Essais l’








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Alberto Manguel, Préface, à Valery Larbaud, 200 Chambres 200 salles de bains 1927, Paris, du Sonneur,  p. 15.

147 Valery Larbaud, 200 Chambres 200 salles de bains, op. cit., p. 45.

148 Ibid., p.44.

149 Ibid., p.19.

150 Ibid., p. 56.

151 Donatien Alphonse de Sade, Voyage à Naples, Paris, Payot & Rivages, 2008 (préface de Chantal Thomas), extrait du Voyage d’Italie [1776], Paris, Fayard, 1995 (éd. Maurice Lever), pp. 29-30.

152 Matilde Serao, dans son célèbre roman Il Paese di cuccagna (1890), donna à la métaphore une portée tragique en décrivant l’asservissement au jeu du lotto dont les Napolitains convoitent aveuglément le mirage de l’enrichissement rapide.

153 Donatien Alphonse de Sade, Voyage à Naples, op. cit., p.111.

154 Dominique Vivant Denon, Voyage au royaume de Naples, op. cit., pp. 81-82. Saint-Non, retranscrivant les notes de Denon, n’a pas amplifié la barbarie. En revanche, il ajoute une note finale humoristique : « Le plus ingambe en emporte le plus, et est reporté en triomphe par ses camarades ; je dis reporté parce qu’ils remplissent leurs poches au point de ne pouvoir plus se remuer » (Abbé de Saint-Non, Voyage pittoresque ou Description des royaumes de Naples et de Sicile, Paris, 1781, t.I, p.230).

155 Donatien Alphonse de Sade, Histoire de Juliette (1797), in Œuvres complètes, Paris, Gallimard, Pléiade, tome III (éd. Michel Delon), pp. 1085-1086.

156 Id., Voyage à Naples, op. cit., pp. 30-32.

157 Id, Histoire de Juliette, pp. 1086-1087. Sade se serait inspiré de la terrible bousculade qui, lors du mariage du futur Louis XVI et de Marie-Antoinette, le 30 mai 1770, provoqua la mort de cent trente spectateurs environ, soit il s’est prévalu de la souveraineté de la littérature. Notons que cette hécatombe n’est cependant pas représentée dans les gravures qui illustrent le roman.

158 Roland Barthes, Sade, Fourier, Loyola, Paris, Seuil, 1971, p. 150.

159 Ibid., p. 1069.

160 Ibid., p.1072.

161 Gaston Bachelard, L’Air et les songes, Paris, Corti, 1943, p.7.

162 Donatien Alphonse de Sade, Voyage à Naples, op. cit., p.192.

163 Ibid., p. 194

164 Ibid., p. 215.

165 Ibid., pp. 216-217.

166 Charles de Brosses, Lettres familières écrites d’Italie en 1739 & 1740, Paris, Librairie académique, 1869 (éd. Romain Colomb) http://books.google.be/op. cit., p.367.

167Donatien Alphonse de Sade, Histoire de Juliette, op. cit., p.685.

168 Ibid., p. 1067.

169 Michel Delon, L’Idée de l’énergie au tournant des lumières, Paris, PUF, 1988, p.194

170 Donatien Alphonse de Sade, Histoire de Juliette, op.cit, p. 1102.

171 Ibid., p. 1102.

172 Ibid.,p. 1104.

173 Ibid., p. 1108.

174 Michel Delon, L’Idée de l’énergie au tournant des lumières, op. cit., p. 195.

175 Pierre Klossowski, « Le Philosophe scélérat » [1947], in Sade mon prochain, Paris, Seuil, 1967, pp. 52-53.

176 Roland Barthes, Sade, Fourier, Loyola, Paris, Seuil, 1971, p. 154.

177 Ibid.., pp. 140-141.

178 Ibid., p. 130.

179 Roland Barthes, Leçon [7 janvier 1977], Paris, Seuil « Points Essais », 1989, p. 13.

180 Ibid., p. 14.

181 Ibid. p. 16.

182 Gilles Deleuze, évoque l’usage de l’adverbe « trop » chez Platon qui à la fois fixe les limites du langage mais aussi « outrepasse les limites et les restitue à l’équivalence infinie du devenir illimité » (Logique du sens, Paris, Minuit, 1969, p. 10).

