télécharger 447.6 Kb.
|
LE THÉORÈME DE LA COUPURE POUR IDENTIFIER LES DIFFERENTS ÉLÉMENTSPour bien comprendre ce que sont ces éléments stables du Big-bang numérique, définissons d'abord ce qu'est un élément. Certains nombres N peuvent être séparés en deux morceaux N=G.D qui dans la suite des commentaires numériques n'interféreront plus jamais entre eux. Plus précisément on dira que G.D est une décomposition du nombre N si pour tout entier n le n-ème commentaire de N est obtenu en juxtaposant le n-ème commentaire de G et le n-ème commentaire de D. Le nombre N=1113213211 se décompose par exemple en G=11132 et D=13211. En effet, les commentaires successifs de 11132 se termineront tous par 2 (réfléchissez une seconde...), alors qu'aucun commentaire de 13211 ne commencera par 2 (car 13211 -> 11131221 -> 3113112211 -> 132113212221 dont le début est 13211, et donc les premières décimales recommencent de manière cyclique). Les nombres qui ne peuvent pas être décomposés sont appelés les éléments ou atomes . Conway a montré que parmi tous les éléments, il n'y en a que 92 qui restent présents dans l'univers au cours de son évolution. Le Théorème chimique est même plus précis : à partir d'un certain moment, l'univers n'est composé que des 92 éléments (les éléments stables) et à chaque instant (pour chaque nombre engendré à partir du 1), les 92 éléments stables sont présents dans l'univers. L'évolution de l'univers à partir d'un certain moment n'est donc que la transformation des éléments stables les uns en les autres selon des règles précises et immuables. Une sorte de bouillonnement, complexe mais parfaitement réglé, détermine l'avenir du Big Bang numérique Jean-Paul Delahaye. Jeux mathématiques et mathématiques des jeux. Belin/Pour la science. 1998 (le chapitre 4 donne d'autres détails sur la suite "look-and-say"). Article, Big-bang numérique les commentaires du mathématicien, de Jean-Paul Delahaye, professeur d’informatique à l’université de Lille et chercheur au CNRS Voir article en fin de document e commentaire du 1 est une illustration, par analogie simplifiée, de la complexité de l’organisation de notre matière excitée par l’onde du temps. Succession d’instants similaire aux étapes qui génèrent successivement une série de commentaires numériques. Métaphore de l’organisation de notre propre matière, où, dans un océan primordial d’éléments « 1 » non perceptibles, un mouvement comme une onde excite ces éléments dans un vocabulaire numérique qui constitue la phrase, la peau d’une forme de réalité. En définitive dans l’univers perceptible nous ne percevons de la matière que cette expression mais jamais l’océan préalable, dans lequel se déploie le mouvement de la succession des instants. De commentaires en commentaires : une vague ? Le moment même de notre prise de conscience dans la succession des instants ne nous permettra jamais de percevoir le moment de l’excitation initiale. Lorsque nous percevons un phénomène, à l’instant de son émergence dans notre pensée, c’est toujours un commentaire plus loin que le véritable pic de l’onde dans l’océan préalable. Il persiste un minime décalage entre l’émergence et la perception que nous en avons. Un peu comme notre perception du son par rapport à l’éclair. La matière et ses objets matériels, nos pensées conceptuelles, nos divers états de conscience sont issus et portés par cette organisation, dans le son généré par l’onde qui est le corps ou le champ primordial de notre réalité. Notre limite, cette pensée englobante d’une réalité qui nous semble étendue et durable en stabilité, induite par cette onde qui nous pré-détermine et dont nous sommes tous affectés intimement dans nos êtres en tant qu’objet. Sa compréhension n’est-elle pas hors d’atteinte de nos facultés, une ambition déréglée ? Nous ressemblons à ce personnage de dessin animé, représenté par un trait de crayon, sur une ligne non close, et sur la quelle il se déplace et vocifère contre l’adversité. Il est obnubilé par le trait des circonstances, des objets de ses aventures et son ressentiment contre son créateur, la main du dessinateur. L’animation nous le représente dans les limites (la prédétermination) les plus classiques de certains de nos concepts. En effet, le héros comme le spectateur ne perçoivent pas le support, dont le film d’animation en est la métaphore. Ce mouvement, image par image, représente la succession des instants, et symbolise l’onde du temps qui excite et anime les substances. Nous-mêmes dans la vie ne percevons de la matière que le trait, la peau de la réalité et non le support, le média, de notre propre existence auquel nous n’accédons pas. Une totalité, portée simultanément par l’onde du temps qui excite dans l'océan primordial une substance des substances, comme le mouvement mathématique qui combine le « 1 ».Certains voudront y déplacer déjà la main du dessinateur en place du concept du principe créateur ?… Nous percevons là nos limites conceptuelles et l'abus de l’espèce humaine qui, parce qu’elle se pense être le mécanisme le plus sophistiqué de la pensée, se positionne d’elle même comme le producteur d’une conception métaphysique aboutie et définitive de notre univers. Cette conviction, cette conversion n’est-elle pas une usurpation ? Car un mystère doit être accepté comme limité dans les conditions de sa manipulation par nos concepts. A ![]() cceptons-nous cette limite ? |
![]() | «acception», se rappeler de quelque chose, mais se rappeler quelque chose, infractus du myocarde, mais infarctus. Ces conseils bon... | ![]() | «Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s'obligent, envers une ou plusieurs autres à donner, à faire... |
![]() | «Diras tu que peindre est autre chose que d’embrasser la surface d’une fontaine ?» | ![]() | «portée», à l’écoute des autres. C’est çà. Quand l’un se pose, IL pose aussi quelque chose, une idée, une forme, un état, et tout... |
![]() | «C’est défendu, IL suffit !» Dans la permission ou le congé, IL y avait pour lui quelque chose de suspect, de vague et d’incomplet.... | ![]() | «Cela représente une énorme occasion d’augmenter la valeur ajouter des cpld. D’après les informations glanées auprès de nos clients,... |
![]() | «Le mythe raconte une histoire sacrée; IL relate un événement qui a eu lieu dans le temps primordial, le temps fabuleux des commencements.... | ![]() | «Ça sera une très bonne chose. Nous souhaitons tous l’adoption de ce projet de loi. IL apporterait évidemment un avantage fiscal,... |
![]() | «Évoluer ou mourir», comme IL en est de quelque chose de transitoire : le lévite est symboliquement une fonction, celle de l’intelligence,... | ![]() | «nouveau et tout à fait particulier». IL a conscience de la nouveauté de son écriture. C’est quelque chose que l’on peut considérer... |