgré sa résistance aux outils, le « marbre de Purbeck » n’est pas considéré comme une roche durable : fragilisé par l’écrasement lorsqu’il est posé en délit, il s’écaille et se fend sous l’effet de l’altération. La variante brun-rouge de la couche du milieu est considérée comme la moins altérable par rapport aux couches vert-brun et bleu-gris.

L’usage ornemental en Angleterre : notes historiques.

Le « marbre de Purbeck » a été utilisé dès l’époque romaine pour la fabrication de mortiers, de pilons et de meules à grain. Les fouilles archéologiques ont aussi mis au jour des morceaux de placage et des éléments de décors façonnés. En revanche, les Romains n’ont pas sculpté le « marbre » local mais des marbres importés. Ces activités semblent s’éteindre au ive siècle.

L’activité d’extraction est en sommeil pendant la période saxonne. Habitués à sculpter la pierre de Caen, les Normands font venir des ouvriers et relancent l’utilisation du « marbre ». Les productions se multiplient : fonts baptismaux, reliquaires, pierres tombales ciselées, sarcophages et gisants en sont les témoignages. C’est au XIIe et au XIIIe siècle que la vogue atteint son apogée.

Au XIIe siècle, l’essor de la construction des cathédrales provoque une forte demande de « marbre de Purbeck ». Les contemporains sont séduits par la beauté de cette roche, ses nuances et sa capacité à prendre un beau poli.

L’aire de diffusion du « marbre de Purbeck » était surtout le sud-est de l’Angleterre, dans une zone limitée au nord par la ligne joignant la rivière Exe à l’estuaire du Wash. Quelques rares exemples d’utilisation de cette roche sont relevés dans d’autres régions de Grande-Bretagne, et en France.

Au XIVe siècle, l’activité autour du « marbre de Purbeck » décline en raison de sa mauvaise tenue à l’altération et à la compression lorsqu’il est utilisé en « délit », de la concurrence de pierres polies provenant d’autres régions, de la mode de l’albâtre et de l’engouement pour les statues peintes.

L’importation et la vogue du « marbre de Purbeck » en Normandie,

XIIe et XIIIe siècle.


Mes investigations, suscitées par une première détermination inédite, le couvercle de sarcophage de l’abbaye de Montebourg (Richard de Reviers ou de Redvers), se sont poursuivies par la consultation des publications anglaises de John Blair, Georges Dru Drury, Arthur Gardner et Brian et Moira Gittos, et les observations de Phillip Lankester, Treleven Haysom. Coté continental, les publications d’Alexandre Bigot, Arcisse de Caumont , Pascale Techer m’ont ont offert des pistes que j’ai exploitées et confirmées.(Voir la bibliographie in fine).

Je dois à Pascal Leroux (Musée de Normandie) et à Francois Saint James (Mont Saint –Michel) d’avoir pu déterminer trois dalles tumulaires inédites et à John Renouf, géologue Jersiais, d’avoir pu confirmer l’hypothése sur l’Abbaye de Beauport.

Brian et Moira Gittos (Church Monuments Society) ont traversé la Manche pour confirmer mes découvertes de Montebourg et de Caen et m’ont apporté le support de leurs connaissances en dalles funéraires de « Purbeck » et une solide bibliographie pour poursuivre la recherche.

Enfin, Richard et Jennifer Ainsworth ont participé à cette recherche par des photos, une visite à la carriére de Treleven Haysom, et des relevés de mesures sur les dalles funéraires de prieuré de Pamber End.

Tous ont fait avancer ma connaissance, ils en sont donc ici remerciés.

Une roche ornementale dédiée au domaine religieux.


Les recherches nous ont conduits uniquement dans la sphère religieuse : seul laïc, Richard de Reviers était également le protecteur puissant et généreux de l’abbaye de Montebourg ..

Figure 1 Montebourg Richard de Reviers

Les autres pierres tombales attribuées appartiennent à trois évêques (Lisieux, Bayeux, Coutances) et un abbé (village du Mont-Saint-Michel). Les deux fragments du dépôt lapidaire de l’abbaye du Mont-Saint-Michel ne sont pas renseignés, mais leur lieu de découverte les rattache également au monde religieux.