183 « En amont des engagements militants et pourvu d’une force infiniment supérieure, le qualificatif ‘dérangeant’ reste littéralement, jusqu’à son acception organique (voir Céline), le propre de la littérature, assurant son porte-à-faux sur l’avenir » (Denis Bertrand in Amir Biglari (éd.), Entretiens sémiotiques, Paris, Lambert Lucas, 2014, p. 52) ; Antoine Compagnon qualifie à son tour la littérature de « perturbante », « bouleversante ».

184 Daniel Sangsue, Traversées romantiques des Alpes, op. cit., p. 9.

185 Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, t. I., op.cit, p. 282.

186 Id, Le Corricolo, pp. 32-33. Ce rite est rappelé par plusieurs auteurs : « Les femmes se passent de manger pour parvenir à avoir des boucles d’oreilles qu’elles sont souvent obligées de mettre en gage quelques jours après les avoir achetées ; elle ne les en retirent que pour paraître un jour de Pie di Grotta […] ». (Dominique Vivant Denon, Voyage au royaume de Naples, op. cit., p. 65). Les origines de la fête remontent aux bacchanales mentionnées par Pétrone dans son Satiricon, destinées à favoriser la fécondité et célébrées en honneur du dieu Priape. La nature orgiaque de la fête demeura immuable pendant plusieurs siècles malgré l’avènement du christianisme, jusqu’à ce que la fête archaïque des pêcheurs fût incorporée dans la religiosité chrétienne par la construction d’une petite chapelle, surgie, selon la légende, dans le lieu où trois personnes avaient rêvé de la Vierge. Celle-ci, transformée ensuite en église, devint le centre de la dévotion du bourg marin et de sa fête qui fut fixée le 8 septembre, jour de la nativité de Marie. Selon Suétone, Néron lui-même quand il séjourna à Naples fit une halte à Piedigrotta pour exhiber son chant devant les citoyens. Actuellement elle est devenue la fête de la musique napolitaine.

187 Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, t.I.,op. cit.,p. 288.

188 Ibid., pp. 534-535.

189 Goethe assista au carnaval en 1787 depuis sa chambre, située à un lieu stratégique, 18 via del Corso, après avoir logé dans l’auberge de l’Ours où avait séjourné Montaigne.

190 Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, t. I., op. cit. , p.518

191 Ibid., p. 438.

192 Ibid., p. 447.

193 François Taillandier, « Introduction » à Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, t. I., op. cit., p. 11.

194 Roland Barthes, « Le troisième sens » (1970), in L’Obvie et l’obtus, op. cit., p.58.

195 Donatien Alphonse de Sade, Voyage à Naples, op. cit., p. 31.

196 Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, t. I., op. cit., p. 505.

197 Paul Ricœur, Temps et récit, t. III, op. cit., p. 247

198 Valery Larbaud, 200 Chambres 200 salles de bains, op. cit., pp. 56-57

199 Bertrand Westphal, Le Monde plausible, op. cit., p. 151.

200 Ibid. Westphal renvoie ici à La Mesure du monde de Paul Zumthor.

201 Marcel Proust, A l’Ombre des jeunes filles en fleurs, op. cit., p. 17.

202 Ibid., p. 32.

203 Ibid.

204 Roland Barthes, Le Plaisir du texte, op. cit., p. 25-26.

205 Cf. Paul Ricœur, Temps et récit, t. III, op. cit.

206 Marcel Proust, À l’Ombre des jeunes filles en fleurs, op. cit., p. 18

207 Ibid.

208 Cf. Paul Ricœur, Philosophie de la volonté. T. II. Finitude et culpabilité, Paris, Aubier, 1960. Nicolas Bouvier, homme du terrain en la matière, attribue cette acuité à un état de privation : « Le voyage fournit des occasions de s’ébrouer mais pas – comme on le croyait – la liberté. Il fait plutôt éprouver une sorte de réduction : privé de son cadre habituel, dépouillé de ses habitudes comme d’un volumineux emballage, le voyageur se trouve ramené à de plus humbles proportions. Plus ouvert aussi à la curiosité, à l’intuition, au coup de foudre ». (Nicolas Bouvier, L’Usage du monde (1963), Paris, Payot, 2001, p. 80)

