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Nagios http://fr.wikipedia.org/wiki/NagiosAller à : Navigation, rechercher
Nagios (anciennement appelé Netsaint) est une application permettant la surveillance système et réseau. Elle surveille les hôtes et services spécifiés, alertant lorsque les systèmes ont des dysfonctionnements et quand ils repassent en fonctionnement normal. C'est un logiciel libre sous licence GPL. C'est un programme modulaire qui se décompose en trois parties :
Suite au manque de réactivité du développeur principal de Nagios et de sa volonté de ne plus diffuser tous les modules sous Logiciel Libre, certains développeurs actifs sur le projet ont "forké" Nagios pour créer Icinga. Sommaire
Possibilités
Voir aussiArticles connexesLogiciels de supervision anciennement basés sur Nagios Fork de nagios
Autres logiciels de supervisionDivers
Liens externes
Les standards de la supervisionLe monde de la supervision et du management des infrastructures en général possèdent ses normes et standards, pour la plupart émergeants, dont sont présentés ici les plus significatifs. Ces standards sont pour la plupart gérés par la DMTF. Standards
IPMI – Intelligent Platform Management InterfaceL’Interface de gestion intelligente de matériel, (ou IPMI, Intelligent Platform Management Interface) est un ensemble de spécifications d’interfaces communes avec du matériel informatique (principalement des serveurs) permettant de surveiller certains composants (ventilateur, sonde de température, …). JMX – Java Management InterfaceJMX (Java Management Extensions) est une API pour Java permettant de gérer le fonctionnement d’une application Java en cours d’exécution. JMX a été intégré dans J2SE à partir de la version 5.0. (Attention, JMX est, par défaut, désactivé en version 5.0. Utiliser : java -Dcom.sun.management.jmxremote). On peut voir JMX comme une espèce de SNMP pour Java. CIM – Common Information ModelStandard de description des données administratives développé par le DMTF (Desktop Management Task Force). SNMP – Simple Network Management ProtocolSNMP (Simple Network Management Protocol), protocole simple de gestion de réseau en Français, est un protocole de communication qui permet aux administrateurs réseau de gérer les équipements du réseau, superviser et de diagnostiquer des problèmes réseaux, matériels à distance. Le système de gestion de réseau est basé sur trois éléments principaux: un superviseur, des nœuds (ou nodes) et des agents. Dans la terminologie SNMP, le synonyme manager est plus souvent employé que superviseur. Le superviseur est la console qui permet à l’administrateur réseau d’exécuter des requêtes de management. Les agents sont des entités qui se trouvent au niveau de chaque interface, connectant l’équipement managé (nœud) au réseau et permettant de récupérer des informations sur différents objets. Switchs, hubs, routeurs et serveurs sont des exemples d’équipements contenant des objets manageables. Ces objets manageables peuvent être des informations matérielles, des paramètres de configuration, des statistiques de performance et autres objets qui sont directement liés au comportement en cours de l’équipement en question. Ces objets sont classés dans une sorte de base de données arborescente appelée MIB (« Management Information Base »). SNMP permet le dialogue entre le superviseur et les agents afin de recueillir les objets souhaités dans la MIB. L’architecture de gestion du réseau proposée par le protocole SNMP est donc fondée sur trois principaux éléments :
ITIL – Information Technology Infrastructure LibraryITIL (Information Technology Infrastructure Library) est un ensemble de bonnes pratiques (en anglais, « best practice » NB: cette expression s’écrit au singulier en anglais, mais au pluriel en français) pour la gestion d’un système d’information (informatique), édictées par l’Office public britannique du Commerce. Sont en particulier abordés les sujets ci-dessous :
Assez populaire en Europe à la fin des années 1980, ITIL s’est implanté sur le marché nord-américain, via des entreprises proches de l’informatique, comme Andersen Consulting (appelée désormais BearingPoint), Ernst & Young, Hewlett-Packard, ou PricewaterhouseCoopers. Les recommandations ITIL positionnent des blocs organisationnels et des flux d’informations. De nombreux logiciels d’exploitation informatique sont conformes à ces recommandations. La CMDB, pour Configuration Management DataBase, est une base de données unifiant les composants d’un système informatique. Elle permet de comprendre l’organisation entre ceux-ci et de modifier leur configuration. La CMDB est un composant fondamental d’une architecture ITIL. Une CMDB contient des informations sur les principaux composants du système d’information (appelés configuration items ou CI) et des détails sur les relations importantes entre eux. Un CI est une instance d’une entité disposant d’attributs modifiables : par exemple un ordinateur, un processus ou un employé. Un facteur de succès clé lors de l’implémentation d’une CMDB est la capacité à récupérer automatiquement des informations concernant les CIs (auto-discovery) et à suivre les changements au fur et à mesure. Les CMDBs contiennent des métadonnées et par conséquent leur utilisation peut entrer en conflit avec le concept de dépôt de métadonnées tel que déployé dans les grandes organisations informatiques. La gestion des configurations en tant que processus traite de la manière dont les données sont mises à jour, ce qui est justement une faiblesse des dépôts de métadonnées. Les CMDBs apportent alors la gestion des historiques. De plus, elles s’intègrent dans le processus ITIL plus global et apportent une cohérence à la gestion du système d’information. SBLIM – Standard Based Linux Instrumentation for ManageabilitySBLIM – prononcez « sublime » – pour Standards Based Linux Instrumentation for Manageability. Il consiste à permettre aux machines Linux d’accéder à l’ensemble des technologies d’administration WBEM (Web Based Enterprise Management). IBM assure le développement et la promotion de ce standard.
