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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES

24 avril 2016 : 101e anniversaire du génocide arménien de 1915

perpétré par le gouvernement Jeune-Turc

101 ans de déni : ça suffit !

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    1. VEILLE MEDIA

Mercredi 16 Novembre 2016
Retrouvez les informations sur notre site :

http://www.collectifvan.org

Rubrique Info Collectif VAN :

http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1

et Rubrique News (Revue de Presse) :
http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=4&page=1
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    1. SOMMAIRE

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone sur les thèmes concernant le négationnisme, le racisme, l'antisémitisme, le génocide arménien, la Shoah, le génocide des Tutsi, les crimes perpétrés au Darfour, la Turquie, l'Union européenne, l'occupation de Chypre, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou relire les articles mis en ligne dans la rubrique Info Collectif VAN et les traductions regroupées dans notre rubrique Actions VAN. Par ailleurs, certains articles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter Word que nous générons chaque jour. Pour la recevoir, abonnez-vous à la Veille-Média : c'est gratuit ! Vous recevrez le document du lundi au vendredi dans votre boîte email. Bonne lecture!

15/11/2016 - FIDH
FIDH /Burundi : Une répression aux dynamiques génocidaires

15/11/2016 - Kedistan
Turquie : Les prisons comme lieux de résistance

14/11/2016 - Représentation permanente de la République du Haut-Karabagh
Haut-Karabagh : L'Azerbaïdjan contribue à l'escalade de tension sur la ligne de contact

16/11/2016 - Collectif VAN
Collectif VAN : l'éphéméride du 16 novembre

14/11/2016 - Jean-Jacques Régibier - Humanite.fr
Turquie : « Notre résistance contre le régime fasciste est en train de se mettre en place. »

15/11/2016 - Romandie
A la Turquie de décider de poursuivre ou non le processus d'adhésion à l'UE, dit l'Allemagne

15/11/2016 - L'Orient le Jour
Turquie/coup : Erdogan accuse les médias occidentaux de sympathie envers les putschistes

16/11/2016 - Francetvinfo
VIDEO. Les chiffres de la purge en Turquie

15/11/2016 - Libération
Solidaires des élus kurdes poursuivis, arrêtés, détenus en Turquie, nous les parrainons

16/11/2016 - Euronews
Rencontre glaciale entre Erdogan et le chef de la diplomatie allemande

15/11/2016 - RFI
La Turquie nomme un ambassadeur en Israël et acte la normalisation des relations

15/11/2016 - Maria Malagardis - Libération
Burundi : «Comment attirer l'attention sur un petit pays africain menacé de génocide ?»

15/11/2016 - Cyril Bensimon, Christophe Châtelot - Le Monde
Burundi : des défenseurs des droits humains dénoncent une « dynamique génocidaire »

15/11/2016 - Le Figaro
Turquie/coup d'Etat: Erdogan met en cause les médias

15/11/2016 - Marie Jégo - Le Monde
En Turquie, Erdogan mène les purges à l’école

14/11/2016 - Le Point
Olivier Bertrand "déterminé" à travailler sur la Turquie



    1. INFOS COLLECTIF VAN

FIDH /Burundi : Une répression aux dynamiques génocidaires




Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous invite à lire ce Communiqué de la FIDH (Mouvement mondial des droits humains) publié le 15 novembre 2016.

FIDH : mouvement mondial des droits humains

Burundi : une répression aux dynamiques génocidaires

15/11/2016

Rapport

Pour arrêter les crimes en cours au #Burundi et éviter un possible génocide, signez la pétition : #StopThisMovie
https://www.fidh.org/fr/regions/afrique/burundi/genocide-au-burundi-un-scenario-qui-ne-doit-pas-devenir-realite


(Paris, New York, Kampala, Bujumbura) La FIDH et la ligue ITEKA publient le 15 novembre 2016 le rapport Burundi : Une répression aux dynamiques génocidaires. Ce document est le résultat d’un an et demi d’enquête et d’analyse sur la répression et les crimes perpétrés par les forces du régime au Burundi depuis la grande vague de contestation populaire d’avril 2015.

Nos organisations lancent à cette occasion, depuis Paris et New York, #StopThisMovie, une campagne internationale de mobilisation qui s’articule autour de la bande annonce d’un film fictif, Génocide au Burundi et d’une pétition adressée aux Nations unies. L’objectif : obtenir des actions concrètes de l’Union africaine et des Nations unies pour arrêter les crimes quotidiens et empêcher le pire : la perpétration d’un possible génocide.