209 Régis Debray, Éloge des frontières, Paris, Gallimard, 2010, pp. 28-29. 

210 Jean Bellemin-Noël, Le Transhumant. Autochroniques, Paris, Hermann, 2013, p.9.

211 Ibid., pp.15-16.

212 Ibid., p.18.

213 Ibid., p.20.

214 Cf. Heinz Wismann, Penser entre les langues, Paris, Albin Michel, 2012.

215 Régis Debray, Éloge des frontières, op. cit., p.20

216 Bertrand Westphal, « Pour une approche géocritique des textes », in La Géocritique mode d’emploi, Limoges, Pulim, 2000, p.14.

217 Gilles Deleuze et Félix Guattari, « 1227- Traité de nomadologie : la machine de guerre », Mille plateaux, Paris, Minuit, 1980, p. 132.

218 Michel de Montaigne, « De la Vanité », op. cit., p. 430.

219 Régis Debray, Contre Venise, Paris, Gallimard, 1995, p. 20.

220 Ibid., p. 90.

221 Ibid., p. 24.

222 Ibid., p. 29

223 Ibid., p. 30.

224 Ibid., p. 31.

225 Ibid., p. 31-32.

226 Ibid., p.35.

227Alberto Savinio, Capri [1926], Adelphi, 1988, p. 18, nous traduisons.

228 Le concept de zone critique fut développé par Jean-Marie Floch dans une étude consacrée aux usagers du métro parisien qui adoptent différentes attitudes-types à l’égard de la composition des itinéraires qui s’offrent à eux et, en particulier, des obstacles ou discontinuités dans l’espace qui doivent être négociés (comme on dit « négocier un virage ») : escaliers, quais, portillons, poinçonneuses, signalétique, publicité. Ces zones sont critiques pour la simple raison qu’elles opposent des scènes concurrentes aux pratiques prévisibles de l’usager. (cf. Jean-Marie Floch, Sémiotique, marketing et communication, Paris, PUF, 1990).

229 Michel Onfray, Théorie du voyage. Poétique de la géographie, Paris, Librairie Générale Française « Le Livre de Poche », 2007, p. 37.

230 Cf. Michel Foucault, Histoire de la folie à l’âge classique, Paris, Gallimard, 1972.

231 Charles Baudelaire, « Bohémiens en voyage », Les Fleurs du mal, op. cit., pp.27-28.

232 Marcel Proust, « A l’Ombre des jeunes filles en fleurs, op. cit., p. 6.

233 Tatjana Barazon, « La Soglitude - aperçu d’une méthode de la pensée des seuils » in Conserveries mémorielles, n.7, http://cm.revues.org/430. Barazon explique que le mot est dérivé de soglia, terme italien désignant le seuil, et que la prononciation doit respecter ce « g » qui donne au retrait solitaire « la possibilité d’aller vers l’autre, de s’ouvrir au monde, et de cesser d’être repli sur soi. » Inspirée en partie de l’élan vital de Bergson, la soglitude ouvre à une poussée vers la vie, donc à un point de vue nouveau à chaque instant sur les divers possibles qui s’offrent à nous. 

234 Mikhaïl Bakhtine, « Forme du temps et du chronotope », art.cit., p. 387.

235 Ibid.

236 Alexandre Dumas, Impressions de voyage. Une année à Florence [1841], University of Michigan Library, 2009.

237 Dominique Vautier, Tous les chemins mènent à Rome. Voyages d’artistes du XVIe au XIXe siècle, Bruxelles, Fonds Mercator, Musée d’Ixelles, 2007, p. 77.

238 Maximilien Misson, Nouveau Voyage d’Italie, 1691, in ibid., p.82.

239 Pierre Bayard, Comment parler des l’on n’a pas été ?, op. cit., p.15.

240 Michel de Montaigne, Journal de voyage en Italie, op. cit. p. 29

241 Philippe-Auguste Hennequin, Mémoires, vers 1790, in Dominique Vautier, Tous les chemins mènent à Rome, op. cit., p.88)

242 Stendhal, Vie de Henry Brulard, dans Œuvres intimes, éd. V. Del Litto, Paris, Gallimard (Pléiade), t. II, 1982, p.658.

