Pierre-Jean giloux
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| Biographie Pierre-Jean GILOUX Artiste et réalisateur français né en 1965, Pierre – Jean Giloux étudie à L‘école Nationale des Beaux Arts de Lyon de 1985 à 1990, puis en Angleterre à The Cheltenham School of Fine art ainsi qu’à l’école des Beaux arts de Marseille-Luminy , master de 1990 à 1991. Après avoir pratiqué la photographie, Pierre-Jean Giloux a centré son travail ces dernières années sur la question de l’image en mouvement, par le biais de la vidéo et ceci sous forme de films ou d’installations. Le modus operandi de son travail, qu’il soit filmique ou photographique, passe par le stade préparatoire du dessin. Ceci lui permet de mettre en place des atmosphères, créer des personnages ; moments de recherche ou la pensée s’organise par strate avant de passer au stade de la réalisation. Ses installations photographiques, composées de suites d’images, peuvent être qualifiées de « storyboards agrandis ». Ses films vidéo, quant à eux, partent de la réalité pour glisser vers quelque chose de fictionnelle par jeux d’associations et d’hybridations d’images photographiques, vidéo et de synthèses. Il associe des éléments de la culture pop mass médiatique à des cultures plus « savantes » qui font référence, entre autre, aux arts visuels et à l’architecture. Ce travail d’intervention sur les images, par le biais des techniques numériques, lui permet ainsi de modifier la perception du réel, de le mettre à distance et de créer des « mondes construits » tout à fait singuliers. Il travaille actuellement à la réalisation d’une installation vidéo « Invisible Cities » qui a reçu une première aide du CNC pour le développement (Dicream). Dans le cadre de ce projet, une collaboration verra le jour avec l’Ecole d’architecture Nantes, pour l’année 2014-2015. ll montre ses travaux dans le cadre de festivals vidéos et d’arts numériques : «Aiva festival» Finspang « City Sonic » Bruxelles, « Vidéoformes » Clermont Ferrand, « Appollonia » Strasbourg, « Tokyo Digital Art festival » Tokyo, « Vidéo France Collection » Yokohama, « Norapolis » Beaux arts de Metz, « Bitfilm Festival » Hambourg, « Combinazione » Musée d’art contemporain de Lyon, « Argos Film Festival » Bruxelles, « Transimages 4 » Institut Français Yokohama. Ou encore sous forme de projections ponctuelles : au cinéma du Centre George Pompidou, au Mac VAL -Vitry sur Seine, au Centre d’art contemporain de basse Normandie à Hérouville St Clair et au Credac à Ivry sur Seine. Ainsi que dans les galeries : Galerie Roger Tator- Lyon, Galerie Juliane Wellerdiek - Berlin et Galerie Sophie Scheidecker - Paris. |
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