Figure 2 Coutances, évéque XIIIé

Le prix des pierres tombales importées les réservaient à de hauts dignitaires. Les autres occurrences consistent en du mobilier liturgique ou des éléments d’architecture abbatiale (Pontorson, Coutances, Mont-Saint-Michel, Paimpol). Les fonts baptismaux en « marbre de Purbeck », assez nombreux en Angleterre, ne semblent pas avoir été importés en France. À ce jour, aucun élément d’architecture civile en « marbre de Purbeck » n’est connu en France. Il est possible que le contexte religieux ait été plus favorable à la préservation.

L’identification de cette roche décorative importée d’Angleterre ouvre des interprétations nouvelles des objets archéologiques étudiés ; en complément de l’étude du décor et du style, l’acte d’importation nous renseigne sur la hiérarchie des valeurs vénales et symboliques par rapport aux productions indigènes. De telles importations ciblées pour le tombeau d’un dignitaire défunt ou pour un décor d’architecture mettaient en œuvre un flux de commandes vers l’Angleterre et un flux de marchandises vers la Normandie. Dans les cas étudiés, il est clair que tous les rôles étaient assurés par les religieux, soit en France comme prescripteurs, soit dans leurs établissements d’outre-Manche comme agents des prescripteurs. Ce surcroît de dépense d’argent et d’énergie était destiné à honorer plus spécialement un haut dignitaire religieux ou un bienfaiteur de l’institution religieuse, ou à embellir l’église ou l’abbaye d’un matériau rare et beau.



Figure 3 Diffusion du "marbre de Purbeck"

Vogue et déclin.


L’ensemble des relevés est situé en France de l’ouest, entre Lisieux et Paimpol. Lisieux est le point le plus éloigné de la mer (30 kilomètres). Le transport maritime de ces pierres est mis en évidence par Rosemary Leach qui donne comme aires de diffusion du marbre principalement le sud-est de l’Angleterre, près de la côte et là où le transport fluvial était possible, et par Ian West qui a identifié en 2004 quatre dalles funéraires de « marbre de Purbeck » provenant d’une épave maritime naufragée au large de Lepe Beach (Hampshire, Grande-Bretagne). Le transport maritime et ses risques, surtout vers la France, augmentait à la fois la valeur vénale et la valeur symbolique des tombeaux ou des éléments d’architecture d’édifices religieux.

L’analyse des datations connues de ces objets encadre la diffusion du « marbre » en France au plus tôt en 1107, date du décès de Richard de Reviers, et au plus tard à la fin du XIIIe siècle. Ce qui fait de la pierre tombale de Montebourg le premier élément repérable des importations. Les comparaisons avec les descriptions et les datations des tombes anglaises laissent à penser que l’ancienne abbaye de Montebourg détient l’une des pierres tombales les plus anciennes exécutées en « marbre de Purbeck », au tout début de la vogue médiévale de ce matériau importée de la « Normandie d’outre-Manche ». La reconquête de la Normandie par le roi de France a probablement mis fin progressivement à ce commerce d’importation, puisque nous n’avons pas identifié d’éléments postérieurs au XIIIe siècle, alors que la vogue du « marbre de Purbeck » n’a décliné en Angleterre qu’après le milieu du XIVe siècle.

Perspectives de recherche


Arcisse de Caumont mentionne des colonnes ou colonnettes dans plusieurs abbayes, dont celle du Mont-Saint-Michel ; mais il ne nomme pas les autres lieux – qui demandent à être localisés afin de mieux cerner l’importance de ce flux. La présence de tombes en « marbre de Purbeck » dans quatre évêchés contigus du domaine anglo-normand (Lisieux, Bayeux, Coutances, Avranches), toutes datées du XIIe ou du XIIIe siècle et attribuées à de hauts dignitaires religieux, évêques et abbés, invite à penser que d’autres découvertes sont possibles en Normandie, soit dans le mobilier funéraire, soit en réemploi, comme dans la cathédrale de Coutances. La présence d’éléments d’architecture dans le domaine breton voisin (abbaye de Beauport) ne peut qu’inciter à élargir la recherche. Deux pistes s’ouvrent à nous : le Domesday book et la collection Gaignières.