243 Daniel Sangsue, Passages romantiques des Alpes, op. cit. p.86.

244 Stendhal, Vie de Henry Brulard, op. cit., p.940.

245 Ibid., p.949.

246 Ibid., p. 947.

247 Ibid., p. 944.

248 Ibid., p. 956.

249 Ibid., p. 957.

250 Dante Alighieri, La Divine Comédie. Le Paradis, trad. Jacqueline Risset, Paris, Flammarion, 1990, XXIII, pp. 61-63.

251 « Déjà me furent douces invites à remplir les pages / les lieux suaves. »

252 Stendhal, La Vie de Henry Brulard, op. cit., p.957.

253 Id., Écoles italiennes de peinture, in Dominique Fernandez, Le Musée idéal de Stendhal, op. cit., p.152.

254 Les Chroniques furent écrites à Paris de 1836 à 1839 en congé de son poste de consul de France à Civitavecchia et inspirées de vieux manuscrits italiens (récits de la Renaissance violents et passionnés) que Beyle découvre et fait copier en 1833 alors qu’il s’ennuie dans le petit port où il officie. Après la mort de Stendhal, son cousin Romain Colomb, qui était son exécuteur testamentaire, trouve le titre Chroniques italiennes pour le volume des éditions complètes paru chez Michel Lévy en 1855. À cette occasion, Vanina Vanini, publiée en 1829 dans la Revue de Paris, est ajouté à la série initiale. Ce récit avait valu à Stendhal l’extradition de l’Italie, pour avoir montré trop d’empathie envers le carbonarisme.

255 Pierre Brunel, « Préface » à Stendhal, Rome, Naples et Florence, op. cit., p.9.

256 « Lors d’un passage à Lyon avec Rénée-Pélagie, son épouse, il avait recruté plusieurs domestiques pour La Coste : un secrétaire de quinze ans, cinq filles servantes du même âge, et une chambrière de vingt-quatre ans, Nanon. Après un hiver où toute cette petite société vit isolée dans le château, Nanon est enceinte, les jeunes gens se sont enfuis, ils se plaignent de mauvais traitements, de violence, d’abus et les parents portent plainte. […] Son “grand tour” ne se décide donc pas dans la sérénité. Et si une véritable passion de l’érudition et de la découverte anime le marquis, il est juste de préciser qu’elle s’accorde avec une urgente nécessité de se soustraire à la justice. » (Chantal Thomas, préface à Sade, Voyage à Naples, op. cit., pp. 11-13.)

257 Donatien Alphonse de Sade, Histoire de Juliette, op. cit., p.685.

258 Ibid.

259 Ibid., pp. 738-739.

260 Bertrand Westphal, « Pour une approche géocritique des textes », art. cit., p. 3.

261 Charles de Brosses, Lettres familières, op. cit., p.181.

262 Dominique Vivant Denon, Voyage au royaume de Naples, op. cit., p.47.

263 Michel de Certeau, « Naval et carcéral » in L’Invention du quotdien 1, op. cit., p. 167.

264 Ibid., p.167.

265 Ibid., p.168.

266 Ibid.

267 Ibid.

268 Ibid., p.169.

269 Marcel Proust, À l’Ombre des jeunes filles en fleurs, op. cit., p. 5.

270 Ibid., pp. 27-28.

271 Ibid., p. 28

272 Ibid., p. 31.

273 Ibid., pp. 31-32.

274 Ibid., p. 194.

275 Ibid., p. 278.

276 Sigmund Freud, L’Inquiétante Étrangeté, (Das Unheimliche, 1919), Paris, Gallimard « folio/essais », 1985, p.215.

277 Ibid., pp. 239-240.


278 Niccolò Machiavelli, Il Principe, Roma, Newton & Compton, 1998, p. 33, nous traduisons.

279 Jacques Fontanille, « Formes tensives et passionnelles du dialogue des sémiosphères », in La Géocritique mode d’emploi, op. cit., p. 117.