« Le régime du Président Nkurunziza s’est lancé dans une fuite en avant criminelle pour conserver le pouvoir par tous les moyens. Depuis avril 2015, tous ceux perçus comme opposés au régime sont pourchassés, exécutés, torturés, violés et disparaissent notamment dans des centres de torture secrets. Il faut arrêter cette descente aux enfers et se mobiliser pour faire stopper l’entreprise criminelle en cours au Burundi. Agissons avant qu’il ne soit trop tard. »

Dimitris Christopoulos, président de la FIDH


Un rapport : Répression aux dynamiques génocidaires au Burundi

Le rapport de 200 pages, résumé ici, présente les crimes commis depuis avril 2015 au Burundi, principalement par les forces de sécurité du régime et les milices des jeunes du parti au pouvoir, les Imbonerakure : meurtres, enlèvements, disparitions, tortures, viols, détentions massives. Les principaux lieux de détention et de torture sont répertoriés. Les chaines de commandement de la répression sont reconstituées et apportent la preuve que les directives viennent du plus haut sommet de l’État.

« Les crimes du régime sont devenus systématiques et l’appareil d’État est au service de cette répression de masse. Des crimes contre l’humanité sont en cours et il existe un risque de génocide. En l’absence d’une justice burundaise indépendante, la Cour pénale internationale doit se saisir de la situation et enquêter sur les crimes et leurs responsables »

Anschaire Nikoyagize, président de la ligue ITEKA

Les éléments recueillis par la FIDH et la ligue ITEKA confirment la radicalisation et les dérives extrêmement inquiétantes du régime : l’ethnicisation de la crise ; le recours à une propagande fondée sur une idéologie ethnique, qui assimile les opposants, les membres de la société civile, les journalistes, et les Tutsi à des ennemis du régime qu’il faut éliminer ; la poursuite des crimes de masse à huis clos ; l’utilisation d’unités d’élite et de milices pour réprimer les opposants ; la rupture de la coopération avec les Nations unies et le retrait du Burundi de la Cour pénale internationale (CPI).

Voir la Vidéo:

https://www.youtube.com/watch?v=D2huqO4lQFM&feature=youtu.be

Ainsi, le président du Sénat burundais, Révérien Ndikuriyo, s’exprimant le 1er novembre 2015, devant ses partisans et des miliciens issus de la jeunesse du parti au pouvoir (les Imbonerakure), déclarait en désignant les Tutsi : « Si vous entendez le signal avec une consigne que ça doit se terminer, les émotions et les pleurs n’auront plus de place ! Vous devez pulvériser, vous devez exterminer ces gens (…) Attendez le jour où l’on dira « travaillez », vous verrez la différence ! ».

Le rapport documente et dénonce également les violences dont sont victimes les rares personnes, défenseurs des droits humains, journalistes et intellectuels, qui ont encore le courage d’enquêter et de faire connaitre cette situation.

Il dénonce également les violations commises par les groupes armés d’opposition qui mènent une politique d’assassinats ciblés et des attaques dans le pays qui attise la violence et renforce la répression.

Pour stopper la dérive meurtrière du régime, la FIDH et la ligue ITEKA appellent l’Union africaine et les Nations unies à déployer une mission d’imposition de la paix afin de protéger les populations civiles. La gravité des crimes commis et l’impunité totale dont jouissent leurs auteurs devraient pousser la CPI à enquêter sur les crimes commis au Burundi. Enfin, il est essentiel de relancer les discussions politiques et un dialogue interburundais inclusif pour trouver une issue à la crise.

Une campagne : #StopThisMovie

La campagne #StopThisMovie, s’articule autour de la bande-annonce du film Génocide au Burundi, le seul film dont il faut empêcher la sortie et d’une pétition adressée aux Nations unies. La campagne présente un film fictif qui ne doit pas se réaliser : « Génocide au Burundi », dont le réalisateur n’est autre que le président burundais Pierre Nkurunziza et ses acteurs, les agents de la répression du régime.

Cette campagne vise à mobiliser les personnes qui souhaitent s’informer sur la situation au Burundi et agir en signant une pétition numérique pour exiger de la communauté internationale qu’elle prenne les actions nécessaires pour faire stopper les crimes.