Le Domesday book.


Le Domesday book mentionne trente-cinq institutions religieuses « françaises » possessionnées en 1086, presque toutes situées suffisamment près de la mer (côté continent) pour faciliter le transport. Parmi celles-ci, six figurent sur notre liste ; la septième de notre liste, l’abbaye de Beauport, était également possessionnée au moment de sa fondation en 1202. Nous pouvons donc raisonnablement penser que les vingt-neuf autres pouvaient contenir des éléments en « marbre de Purbeck ».

La collection Gaignières


Un autre fil conducteur pourrait être la collection Gaignières qui contient un dessin, réalisé à l’abbaye Saint-Georges de Boscherville, d’une pierre tombale typique des productions de Purbeck. Nous soupçonnons également que la pierre tombale de l’abbé Marc (xiiie siècle, abbaye d’Ardenne, Saint-Germain-de-la-Blanche-Herbe) provenait des ateliers de Purbeck. Bien que ces deux pierres tombales semblent perdues, la collection Gaignières offre des perspectives intéressantes pour identifier par leur décor d’autres pierres tombales importées de la presqu’île de Purbeck.

Tab. 1. Caractéristiques des « marbres de Purbeck » étudiés (xiie-xiiie siècle).

Description

Localisation

Position

Nuance

Datation proposée

Identification

Décès

Décor

 Monuments funéraires




Couvercle de sarcophage

Montebourg

Ancienne abbaye : bas-côté nord

Gris-bleu

1107

Richard de Reviers

Gisant

Lisieux

Église St-Pierre : transept nord

Vert

1141

Jean 1er, évêque

Couvercle de sarcophage

Bayeux

Cathédrale : escalier sous la tour nord

Vert

1168

Philippe d’Harcourt, évêque

Couvercle de sarcophage (fragment)

Caen

Musée de Normandie : dépôt lapidaire

Bleu



Fin xiie s.

-

Couvercle de sarcophage

Coutances

Cathédrale : déambulatoire nord

Gris-bleu



xiiie s




Tombe (remontée au xixe s.)

Mont-Saint-Michel

Cour de l’ancienne école

À définir

1212

Jourdain, abbé du Mont

Fragment de couvercle

Abbaye : dépôt lapidaire

Brun-rouge



xiiie s.



Fragment de couvercle

Gris-bleu



xiiie s.



 Mobilier liturgique




Table d’autel

Pontorson

Église : autel majeur

Vert



Réemploi de pierre tombale ?

 Architecture




Colonnettes et chapiteaux

Mont-Saint-Michel

Abbaye : cloître et dépôt lapidaire

Brun-rouge

1228 (1)



Colonnes

Paimpol

Abbaye de Beauport : parloir, sacristie,

Gris- bleu



xiiie s.

Réemplois 

Colonnettes, chapiteaux, bases

Abbaye de Beauport : cloître

Gris-bleu



xiiie s.



Fragments de colonnes et colonnettes

Abbaye de Beauport : dépôt lapidaire

Gris-bleu



xiiie s.



Fragments de colonnettes

Vert



xiiie s.



Deux fragments en réemploi

Coutances

Cathédrale : marche entrée sud ; nef, près du portail central ouest

Vert

_

Réemplois de pierre tombale ?

(1) Fin de la construction du cloître.

(Publiés par A. Bigot)

(Publiés en G.B.

(Inedits)

Indications bibliographiques essentielles :


Dominique BENEULT, « La vogue du « marbre de Purbeck » en Normandie au XIIème et XXIIIème siècle », Revue de la Manche, N° 229, 2015.

Dominique BENEULT, John RENOUF « Une présence Anglaise à Beauport : le « marbre de Purbeck » (XIIIème siècle), Les cahiers de Beauport, N°20, 2015.

Alexandre Bigot, « L’origine des colonnettes du cloître du Mont-Saint-Michel. », Bulletin de la Société des Antiquaires de Normandie, n° 45, 1937, disponible sur le site Gallica de la BNF.

John Blair, English Medieval Industries, Hambledon Press, 1991, chapitre 3 .