280 Ibid., p.118.

281 Vincent Descombes, Proust. Philosophie du roman, Paris, Minuit, 1987, pp. 173-193.

282 Marcel Proust, À l’Ombre des jeunes filles en fleurs, op. cit., pp. 39-40.

283 Ibid.., p.67.

284 Ibid., pp.111-112.

285 Jean Portante, Ouvert Fermé, Echternach, Phi, 1994, p. 62.

286 Stendhal, Rome, Naples et Florence, op. cit., p. 337.

287 Catherine Detrie, Du Sens dans le processus métaphorique, Paris, Honoré Champion, 2001.

288 Charles de Brosses, Lettres familières, op.cit, p. 78.

289 Charles Mercier Dupaty, Lettres sur l’Italie, à Rome, 1785, in Dominique Vautier, Tous les chemins mènent à Rome, op. cit., p.190 (nous soulignons).

290 Stendhal, Rome, Naples et Florence en 1817, Paris, Delaunay & Pelicier, 1817, p.75.

291 Charles de Brosses, Lettres familières, op. cit., p. 45.

292 Louise Colet-Revoil, L’Italie des Italiens, 1862, in Dominique Vautier, Tous les chemins mènent à Rome, op.cit, p. 151.

293 Montesquieu, Lettre à Madame de Lambert, 26 décembre 1728, p.XIX.

294 Victor Segalen, Essai sur l’exotisme, op. cit., p.44.

295 Aimé Césaire, Discours du colonialisme, Paris, Présence africaine, 1955, p.11.

296 Bertrand Westphal, La Géocritique, op. cit., p. 201.

297 Michel de Montaige, Journal de voyage, op. cit.,p. 17.

298 Id., « De la Vanité », op. cit.,p. 435

299 Ibid.

300 Id., Journal de voyage, op. cit., p. 79.

301 Ibid.

302 Pour d’autres coutumes et expression locales, voir Silvio Perrella, Giùnapoli, Vincenza, Pozza, 2006.

303 Stendhal, L’Italie en 1818, in Pierre Brunel, Préface à Stendhal, Rome, Naples et Florence, op. cit., p. 7.

304 Chevalier Louis de Jaucourt, « Voyage », art. cit., p.477. Jaucourt cite ici un passage des Essais, I. 25.

305 François Rabelais, Gargantua, in Œuvres, Paris, Dalibon, 1823, p. 471.

306 Michel de Montaigne, « Des Cannibales » in Essais I, Paris, P.Villey et Saulnier, 1595, p. 85.

307 Id, « De la Vanité », op. cit. , p. 435.

308 Stendhal, Rome, Naples et Florence en 1817, op. cit., p. 130.

309 Guy de Maupassant, La Vie errante, op. cit. , p. 78.

310 Edward T. Hall, La dimension cachée, Paris, Seuil, 1971 (The Hidden Dimension, Anchor Books, 1966).

311 Michel de Montaigne, « De la Vanité », op. cit., p. 435.

312 Ibid.

313 Ibid.

314 Valery Larbaud, Journal intime, op. cit., pp.191-192.

315 Ibid.

316 Madame de Staël, Corinne ou l’Italie, op. cit., p. 188.

317 Marcel Proust, À l’Ombre des jeunes filles en fleurs, op. cit., p. 40.

318 Ibid., p. 39.

319 Ibid., pp. 39-40.

320 Ibid., p. 41.

321 Ibid.

322 Walter Lippmann, Public Opinion [1922], Filiquarian Publishing, 2007, p.16 (nous traduisons).

323 Jacques Fontanille, « Formes tensives et passionnelles », art.cit., p.119.

324 Ibid., p.120.

325 Stendhal, Rome, Naples et Florence en 1817, op. cit., p. 241.

326 Geert Hofstede, Vivre dans un monde multiculturel, Paris, Les éditions d’organisation, 1994 (Allemaal andersdenkenden, omgaan met cultuurverschillen, Amsterdam, Contact, 1991).

327 Jean de la Fontaine, « Le Rat et l’éléphant », in Fables, livre VIII, 15.

328Alexandre Dumas, Le Corricolo, op. cit., p.29.

