5) Similarité d’analyse de chaque unité en botanique Partons de l’unité élémentaire la cellule pour débuter l’étude qui se fera par étages pour un arbre. Au départ, on a les toutes les cellules et on les sépare différentes sortes de cellules élémentaires. La cellule la plus importante pour nous tous, est la cellule de la feuille qui effectue la respiration chlorophyllienne et qui transforme le dioxyde de carbone en oxygène avec le carbone en excédent bien adapté normalement et tout cela sous l’action énergétique du flux solaire. Ensuite, on passe au niveau des parties d’arbre : les feuilles, les graines, les branches, le tronc, l’écorce, la sève et les racines. Pour faire le passage du niveau cellulaire au niveau plus haut, on prend les systèmes suivants : alimentation de contrôle en sève, équivalent épidermique, structurel de support en force, de reproduction. L’arbre entier est alors considéré comme la suite de ces éléments principaux et les systèmes considérés restent les mêmes.
6) Exemple d’analyse systémique complémentaire : le muscle Considérons un muscle moyen au hasard et étudions les cellules qui le composent. Il y a les cellules de l’enveloppe musculaire, les cellules d’actine (réalisation de mouvements) et les cellules de myosine (commande nerveuse des mouvements), les cellules de corps gras éventuellement. Les systèmes étudiés seront alors le système d’amenée d’énergie et de respiration ou circulatoire sanguin, le système de commande et d’énergie ou musculo-nerveux et le système de transfert d’effort ou le système musculaire. Le système d’amenée d’énergie et de respiration comprend les petites artères et veines du muscle. Le système musculo-nerveux est composé de myosine et comprend 65 % des protéines du muscle entier. Le système de transfert d’effort comprend l’actine qui représente 20 à 25 % des protéines du muscle entier. Dans ce système, il y a aussi de la tropomyosine et de la troponine. Etudions maintenant ce qu’il se passe par lorsque le muscle fonctionne normalement. Il y a alors combustion de sucre (C6H12O6) avec de l’oxygène (O2) qui produit du dioxyde de carbone (CO2) et de l’eau (H2O) par une réaction musculaire de phosphorylation oxydative qui très très lentement fatigue le muscle. La réaction qui se produit est la suivante :
C6H12O6 + 6 O2 => 6 CO2 + 6 H2O : réaction complète
L’énergie 17 kJ/g sucre est obtenue lors de cette réaction de combustion très propre. Lorsque le muscle se fatigue lentement comme lors d’endurance d’athlétisme par course de fond, il apparaît que la phosphorylation prend des ions de potassium vers l’extracellulaire et des ions de sodium vers l’intracellulaire. Donc en utilisant un très faible additionnel de potassium journalier par voie alimentaire médicamenteuse, on arrive à très légèrement augmenter sa résistance dans le temps. Il s’agit donc là d’une sorte de ralentisseur de vieillissement organique musculaire.
7) Bon contrôle de sportif sur leur système corporel tout entier Je prendrai ici 9 points importants mais non obligatoires qui peuvent être vérifiés par un médecin. 1) Bracelet électronique au poignet et mesure en direct de la tension et du rythme cardiaque 2) Très petite prise de sang par micro-pointeau dans le lobe de l’oreille et mesure automatique par appareil de la concentration de globules rouges pour la respiration d’oxygène et l’évacuation de dioxyde de carbone. 3) Très petite prise de sang par micro-pointeau dans le lobe de l’oreille et mesure automatique par appareil de la concentration de la teneur énergétique dans le plasma (concentration de glucose, de lipide, etc…). 4) Test psychologique sur papier de la sécurité personnelle avec presque aucune limite mais une très petite limite fortement conseillée. 5) Test neurologique impossible actuellement basé sur la commande neurologique de la glande hypophyse et sa potentielle influence sur le système nerveux. 6) Prise de sueur et déduction biologique possible il me semble de la fatigue du muscle par l’acide lactique dans le muscle. 7) Mesure de l’urine et déduction des filtres des reins de substances risquées absorbées par le sportif dans son alimentation. 8) Mesure après l’effort du volume et de la capacité respiratoire ( volume oxygène absorbé et volume dioxyde de carbone rejeté par unité de temps) 9) Bilan énergétique complet avec rendements pour des contractions musculaires répétées sur un vélo de référence de mesure médicale
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