Arcisse de Caumont, « Relation d’une promenade archéologique faite en Bretagne », Bulletin monumental, 1850, 2e série, tome 6, 16e volume, disponible sur le site Gallica de la BNF.

Georges Dru Drury, « The Use of Purbeck Marble in medieval times », Proceedings of the Dorset Natural History and Archeological Society, 1948, tiré à part.

Arthur Gardner, A handbook of English medieval sculpture, Cambridge University Press, 1937.

Charles de Gerville, « Recherches sur les abbayes du département de la Manche », Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie, vol. II, 1825.

Brian et Moira Gittos, « Purbeck marble cross slab in Normandy », Church monuments society newsletter, n° 7, 1992.

Rosemary Leach, An investigation into the use of Purbeck Marble in Medieval England, Éd. Leach R., 1978.

Geoffrey Norris, An Engineering Perspective on the Industrial Archaeology of the Purbeck Stone Industry, thèse de doctorat dactylographiée, Bournemouth University, 1994.

Complémentaires:

J. Adhemar, « Les tombeaux de la collection Gaignières », tome 1, Gazette des Beaux-Arts, 1974.

William Joscelyn Arkell, The Geology of the Country around Weymouth, Swanage, Corfe & Lulworth, Memoirs of the Geological Survey of Great Britain, Her Majesty’s Stationery Office, London, 1947,

C. Michael Barton et al., Geology of south Dorset and south-east Devon and its World Heritage Coast, British Geological Survey, 2011

Germain Bazin, Le Mont St-Michel, Histoire et Archéologie de l’origine à nos jours, Hacker Art Books, New York, 1978.

Elizabeth Brown, « The Oxford collection of the drawings of Roger de Gaignières and the royal toms of Saint-Denis », Transactions of the American philosophical society, vol. 78, part 5, 1988, appendix.

Vincent Debiais, « Inscriptions funéraires et édifices religieux : formes et fonctions des épitaphes des abbés et abbesses, nord-ouest de la France, xe-xive siècles », Inhumations et édifices religieux au Moyen Age entre Loire et Seine, dir. Armelle Leduc-Le Bagousse, CRAHM, 2004,

Alain Foucault, Jean-François Raoult, Dictionnaire de géologie, Éditions Dunod, 6e éd., 2005).

Françoise Laty, Pierre Bouet, Gilles Desire Dit Gosset, « La Cathédrale de Coutances, Art et Histoire. », Actes du colloque de Cerisy 2009, OREP Éditions, 2012, photo p. 13 et note bibliographique n° 221.

Christophe Mauduit, « L’Abbaye de Montebourg en Angleterre (xie-xiiie siècle) », Tabularia, « Études », Centre de recherches archéologiques et historiques anciennes et médiévales (CRAHM), Caen, n° 11, 2011.

Amélie Nabucet, « Les possessions britanniques de l’abbaye de Beauport », Les cahiers de Beauport, n° 14.

Raymond Perrier, Les roches ornementales, éditions Pro Roc, 2004.

Pascale Techer, « Mémoires de pierres. Du dépôt lapidaire à une redécouverte de l’Abbaye », Les cahiers de Beauport, n° 14, Paimpol, 2009. Pascale Techer a dressé l’inventaire du dépôt lapidaire de l’abbaye de Beauportµ ;

Pascale Techer, « Le dépôt lapidaire de l’abbaye Notre-Dame de Beauport, une invitation à la relecture de cinq siècles d’architecture », Regards sur les dépôts lapidaires de la France du Nord, dir. Delphine Hanquiez, CRAHM, 2011.

Jo Thomas, Dorset Stone, The Dovecote Press Ltd, 2004.

Eugène Viollet Le Duc, Dictionnaire raisonné de l’Architecture Française du xau xiisiècle, disponible sur Wikisource.

Vitruve, (VII, 9), disponible sur le site Gallica de la BNF.

Ian Michael West, Geology of the Wessex Coast of Southern England, disponible sur www.southampton.ac.uk/~imw consulté le 17 janvier 2015.

« Découverte d’un sarcophage dans la cathédrale », Semaine religieuse du Diocèse de Coutances et Avranches, n° 45, 6 novembre 1902, p. 823-824, bibliothèque diocésaine, Coutances.

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