« Nous avons le devoir et la possibilité de nous mobiliser pour empêcher le scénario du pire au Burundi. Cela n’a pas toujours été le cas dans l’Histoire en Afrique et dans le monde récemment. Les décideurs ne pourront pas regretter demain leur inaction d’aujourd’hui »

Me Drissa Traoré, vice-président de la FIDH
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- Télécharger le rapport Burundi : répression aux dynamiques génocidaires https://www.fidh.org/IMG/pdf/rapport_burundi_une_repression_aux_dynamiques_genocidaires.pdf

- Télécharger le résumé du rapport https://www.fidh.org/IMG/pdf/burundi_resume_rapport_francais.pdf

- Télécharger l’affiche du film https://www.fidh.org/IMG/jpg/affiche_genocide_au_burundi.jpg

- [Chronologie] Comprendre la crise au Burundi https://www.fidh.org/fr/regions/afrique/burundi/chronologie-comprendre-la-crise-au-burundi


Pour arrêter les crimes en cours au #Burundi et éviter un possible génocide, signez la pétition : #StopThisMovie https://www.fidh.org/fr/regions/afrique/burundi/genocide-au-burundi-un-scenario-qui-ne-doit-pas-devenir-realite

https://www.fidh.org/fr/regions/afrique/burundi/genocide-au-burundi-un-scenario-qui-ne-doit-pas-devenir-realite

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=94932

Turquie : Les prisons comme lieux de résistance







Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous présente cette information publiée sur Kedistan le 15 novembre 2016.


Kedistan

Zehra : “Je détruirai les prisons avec stylos et pinceaux”

15 novembre 2016

Zehra Doğan, actuellement enfermée dans le centre pénitentiaire de type E de Mardin, a écrit une lettre à JINHA, agence d’information dont elle est éditrice. Elle y décrit les prisons comme lieux de résistance.

Zehra a passé des mois à couvrir les événements de Nusaybin (district dans la province de Mardin), où un couvre-feu a été décrété le 3 mars dernier. Zehra a été arrêtée dans la soirée du 21 juillet, alors qu’elle était dans un café avec ses collègues. La cour l’a placée en détention en attendant le jugement pour “appartenance à une organisation illégale”.

Zehra utilise à la fois ses dessins et ses reportages pour informer l’opinion publique internationale sur les réalités de mois entiers d’attaques de la part de l’État sur Nusaybin. Il y a peu, elle s’est levée contre la fermeture du journal Özgür Gündem en sortant un “Özgür Gündem en prison “ avec ses codétenues. Dans sa dernière lettre à JINHA, Zehra décrit les changements qu’elle a vécu depuis son arrivée en prison et l’émergence du concept de l’”Özgür Gündem en prison”.

Voici sa lettre :

Chère JINHA,

Je me suis réveillée aujourd’hui dans cette prison, qui est un lieu de grande camaraderie, loin de vous toutes, pour un nouvelle journée. Cette ville où le vent emporte la poussière aride de Mardin, au riche passé historique, est propice aux rêveries. C’est la ville de naissance de Mani [NdT : prophète, fondateur du manichéisme], qui a voyagé de pays en pays pour annoncer la vérité, et qui a essaimé son enseignement au travers de ses toiles. C’est aussi la cité de Shahmeran [NdT : la reine des serpents, créature légendaire], qui selon les légendes, possédait la sagesse en elle. Être ici, même en tant que prisonnière, me donne de la force.

Oui, c’est dur pour moi d’être captive sur ma propre terre, mais dès que je suis entrée ici, je me suis retrouvée entourée par 45 femmes pleines de sagesse, des femmes qui étaient devenues des déesses. Quand j’ai vu l’étincelle qui brillait dans leurs yeux, j’ai compris que le plus important espace de lutte est celui-ci, pressé entre quatre murs. Lorsque j’ai compris que chacune des femmes avec qui je parlais portait dans son cœur une formidable histoire de lutte, j’ai pu puiser en elles de la force. Lors de mon premier jour en prison, j’étais anéantie d’être si loin de mon travail et de JINHA, puis je me suis rendue compte que c’était ici que l’actualité la plus importante se déroulait. C’est ici qu’une journaliste doit être, pour informer le public de chaque injustice qui se produit. Qui sait, c’est peut-être même pour ça que je suis ici.