WS-MANAGEMENT – Web Services for ManagementWS-Management (Web Services for Management) addresses the cost and complexity of IT management by providing a common way for systems to access and exchange management information across the entire IT infrastructure. By using Web services to manage IT systems, deployments that support WS-Management will enable IT managers to remotely access devices on their networks – everything from silicon components and handheld devices to PCs, servers and large-scale data centers. WS-Management is the first specification in support of the DMTF initiative to expose CIM resources via a set of Web services protocols.
WBEM – Web Based Enterprise ManagementWBEM (Web-Based Enterprise Management) est un ensemble de technologies et de standards Internet de gestion développé pour unifier la gestion des environnements d’informatique distribuée. WBEM fournit la capacité aux industriels de délivrer un ensemble de standards de bases bien intégrés aux outils de supervision, facilitant l’échange de données à travers d’autres différentes technologies et plateformes. L’instance de normalisation DMTF (Distributed Management Task Force) accueille les impressions de leurs standards mais il requiert que les individus soumettant des commentaires soient agréés pour la politique d’impression du DMTF. WMI – Windows Management InstrumentationLa technologie WMI (Windows Management Instrumentation) est une mise en œuvre de l’initiative WBEM (Web-Based Enterprise Management WBEM) de DMTF (Distributed Management Task Force) pour les plates-formes Windows. Cette initiative étend le modèle CIM (Common Information Model) pour représenter les objets de gestion dans les environnements Windows. CIM, qui est aussi un standard DMTF, est un modèle de données extensible qui permet d’organiser logiquement des objets de gestion d’une façon cohérente et unifiée dans un environnement géré. Tout cela signifie que WMI améliore considérablement les capacités de gestion de Windows 2000 grâce à une interface unique, cohérente, extensible et orientée objet, qui utilise les normes de l’industrie. Par ailleurs, les applications et les scripts peuvent accéder aux données WMI sur un poste local ou distant de façon totalement transparente. Ce produit n’est pas uniquement destiné à Windows 2000 ; WMI est disponible pour Windows 95, Windows 98 et Windows NT 4.0. Certaines fonctionnalités de WMI permettront aux informaticiens de s’acquitter beaucoup plus facilement de leurs tâches de gestion.
Comment superviser avec Nagios / Icinga ?http://www.opendoc.net/solutions/comment-superviser-avec-nagios-icinga 1 PrésentationNagios est un outil flexible et totalement paramétrable. De manière générale, il est pénalisant dans un projet d’être limité par les caractéristiques d’un élément. Bien délimiter un besoin permet d’orienter les recherches et de proposer une solution adéquate. Nagios est un moniteur de supervision réseau Open Source. Anciennement nommé NetSaint, logiciel libre reconnu dans le monde de la supervision, il permet une supervision active et passive de serveurs, d'équipements réseaux, et surtout de services divers et variés. Bien que Nagios utilise des principes simples, il est complexe à mettre en place (configuration des intervalles de notifications, des commandes de vérification, des services et des hôtes à surveiller, des contacts pour les notifications, etc.). De l'aveu même du concepteur (Ethan Galstad) : « Si vous ne voulez pas passer du temps à apprendre comment ça fonctionne et pensez voir les choses tourner facilement, ne prenez pas la peine d'utiliser ce logiciel. » Cependant, Nagios n'est en soi qu'un moteur d'ordonnancement. Il repose entièrement sur un système de plugins. Icinga est un fork de Nagios rétro-compatible. Ainsi, les configurations, plugins et addons de Nagios peuvent tous être utilisés avec Icinga. Bien qu'Icinga conserve toutes les caractéristiques existantes de son prédécesseur, il s'appuie sur celles-ci pour ajouter de nombreux correctifs et fonctionnalités longtemps attendues et demandées par la communauté des utilisateurs. 2 Principe de fonctionnementVous ne trouverez pas ici une documentation complète du produit, car la documentation officielle est déjà très fournie. Je vous propose de lire le ebook de Nicolargo concernant Nagios qui est très bien écrit et commenté. 2.1 Les fichiers textesComme nous l’avons dit précédemment Nagios est un ordonnanceur qui s’appui sur les fichiers textes suivants :
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![]() | «essai» : nom, taille, … ? Prenez une capture d’écran de la fenêtre qui vous permet de trouver ces informations et collez-la dans... | ![]() | «assembleur rapide de site web». Le logiciel présente environ 4 000 fonctions d’api (interface de programmation). Ses principales... |
![]() | «The Semantic Web is an extension of the current web in which information is given well-defined meaning, better enabling computers... | ![]() | «single appearance schedules» qui minimise la taille du code généré. L’équipe a aussi introduit le concept de «higher order components»... |
![]() | ![]() | «Applications Consoles, Windows, Smart Device, Web, Web Services, librairies, …» | |
![]() | «L’homme est un document comme les autres : du World Wide Web au World Life Web» | ![]() | |
![]() | «Web 0» utilisée par Dale Dougherty (en) en 2003, diffusée par Tim O'Reilly en 2004 et consolidée en 2005 avec l'exposé de position... | ![]() |