329 Roland Barthes, Leçon, op.cit, p. 15.

330 Cf. Les travaux de Per Aage Brandt.

331 Montesquieu, Voyage en Italie [1728] in Voyages de Montesquieu, Bordeaux, Gounouilhou, 1894 (incomplet, s’achève à Terracine, avant l’arrivée à Naples), la suite dans Viaggio in Italia, Bari, Laterza, 1971, p. 221 (nous traduisons et soulignons).

332 Ibid., p. 222.

333 Ibid. (nous soulignons)

334 Montesquieu, Voyage en Italie, op. cit.

335 Charles de Brosses, Lettres familières, op. cit., pp. 348.

336 Ibid., p.349.

337 Donatien Alphonse de Sade, Voyage à Naples, op. cit., p. 124.

338 Sade, Voyage à Naples, op. cit., pp. 124-125.

339 Dominique Vivant Denon, Voyage au royaume de Naples, op. cit., p .69.

340 Ibid., p. 70

341 Ibid., p. 73.

342 Théophile Gautier, Arria Marcella, op. cit., p. 51.

343 Dominique Vivant Denon, Voyage au royaume de Naples, op. cit. p. 68.

344 Ibid., p. 219.

345Ibid., p. 224, nous soulignons.

346 Roger Peyrefitte, Du Vésuve à l’Etna, op. cit., p. 24. On relira tout le chapitre qui passe en revue toutes les réfutations scientifiques (pp. 7-24).

347 Jacques Fontanille et Claude Zilberberg déclinent la fiducie ou « fidélité sémiotique » en deux versions : « la confiance pour la relation intersubjective et la croyance pour la relation sujet/objet » (Jacques Fontanille & Claude Zilberberg, Valeur/Valence, Limoges, Pulim, 1996, p. 198).

348 Alphonse de Lamartine, Graziella, op. cit., p. 67.

349 Montesquieu, De l’Esprit des lois (1748) livre XIV, chapitre II. 

350 Ibid., XXI, II.

351 Mathieu Couty, Introduction à Dominique Vivant Denon, Voyage au royaume de Naples, op. cit., p.31.

352 Dominique Vivant Denon, Voyage au royaume de Naples, op. cit., pp.52-53

353 Ibid., pp. 244-245.

354 Ibid., p. 61.

355 Ibid., p.62.

356 Claude Lévi-Strauss, La Pensée sauvage, Paris, Plon, 1962, pp. 236-327.

357 Stening & Everett, 1979, p. 203.

358 Ruth Amossy & Anne Herschberg Pierrot, Stéréotypes et clichés [1997], Paris, Armand Colin, 2011, p.15

359Ibid., p.28.

360 Walter Lippmann, Public Opinion, op. cit., p. 16.

361 Ruth Amossy & Anne Herschberg Pierrot, Stéréotypes et clichés, op. cit.., p. 96.

362 Ibid., p. 17.

363 La tiercéité et la priméité sont des catégories du général ; mais la généralité de la priméité est de l’ordre du possible, et celle de la tiercéité est de l’ordre du nécessaire et, par conséquent, de la prédiction. La loi de la pesanteur, par exemple, nous permet de prédire que chaque fois que nous lâcherons une pierre, elle tombera sur le sol.


364 Friedrich Nietzsche, Uber Wahrheit und Lüge in auβermoralischen Sinne, 1873.

365 Gilles Deleuze, L’Image-temps, Paris, Minuit, 1985, p. 32.

366 Cf. Ruth Amossy & Elisheva Rosen, Les Discours du cliché, Paris, CDU, SEDES, 1982.

367 Cf. Gordon Allport, The Nature of Prejudice, Reading, MA, Addison-Westley, 1954, p. 187.

368 Ruth Amossy & Anne Herschberg Pierrot, Stéréotypes et clichés, op. cit., p. 30.

369 Ibid., pp. 30-31.

370 Robert Moran, « National Stereotypes : how far can we trust them ? », International Managament, March 1987, p. 58.

371 Cesare de Seta, L’Italia delGrand Tour, op. cit., p. 155.

 Mathieu Lindon « Les très riches heures de Valéry Larbaud », Libération, 9 juillet 2009, à l’occasion de la publication de son Journal intégral

372 Valery Larbaud, Journal intime, op. cit., p.248.

373 David Le Breton, « Anthropologie du visage : fragments », in Le visage en textes et en images. Regards croisés de l’antiquité à nos jours (éd. Laurent Guido, Martine Hennard Dutheil de la Rochère, Brigitte Maire, Francesco Panese et Nathalie Roelens) Lausanne, BHMS (à paraître 2015).

