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![]() Au début du XXe siècle, la ville de Laghouat, dans la partie nord du pays, compte 5 000 âmes dont 300 Européens. La carte postale ci-dessus montre le travail dans une briquetterie de la ville à cette époque. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Les 700 cartes postales regroupées dans le livre "L'Algérie d'antan" permettent de découvrir des scènes du début des années 1900. Ici, des porteurs d'eau, dont des enfants, posent face à l'objectif. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Outre Alger ou Constantine, le livre "L'Algérie d'antan" présente aussi des clichés de villes plus petites, comme Boufarik, 9 300 habitants au début du XXe. Ici, le marché, qui attirait "4 000 ruraux des tribus alentours". © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() L'Algérois, région du nord du pays, attiraient de nombreux visiteurs dans les années 1900. La ville de Blida, et ici son marché européen, était une zone attractive. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Ce cliché, pris sur le Boulevard de France à Teniet-El-Haad, nous permet de découvrir l'aspect des véhicules utilisés à la Belle époque. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Cette photographie prise à Laghouat montre des fillettes du "dispensaire des Soeurs blanches". Elles seraient en train d'apprendre à tisser des tapis. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Des sourires sur cette carte postale de la Kabylie : un maître y pose avec ses élèves devant un mur de pierres. "L'Algérie d'antan" revient sur les particularités de cette région à l'identité forte. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Au début du XXe siècle, la ville de Bougie, aujourd'hui Béjaïa, sur la côte, comptait 14 000 habitants, dont 4 000 Européens. Il s'agit d'une ville à la végétation abondante, contrastant avec ses environs. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() L'Algérie du début du XXe siècle compte des enfants employés à diverses activités. Ici, des petits garçons travaillent à la teinture des tissus. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Cette carte postale de M'zab (ou Mzab), dans le nord saharien, présente le travail au puits. Dromadaire et âne actionnent le mécanisme pour extraire l'eau. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Les cartes postales sont aussi l'occasion de montrer les produits locaux, qui ne ressemblent pas à ceux commercialisés en métropole française à l'époque. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() La ville haute d'Alger et ses pentes escarpées conservent à cette époque un "cachet mauresque typique". Ici, un conteur arabe dans un café maure. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Avec des cartes postales anciennes, le beau livre "L'Algérie d'antan", de l'historien Philippe Lamarque, nous fait découvrir Alger, Oran, Constantine du début du XXe siècle, au temps de la colonisation. Ici, une carte postale envoyée en 1902 et montrant des "yaouleds", enfants cireurs de chaussures dans les rues de la ville de Blida. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Dans les années 1900, la capitale de l'Algérie, au climat doux, est une ville d'hivernage, "dont le centre de gravité s'est déplacé vers le Champ-de-Manoeuvre". Ici, Alger sur une "vue prise du Môle". © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Selon Philippe Lamarque, au début du XXe siècle, Alger comptait "1 400 000 indigènes (statut aboli en 1929), 17 000 Juifs naturalisés (en vertu du décret Crémieux), 71 000 étrangers en cours d'assimilation ou de naturalisation (accélérée en 1914 par le recrutement militaire), 152 000 Français au titre du Code civil." © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Cette carte postale du début du XXe siècle présente des hommes installés dans un café maure et fumant le narguilé. L'ouvrage "L'Algérie d'antan" regorge de ces scènes de vie du passé. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() La ville de Constantine, située à 80 km de la mer, est attractive. Quartiers juifs, arabes et européens composent ce territoire qui compte 50 000 habitants, dont 15 000 Français en 1900. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Au début du XXe siècle, Oran comptait 88 000 habitants "dont 41 000 Français, 11 000 Juifs naturalisés, 23 000 étrangers européens, et 13 000 indigènes", selon l'auteur Philippe Lamarque. Ici, le boulevard Séguin et sa ligne de tramway. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Au début du XXe siècle, des visiteurs viennent découvrir la "Pompéi africaine", les ruines romaines de Timgad, ou Thamugadi. Ce site du nord-est de l'Algérie est aujourd'hui classé au patrimoine mondial de l'Unesco. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Sur cette carte postale consacrée au métier de confiseur, il est encore possible de lire les messages personnels. "Nous sommes allés à la pêche hier, j'ai attrapé un coup de soleil..." ou "Toute la journée, nous ne parlons que de ce voyage !", à l'envers dans le coin en haut à droite. © HC éditions / L'Algérie d'antan ![]() Annexée à la France de 1830 à 1962, l'Algérie a été marquée par de grands bouleversements à cette époque. Découvrez l'Algérie d'antan à travers ces images d'archives. Ici, le port d'Alger, en 1961. © Archive de Francine Kouider / Galerie Photo L'Internaute ![]() A l'image, une famille algérienne près d'Alger en 1930. A l'époque coloniale, les populations locales étaient appelées "indigènes". © Archive de Jean-Claude Audouin / Galerie Photo L'Internaute ![]() A côté d'Alger, Maison-Carrée (actuel El Harrach) était une ville de garnison. Ici, la caserne du 10ème COMA. © Archive de Jean-Charles Miraval / Galerie Photo L'Internaute ![]() L'Hôtel de ville d'Oran a été construit en 1886, soit en pleine période coloniale. Son architecture reflète d'ailleurs le style employé en France à la même époque. © Hélène Bousquet-Cassagne/ Galerie Photo L'Internaute ![]() Les zouaves étaient une unité de l'Armée d'Afrique, mise en place par la France pendant la période coloniale, de 1830 à 1962. Ici, près de Constantine en 1912. © Hélène Bousquet-Cassagne/ Galerie Photo L'Internaute ![]() En 1958, cette route des environs d'El Oued vient d'être achevée. Elle permettra de faciliter la circulation dans cette région désertique du Grand Erg oriental. © Archive de Francis Rocchi / Galerie Photo L'Internaute ![]() Visible sur les hauteurs d'Alger, la basilique Notre-Dame d'Afrique a été construite entre 1858 et 1872, par l'architecte français J-E Fromageau. Symbolique, la phrase suivante est écrite sur l'un de ses murs : "Notre Dame d'Afrique, priez pour nous et pour les musulmans". © Archive de Jean-Claude Audouin / Galerie Photo L'Internaute ![]() Intégrés à l'Armée d'Afrique, les Tirailleurs algériens sont notamment intervenus dans la campagne d'Italie et le débarquement en Provence, pendant la Seconde Guerre mondiale. © Helene Bousquet-Cassagne / Galerie Photo L'Internaute ![]() Connue aujourd'hui sous le nom d'Annaba, Bône a été l'une des premières villes algériennes annexées par la France. A l'image, le théâtre de la ville et la statue de Bertagna, en 1930. © Archive de Jean-Claude Audouin / Galerie Photo L'Internaute ![]() Constantine a été l'une des dernières villes algériennes à résister aux troupes françaises. Ici, un quartier populaire de la ville, en 1902. © Helene Bousquet-Cassagne / Galerie Photo L'Internaute ![]() Rebaptisée place des martyrs après l'Indépendance, cette place d'Alger s'appelait la place du Gouvernement à l'époque de l'Algérie française. A l'image, on aperçoit la mosquée Djamaa Djedid. © Archive de Jean-Claude Audouin / Galerie Photo L'Internaute |