Pendant l’interrogatoire, après avoir été arrêtée, les interrogateurs me demandaient constamment, avec leur mentalité masculine : “Pourquoi fais-tu ce travail ? Pourquoi fais tu des reportages ? Pourquoi dessines-tu ?” En réalité, lorsque nous avons commencé notre travail à JINHA, qui est l’héritière de la résistance des femmes, nous avons pris nos stylos avec ce cri : “nous écrivons sans penser à ce que les hommes en diront”. Et pendant que nous écrivions, nous avons appris que “quand les femmes se mettent à écrire, l’image des hommes dans le miroir commence à s’amenuiser”. C’est pour cela que je ne sentais aucune obligation de leur répondre. Même emprisonnée derrière des barreaux de fer, ils ne pouvaient pas m’enlever ma meilleure arme contre les oppresseurs : mon stylo et mon pinceau. Je suis consciente d’avoir le droit de les avoir grâce au sacrifice de nombreux gens sages avant moi, et je sais qu’on ne peut plus facilement me retirer ce droit. Je ne me sens pas isolée de la société, ni de JINHA. Au contraire, je me vois en ce moment comme une reporter de prison pour JINHA, et cela me rend fière. Nous formons l’aspect média de la lutte des femmes pour notre liberté, et c’est pour cela que la prison est l’un de nos principaux champs de bataille. “Une vie libre doit être une réalité infinie.” Et je pense que c’est ici que je peux le mieux voir cette réalité infinie.

Je vois une prison qui contient tant de personnes sages comme une grande école de pensée. Pendant mon emprisonnement, en particulier, je me suis rendue compte à quel point ma profession est importante.

Le jour où Özgür Gündem a été interdit a été le pire jour pour beaucoup de gens dans la prison. Ma codétenue était si triste qu’elle en pleurait. Et la réalité m’est apparue comme une révélation. Notre journal, celui qui décrivait la vérité, et ses souffrances et sa résistance, avait été fermé, et cette fermeture nous enfermait. La réaction populaire, comme par exemple celle de mon amie, illustrait cela clairement. C’est à ce moment là que nous avons pensé “Le journal a été fermé et nombre d’entre nous ont été emprisonnées. Il est grand temps que nous amenions le journal dans ce lieu”.

Tout le monde était enthousiaste à cette idée, et nous nous sommes mises immédiatement au travail. Il y a de nombreuses prisonnières ici dont le traitement devait être révélé, qui ont subi diverses tortures et violations de leurs droits. La meilleure idée pour faire connaître la réalité de la prison était de publier un journal. Nous avons travaillé des jours et des nuits durant pour créer l’Özgür Gündem en prison et pour nous battre pour ce journal. Nous continuons à le faire régulièrement. Nous n’avons ni ordinateur ni imprimerie, mais nous avons des stylos et du papier. Nous n’avons pas d’appareils pour prendre en photos les gens sur qui nous écrivons, mais nous sommes aussi des artistes. Si nous ne pouvons pas photographier, nous pouvons dessiner. Le plus j’écrivais et je dessinais, le plus on me parlait. Au début j’étais seule à travailler sur ce journal. Le jour même où il a été transcrit sur papier, la porte de fer de la prison s’est ouverte. Une autre journaliste, Şerife Oruç, nous a rejointes. Au moment où nous en avions le plus besoin, elle est venue à nous. Nous avons un journal, peut-être que beaucoup de gens l’ont lu maintenant.

Aujourd’hui, il y a quantités de journalistes dans nos quartiers. Beaucoup de nos amies se sont formées pour être reporters et écrire pour l’Özgür Gündem en prison. Je donne aussi des leçons de dessin deux fois par semaine, pour qu’elles puissent illustrer les nouvelles. Nous avons récemment commencé à préparer une exposition artistique, dont les bénéfices seront envoyés en soutien aux zones autogérées. Nous consacrons plus de temps à ça qu’à l’emprisonnement.

Toutes nos amies ont l’esprit des “petits généraux d’Apê Musa” [NdT : enfants kurdes qui distribu(ai)ent les journaux interdits, censurés ou saisis par le gouvernement] en elles. On dit que “Puisque le salut des humains ne vient pas de Dieu, il doit se trouver sur la Terre”. C’est pour cela que nous cherchons à faire des prisons un espace de luttes. Je ne serai peut-être jamais libérée, nous sommes en Turquie après tout. Je ne m’attends pas vraiment à ce que ça se finisse bien.

Je sais que grâce aux techniques de résistance des femmes découvertes grâce à JINHA, je détruirai les prisons avec mon stylo et mon pinceau. N’oubliez pas que le stylo et le pinceau sont toujours entre mes mains.

Vous me manquez et je vous embrasse toutes.
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