374 Francis Ponge, « Le Cycle des saisons », in Le Parti pris des choses [1942], Paris, Gallimard, 2011, p. 28.

375 Marc Augé, Non-lieux, op. cit., p. 40.

376 Ellen Seiter, « Stereotypes and the Media.A Re-evaluation », Journal of communication, spring 1986, p. 17 (nous traduisons).

377 Dominique Vivant Denon, Voyage au royaume de Naples, op. cit., p.59.

378 Cf. Omar Calabrese, L’Età neobarocca, Bari, Laterza, 1987.

379 Cf. Jean-Noel Schifano, Dictionnaire amoureux de Naples, Paris, Plon, 2007.

380 Stendhal, Rome, Naples et Florence, op. cit. p. 338.

381 François-René de Chateaubriand, Voyage en Italie, op. cit., pp. 41-42.

382 Germaine de Staël, Corinne, op. cit., p. 42.

383 Ibid., p.46-47.

384 Ibid., p. 47.

385 Ibid., p. 47-48.

386 Ibid., p. V

387 Ibid, p. 49.

388 Ibid.

389 Ibid., p.50.

390 Ibid., p.51.

391 Ibid., p.51-53.

392 Joachim du Bellay, « Heureux qui comme Ulysse », in Les Regrets, 1558.

393 Dominique Vivant Denon, Voyage au royaume de Naples, op. cit., p. 56.

394 Stendhal, Rome, Naples et Florence, op. cit., p. 70.

395 Ibid., p. 63.

396 Ibid., p. 56.

397 Ibid., p.321.

398 Ibid., p.323.

399 Ibid., p.324.

400 Stendhal, « 9 février 1817 », Rome, Naples et Florence en 1817, op. cit., p. 182

401 Jean Giono, Voyage en Italie, Paris, Gallimard, 1954, p. 85.

402 Ibid., p.85.

403 L’abbé de Saint-Non, cité par Roger Peyrefitte, Du Vésuve à l’Etna, op. cit., p. 86.

404 Gustave Flaubert, Madame Bovary [1857], Paris, Garnier, 1971, p. 53.

405 David Herbert Lawrence Lady Chatterley, Paris, Librairie Générale Française «  Le Livre de Poche », 1991, p.330.

406 Ruth Amossy, Les idées reçues. Sémiotique du stéréotype, Paris, Nathan, 1991, pp.21-22.

407 Cf. Gian Maria Tore,  « La réflexivité : une question unique, des approches et des phénomènes différents », Signata, 4, 2013, pp. 49-79. 

408 Roland Barthes, « Rhétorique de l’image », art. cit., p.39..

409 Ibid.

410 Valery Larbaud, Journal intime, op. cit., pp. 112-114

411 De même qu’on appelle Naples Little Afrika en raison de l’immigration sub-saharienne (Jean-Noel Schifano, Le vent ne sait pas où il va, Paris, Fayard, 2010, p. 113).

412 Théophile Gautier, La Toison d’or [1839], Paris, Lemerre, 1897, pp. 226-227.

413 Cet attrait récent pour les différences culturelles plonge cependant ses racines plus en amont et dans des domaines aux antipodes de la communication d’entreprise : en philosophie, en esthétique et en sémiologie. L’historien suisse Heinrich Wölfflin a ainsi distingué, dans son célèbre ouvrage de 1888 intitulé Renaissance et Baroque, rédigé suite à un long séjour à Rome, le concept de style ou de forme fondamentale en opposant le classicisme de la renaissance italienne au baroque nordique. Il développe cinq couples de « catégories optiques », qui vont opposer l’art du XVIe siècle classique italien, à l’art du XVIIe siècle baroque allemand : le linéaire et le pictural, les plans et les profondeurs, la forme fermée et la forme ouverte, la multiplicité et l’unité, et enfin la clarté et l’obscurité. Ces catégories demeurent intéressantes, malgré la désuétude reconnue de son système, qu’il a lui-même voulu amender en 1933 dans Une Révision en guise d’épilogue. Wölfflin baigne dans une culture allemande qui avait, surtout avec Herder, forgé l’idée romantique de génie national. Il étudie aussi longuement Albrecht Dürer dans Die Kunst Albrecht Dürers (1905), ou dans Italien und das Deutsche Formgefühl, dans lequel il aborde encore le rapport entre le Nord et le Sud (Michelange vs Dürer). Il part de la notion de style qu’il considère comme l’expression de l’état d’esprit d’une époque et d’un peuple, autant que du tempérament personnel, « un style d’école, un style de pays, un style de race ». On peut y déceler une vision nationaliste dans la mesure où il distingue un sentiment de la forme germanique et un sentiment de la forme italienne, une manière propre aux Italiens, une autre propre aux Allemands. L’Art d’un peuple atteint son apogée à une certaine époque. L’Italie a été à un moment donné la plus haute école de l’Europe et a incarné de la façon la plus claire un Idéal universel. Rubens serait conditionné par le sentiment du style méridional. En insistant sur ce fait, Wölfflin montre bien qu’il ne confère pas la même grandeur à l’Allemagne et au baroque, qui n’ont eux, rien enseigné au Sud.

414 Cesare de Seta, L’Italia del Grand Tour, op. cit. p.155, nous traduisons

415 Léon Paul Fargue, Le Piéton de Paris, 1932, Paris, Gallimard « l’Imaginaire », pp.215-216.

416 Alphonse de Lamartine, Graziella, op. cit.,p. 84.

417 Johann Wolfgang von Goethe, Italienische Reise, op. cit., p.101.

418 Id., Voyage en Italie, op. cit., p. 115.

419 Massimo Leone, « Sémiotique du sentiment d’appartenance », Nouveaux Actes Sémiotiques, n° 115, 2012, http://epublications.unilim.fr/revues/as/721, p. 6.

420 Michel Déon, Je vous écris d’Italie, Paris, Gallimard, 1984, p. 45.

421 Ibid., p.389.

422 Charles de Brosses, Lettres familières, op. cit., p.149.

423 Jean-Claude Richard, abbé de Saint-Non, Le voyage pittoresque ou Description du royaume de Naples et de Sicile, 1779, in Dominique Vautier, Tous les chemins mènent à Rome, op. cit., p. 159.

424 Alexandre Dumas, Impressions de voyage, 1832, in Dominique Vautier, Tous les chemins mènent à Rome, op. cit. p. 160.

425 Ibid.

426 Ibid., p.161.

427 Ibid.

428 Michel de Montaigne, « De l’Expérience », in Essais, Livre III, op. cit., p. 641.

429 Guy de Maupassant, La Vie errante, op. cit., p.110.

430 Stendhal, Mémoires d’un touriste (éd. Herni Martineau), t. II, Patis, Le Divan, 1929, p.300.

431 Ibid.

432 Ibid., p. 301.

433 Ibid., p. 303

434 Massimo Leone,  « Sémiotique du sentiment d’appartenance », op. cit., p. 8.

435 Emmanuel Levinas, Totalité et Infini, La Haye, Nijhoff, 1961, p. 215.

436 Louis de Jaucourt, « Hospitalité », in L’Encyclopédie, op. cit., t.VIII, p. 314.

437 Ibid., p. 315.

438 Ibid., p. 316.

439 Massimo Leone, « Sémiotique du sentiment d’appartenance », art. cit., p. 11.

440 Alain Montandon, Désirs d’hospitalité. De Homère à Kafka, Paris, PUF, 2002, p. 1.

441 Pierre Klossowski, Roberte ce soir (Les Lois de l’hospitalité, t.I), Paris, Minuit, 1953, p. 15.

442 Ibid., p. 19.
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